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bonheur - Coggle Diagram
bonheur
Selon Epictete
Il ne faut espérer que des choses qui dépendent de nous. En espérant une chose qui ne dépend pas de nous, on peut être déçu.
Si l’on désire ce qui ne dépend pas de nous, on est esclaves des évènements, alors que si on désire ce qui dépend de nous, on est maitre des événements et de soi-même.
-il faut s’éduquer à ne pas désirer ce qui ne dépend pas de nous : les événements extérieurs, il faut contrôler la valeur qu’on leur attribue aux afin qu’ils ne nous touchent pas.
-à force d’avoir du dégout pour nos réactions inappropriées, nos réactions émotionnelles évoluent.
Selon Schopenhauer :
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Si on fait reposer le bonheur sur la satisfaction de désir, alors ne vit que dans la souffrance et l’ennui.
- lorsque l’on désire, il nous manque, quelque chose = souffrance
- lorsque l’on obtient ce que l’on désire, on est satisfait, car plus de manque.
-lorsque l’on ne manque plus de rien, désire, plus l’objet que l’on voulait, car il est présent.
-on se sent vide, sans but, on s’ennuie
-lors de cet ennui, on recherche quelque chose qui nous manque, donc nouveau désir = cercle vicieux.
Selon Épicure, le bonheur consiste en l’absence de douleur.
Être heureux c’est être tranquille sur le plan corporel (aponie=absence de douleur du corps) et mentale (ataraxie=absence de souci spirituel). Il faut classer les désirs en fonction de leurs conséquences sur le long terme, car si on ne réalise que les désirs bons pour nous, on ne souffre pas
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Naturels et nécessaires : qui permettent à notre nature de s’épanouir (Ex : pour le corps : boire, manger et pour l’âme : le repos)
Naturels et non nécessaires : désirs agréables sur le moment mais qu’il faut satisfaire avec modération. (ex : fête, cosmétique)
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Désirs non naturels : désirs qui détruisent notre nature et qu’il ne faut pas réaliser. (Ex : drogue.)
Désirs excessifs : qui créent la dépendance. (Ex : sucre, gras.)
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plaisir : satisfaction éphemère, partielle,causée par un fait particulier
Selon Rousseau :si l’on ne désire plus, on perd tout ce que l’on possède. “Malheur à qui n’a plus rien à désirer”
Il y a dans l’attente et le représentation de satisfaction, une jouissance non négligeable.