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0 hse qse - Coggle Diagram

- - - - Le protocole HSE est régi par deux normes internationales : la norme ISO 45001 pour le management de la santé et la sécurité, et l’ISO 14001 pour le management de l’environnement.
        
        ’amélioration de la qualité des produits et services proposés par l’entreprise ;
        
        la réduction des accidents et incidents sur le lieu de travail ;
        
        la réduction des nuisances et des impacts sur l’environnement ;
        
        la maîtrise des coûts liés à la gestion de la qualité, de la sécurité et de l’environnement.
    - - identifie et hiérarchise les risques professionnels pesant sur les équipes en analysant leurs conditions de travail.
        
        Elle propose ensuite des protocoles et actions d’amélioration pour :
        
        garantir l’hygiène et la sécurité des employés
        
        limiter les risques de blessures et d’accidents
        
        éviter les maladies professionnelles
        
        anticiper les éventuels problèmes en mettant en place des formations.
- - - - Q Les risques et la sécurité induits par la qualité des produits, des équipements, des outils et autres composantes fournis par l’entreprise à ses salariés.
        
        S La santé et la sécurité des collaborateurs présents au sein de l’entreprise, qu’elle soit mentale ou physique.
        
        E L’impact des équipes et de l’entreprise sur l’environnement avec par exemple, le taux d’émissions de carbone rejetées par l’entreprise ou la quantité de déchets produits.
        
        réduction de l’empreinte environnementale de l’entreprise et de ses équipes. En ce sens, on voit clairement le lien entre RSE et QSE malgré quelques différences.
        
        errière ces améliorations, les entreprises trouvent un réel intérêt, car les politiques RSE et QSE sont source de meilleures performances et d’une meilleure gestion des risques sur le long terme. Mais ces deux acronymes n’ont pas les mêmes fonctions et ne se basent pas sur les mêmes référentiels.
        
        la RSE est une démarche transverse et globale qui aborde une multitude de questionnements dans le but de construire une stratégie concrète et sur le long terme. Une politique RSE va constituer le “quoi” en faisant la liste des problématiques à résoudre ou à améliorer.
        
        La RSE trouve son référentiel dans la norme ISO 26000
        
        La QSE constitue davantage le socle sur lequel va se baser la stratégie RSE. La démarche qualité va constituer le “comment y arriver” en listant les actions, les processus et les dispositifs permettant d’atteindre les objectifs de la politique RSE.
        
        La RSE trouve son référentiel dans la norme ISO 26000
    - - La QSE, quant à elle, peut faire l’objet d’une certification relevant des ISO 9001, ISO 14001, ISO 45001.
    - - souci d’amélioration continue.
        
        en charge de penser et mettre en place des procédures visant à améliorer la performance de l’entreprise en termes de qualité, sécurité et environnement, en travaillant notamment sur :
    - - L'aspect environnemental se concentre sur la protection de l'environnement naturel contre les dommages causés par les activités humaines. Cela inclut la gestion responsable des déchets, la réduction des émissions polluantes, la conservation des ressources naturelles, et la conformité aux réglementations environnementales.
  - - - Le responsable HSE a pour objectif de maîtriser les risques en lien avec l’hygiène, la sécurité et l’environnement des travailleurs. Il met en place des protocoles pour limiter et contrôler l’ensemble de ces risques. Le responsable QSE travaille également sur la gestion de ces risques, mais avec une vision de performance globale.
      - La HSE s’appuie principalement sur d’anciennes normes très précises en fonction des secteurs d’activité, comme la norme ISO 14001 relative aux enjeux environnementaux ou encore l’ISO 45001 relative à l’hygiène. Si le QSE pose ses bases sur ces normes, il prend aussi en compte l’ISO 9001 qui concerne la démarche qualité sur le lieu de travail.
      - Un responsable HSE met en place des processus de contrôle et des protocoles à respecter en basant son analyse uniquement sur le respect des règlements et des normes. Tandis que le management QSE axe davantage ses actions sur la performance tout en respectant les réglementations. Ainsi, les attentes du responsable QSE peuvent largement dépasser les normes préconisées.
- - - - Le Code de la construction et de l’habitation ainsi que le règlement de sécurité imposent de tenir un registre de sécurité pour chaque établissement recevant du public (ERP), quel que soit sa taille.
        
        Établissement Recevant du Public (R 123-2 CCH)
        
        tous bâtiments, locaux et enceintes dans lesquels des personnes sont admises, soit librement, soit moyennant une rétribution ou une participation quelconque, ou dans lesquels sont tenues des réunions ouvertes à tout venant ou sur invitation, payantes ou non.
        
