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AP1G **NL CLASSIQUES OU CONVENTIONNELS Utilisé en 3e intention (EI+++)…

- - - - centraux (sédation)
      - périphériques (hypoTA, tachycardie réflexe)
  - - - Voie mésolimbique
        
        Voie hyperactive (excès physio-pathologique en dopamine)
        
        ↘ symptomes psychotique
        ↘ sentiment de plaisir et de récompense
      - Voie mésocorticale
        
        Voie hypoactive (déficit physio-pathologique en dopamine)
        
        ↘ capacités cognitives
        indifférence psychomotrice
      - Voie nigrostiée
        
        Symptômes extrapyramidaux (dyskinésie aigues, akathisie, syndrome parkinsonien) et à LT, dyskinésies tardives
        
        Hypodopaminergisme striatal généré par un anti D2
      - Voie tubéro-infundibulaire
        
        Hypodopaminergisme tubéro-infundibulaire généré par un anti D2
        
        Effets neuro-endocriniens (hyperprolactinémie, gynécomastie, perte de libido)
- - - - Abaissement du seuil épileptogène = risque de convulsions
      - "Effets extrapyramidaux"
        
        Précoces : (dans les 48h)
        Dyskinésies, dystonies aiguës
        
        Subaigus et chroniques
        SP et Syndrome hyperkineto-hypertonique
        
        Effets tardifs
        Dtskinésies tardives
    - - Effets CV
        hypotension orthostatique avec tachycardie réactionnelle,
        surtout au début et avec fortes posologies; vertiges (Activité alpha 1 adréénergique -)
      - Effets atropiniques périphériques (activité anticholinergique)
        sécheresse de la bouche, hyposialorrhée agravée par antiparkinsonien anticholinergiques (caries, mycoses buccales et parodontites), attention parfois hypersialorrhées (clozapine++), constipation, rétention urinaire, tb accomodation oculaire, glaucome (phenothiazine++)
    - - Réactivations anxieuses et délirantes
        (sujets sensibles: personnes âgées… et neuroleptiques"désinhibiteurs")
      - Troubles de la mémoire, états confusionnels
      - Inversion de l'humeur (états dépressifs, difficilement imputable
        au traitement neuroleptique, car parfois liés à la maladie)
      - Sédation, Somnolence diurne (NL sédatifs)
        Indifférence psychomotrice, passivité.
        (après 2 à 4 mois de traitement)
    - - Dysrégulation thermique ;
      - Effet Diabétogène
      - Hyperprolactinémie
        Tb du cycles menstruels et sexuels
      - Prise de poids : parfois > 10 kg lors de traitements prolongés :
  - - - leucopénie, agranulocytose 1/250.000
    - - dépôts cornéens
    - - Photosensibilisation , réactions cutanées allergiques(phenothiazines)
        Dépôts cutanés : couleur pourprée de la peau
    - - troubles de la conduction, allongement de l’espace QT sur ECG → troubles du
        rythme, torsades de pointe
      - cyamémazine, levomepromazine, halopéridol
      - ECG avant instauration, asso déconseillé ave autre torsadogene
        FDR ; bradycardie, hyppoK
  - - - Hyperthermie > 40°C + déshydratation massive, rigidité « en tuyau de plomb », dyskinésies, sueurs, hypersialorrhée, troubles tensionnels, respiratoires, cardiaques, altération de la conscience.
      - SMNL: hyperthermie + sévère
        et installation progressive/5HT
    - - : défaillance multiviscérale avec insuffisance rénale aiguë, insuffisance
        respiratoire aiguë, décès
- - - - Pas d’effet de malformation,
        
        Pas de toxicité pour le fœtus ou le nouveau-né
        
        Cas isolés d'anomalies congénitales
        
        Toxicité sur la reproduction
        
        sd extrapyramidaux si exposition au 3ème tri :warning:
- - - - Délires chroniques non schizophréniques
      - Psychose hallucinatoire chronique
      - Schizophrénies
        TT différent si forme «productive» ou « déficitaire »
      - Délires paranoïaques
      - Schizophrénies résistantes
    - - Etats d’agitation et d’agressivité
      - Mélancolies délirantes
      - Insomnies rebelles
      - Anorexie
    - - Accès maniaques
      - Psychoses délirantes aiguës