Arme fatale du VIH : Le VIH utilise les lymphocytes T CD4 quiescents comme un réservoir où il peut rester caché pendant de longues périodes, même sous traitement antirétroviral. Si le traitement n'est pas bien conduit ou est interrompu, des mutations peuvent apparaître, conférant une résistance au virus. Dans ce cas, certaines cellules infectées en latence peuvent persister, et lorsque le traitement est réintroduit des années plus tard (par exemple, 15 ans après), ces cellules quiescentes peuvent "réveiller" le virus, qui ressurgit avec les mutations acquises, rendant le traitement moins efficace.