        Sont considérées comme faisant partie du public toutes les personnes admises dans l’établissement à quelque titre que ce soit en plus du personnel ».
    - - Concernant les établissements recevant des travailleurs, le Code du travail impose également en dehors du registre sécurité de conserver et mettre à disposition des organismes d’inspection un certain nombre de documents et d’informations,
        
        • Les attestations, consignes, résultats et rapports relatifs aux vérifications et contrôles périodiques ;
        
        • Les rapports établis lors des vérifications sont annexés au registre de sécurité.
        
        Ces registres ne comprennent pas obligatoirement de données techniques, mais la date des vérifications, l’identité des vérificateurs et la liste des installations vérifiées ;
        
        • Les observations et mises en demeure notifiées par les organismes d’inspection tel que l’inspection du travail.
        
        L’employeur est par ailleurs autorisé à réunir ces informations dans un registre unique dès lors que cette mesure est de nature à faciliter la conservation et la consultation de ces informations.
    - - Toute exploitation industrielle ou agricole susceptible de créer des risques ou de provoquer des pollutions
        ou nuisances, notamment pour la sécurité et la santé des riverains est une installation classée.
        
        Ces installations sont soumises à des règles très strictes. En parallèle des lourdes obligations concernant les procédures administratives, les exploitants doivent également veiller à mettre en place une surveillance spécifique permettant de répondre aux obligations des installations classées.
      - Des arrêtés ministériels et préfectoraux listent les contrôles à réaliser propres à chaque installation,
        selon l’activité produite au sein de celle-ci.
    - - La certification APSAD (Assemblée Plénière des Sociétés d’Assurance Dommage) est une marque de certification qui atteste de la qualité des installations de sécurité incendie (détection, extincteurs, systèmes sprinklers, etc.), des installations d’intrusion, de vidéosurveillance et télésurveillance.
        
        Pour répondre aux exigences de l’APSAD, des référentiels décrivent les exigences de conception, d’installation et de maintenance des équipements en lien avec la sûreté et la sécurité incendie.
    - - Tout propriétaire d’établissement construit avant 1997 doit faire réaliser des repérages de produits amiantés basés sur des listes de produits précises, appelées listes A et B. Le propriétaire doit ensuite constituer et tenir à jour un dossier technique amiante (appelé communément le DTA) et doit faire procéder à des mesures conservatoires associées aux résultats des repérages. Ces mesures peuvent consister en une évaluation périodique de l’état de conservation des produits contenant de l’amiante, des mesures d’empoussièrement, des travaux de retrait ou de confinement.
        
        Le DTA doit être tenu et mis à jour par le ou les propriétaires (ou le syndicat des copropriétaires).
        Il est tenu à disposition des occupants et transmis aux personnes chargées d’organiser ou effectuer des travaux sur l’immeuble.
    - - L'élaboration et la mise à jour de ce document s'imposent à tout employeur dont l'entreprise emploie au moins un salarié.
        
        Cet outil permet de transcrire les résultats de la démarche de prévention des risques professionnels pour les travailleurs de la structure et de la pérenniser.
        
        Le document unique doit être mis à jour au minimum une fois par an et lors de tout changement de situation.
        
        Il doit également être revu après chaque accident du travail.
      - le document unique, ou document unique d'évaluation des risques professionnels
        (DU ou DUERP), a été créé par le décret n° 2001-1016 du 5 novembre 2001, en application des articles L4121-2Légi 1 et L4121-3Légi 2 du Code du travail. Le décret a également transposé la directive-cadre européenne du 12 juin 1989 sur la prévention des risques professionnels.
    - - Le dossier d’identité SSI est obligatoire pour tout système de sécurité incendie (SSI).
        
        Il doit être constitué par un coordinateur SSI après sa mission de coordination SSI, d’après, notamment,
        
        les éléments communiqués par l’installateur Son contenu drastique est imposé par la norme NF S 61-932.
  - - - La gestion des registres et dossiers, réglementaires ou non, nécessite que chaque personne assure strictement chaque étape qui lui est affectée dans le process. Ce qui est rarement le cas car les acteurs sont humains et nombreux, avec des fonctions et des priorités différentes.
        
        De plus, les rapports se perdent, parfois même les registres, le suivi des observations / prescriptions / commentaires est mal assuré, et ne parlons pas des formations et des travaux d'aménagement.
        
        Il s’agit d’une réelle problématique complexe, dont la solution, même s’il existe, est peu pérenne.
    - - Il est déjà compliqué de piloter des registres et dossiers au format papier pour un unique établissement,
        
        s'ils sont sur le site et si la centralisation des données et leur suivi ne sont pas envisageables.
        
        la communication de l’information s’en trouve altérée.
        
