Please enable JavaScript.
Coggle requires JavaScript to display documents.
La fugue et la liberté dans les Cahiers de Douai - Coggle Diagram
La fugue et la liberté dans les Cahiers de Douai
Ma Bohême
La liberté est un thème clé, illustrée par son rejet des règles sociales : il se promène « les poings dans [ses] poches crevées », indifférent à la pauvreté.
le vagabondage est central. Rimbaud se décrit errant sans but précis, en communion avec la nature. Il se compare à un « Petit-Poucet rêveur », soulignant son détachement des contraintes matérielles et sociales.
Nature : « Mon auberge était à la Grande Ourse », communion avec les étoiles.
L’évasion est exprimée par la rupture avec les normes. La marche nocturne, la solitude, et la liberté créative sont des formes d’échappatoire : « Mon auberge était à la Grande Ourse ».
Sensation
Rimbaud évoque une soirée passée, entouré de nature.
Rimbaud se sert de la nature pour symboliser son désir de liberté ainsi que ses fugues à son jeune âge.
Il se compare à un bohémien n'ayant pour seul but que de s'envoler avec la nature et de vivre en nomade :"j'irai loin, bien loin, comme un bohémien"
Il personnifie la nature en la qualifiant de femme avec laquelle il souhaite : "aller loin, bien loin"
Il sollicite les sens du lecteurs en décrivant la nature :"picoté par les blés", "j'en sentirai la fraîcheur à mes pieds", "je laisserai le vent baigner ma tête nue"
Au Cabaret vert, cinq-heures du soir
Le poète célèbre les plaisirs immédiats et accessibles.
Le cabaret représente un espace de liberté loin des normes sociales.
Rimbaud cherche l'évasion physique et une nouvelle expérience.
La fuite de Rimbaud exprime son rejet des conventions bourgeoises.
Roman
Sensation de liberté appuyé par une description de la nature : "Les tilleuls sentent bon"
Liberté exprimé par l'odorat : "A des parfums de vigne et des parfum de bière..."
Eloignement de sa ville : "-la ville n'est pas loin,-
Errance appuyé par le néologisme :"Le cœur fou Robinson" en référence à Robinson Crusoé
Liberté en total opposition avec sa vie à Charles-Villes : "Des cafés tapageurs aux lustres éclatants"