Accroche
Ainsi Balzac juge-t-il dans la Préface de Splendeurs et misères des courtisanes, que « l’aplatissement, l’effacement de nos mœurs » l’oblige à s’intéresser aux figures marginales, puisqu’il n’y a plus « de mœurs tranchées et de comique possible que chez les voleurs, chez les filles, et chez les forçats, il n’y a plus d’énergie que dans les êtres séparés de la société ».