        Compte tenu que le travail et la consultation partagés sont difficilement possibles avec le papier,
        
        Plus grave, comment respecter ses obligations lorsque tous les éléments ne sont pas en notre possession ?
        
        alors que vous avez plusieurs établissements
        
        lorsque les registres sont centralisés aux services techniques / généraux / de sécurité et le responsable d’établissement n’a pas toutes les informations,
    - - Les réglementations liées au domaine du bâtiment et aux installations associées sont multiples et complexes
      - Qu’avez-vous mis en place au sein de votre structure ?
        
        • Un classeur par domaine réglementaire ?
        
        • Très bien, mais quand un rapport concerne 2 domaines ?
        
        • Où sont-ils stockés ?
        
        • Plusieurs interlocuteurs pour tous les domaines ? donc plusieurs méthodes de travail ?
        
        • Etc.
      - Il est difficilement gérable de piloter tout cela au format papier.
    - - le pilotage des obligations impose d’associer plusieurs participants en s’interrogeant sur
        
        qui donne suite à quoi, qui fait quoi quand quelqu’un n’est pas là, etc.
        
        qui reçoit quoi,
      - L’exemple de la complexité de communication de l’information est flagrant : comment donner la même information aux entités du siège qu’aux services sur le terrain ?
      - Cela demande une énergie et une rigueur hors normes. Sans compter la perte de temps pour tous.
      - De plus, un grain de sable dans l’organisation la mieux huilée possible engendrera l’échec du process.
    - - pb
        
        Il est parfois difficile d’y trouver les documents attendus, et que nous éprouvons un effet « fourre-tout » avec certains dossiers ;
        
        • Le suivi est laborieux et nécessite des outils annexes, type tableau excel ou autres ;
        
        • la consultation et le suivi à distance ne sont pas possibles ;
        
        • Un registre papier, quel que soit le domaine, ne précise pas la périodicité des points de contrôle
        
        (vérification, maintenance, entretien, contrôle, formation,...)
      - questions perpetuelles
        
        Quelle est l’alternative si le registre / dossier disparait ?
        
        • le papier se perd, peut brûler avec le bâtiment et, surtout, il se détériore avec le temps
        
        qui peut parfois être court.
        
        Où est conservé le registre / dossier ?
        
        Suis-je à jour ?
        
        Tous les documents ont-ils été intégrés ?
        
        Les observations sont-elles levées ?
        
        Quand l’entreprise X doit-elle passer ?
        
        Qui dois-je former ? quand ? pourquoi ?
        
        Qui doit faire quoi ?
        
        Que se passe-t-il si Y est absent ?
      - LES AVANTAGES DU DIGITAL
        
        Vous disposez d’une seule interface accessible où, quand et par qui vous voulez.
        
        • Le gain de temps évident et conséquent.
        
        • Les réglementations en vigueur sont à jour.
        
        • Pas d’omission possible
        
        • Aucun risque de perte et de détérioration des données
        
        • Tous les registres, dossiers et autres documents centralisés en un seul endroit
        
        Vous
        
        • respectez vos multiples obligations ;
        
        • pilotez toutes les actions de tous vos bâtiments en toute sérénité ;
        
        • gagnez du temps grâce aux alertes automatiques, aux tableaux de bord et aux multiples fonctionnalités
        
        • sensibilisez l’ensemble des intervenants au maintien du niveau de sécurité des bâtiments au moyen d’un outil intuitif et partagé.
        
        En effet, vous donnez des accès et des droits à qui vous souhaitez : collaborateurs, prestataires, acteurs
        de la prévention, organismes, directeur d’établissement, etc. Tout le monde participe, d’où une efficacité sans commune mesure avec le papier.
- - - - La principale différence entre HSE et SSE se trouve dans le domaine d’intervention, et ce notamment sur le périmètre environnemental. En effet, la démarche SSE ne se concentre que sur quelques éléments du domaine environnemental alors que la démarche HSE peut servir à dessiner un véritable management de l’environnement.
        
        De même, la HSE s’appuie sur davantage de normes que la SSE. Elles peuvent avoir en commun la norme OHSAS 18001, mais la démarche HSE est régie par d’autres normes comme l’ISO 14001 pour l’environnement ou encore la norme internationale ISO 45001.
- - - - la stratégie RSE d’une organisation de travail est aussi unique que l’organisation même. Même si certains projets peuvent vous donner des idées, il est important de partir de VOS besoins et VOTRE contexte
    - - Mais la RSE ne se concentre pas que sur l’environnement et comporte également :
        
        Une partie sociale : un focus sur l’amélioration de la qualité de vie, du bien-être et de la sécurité des salariés de l’entreprise.
        
        Une partie sociétale : Un focus sur l’amélioration de l’impact de l’entreprise sur la société et ses parties prenantes.
- - - - Cela implique la mise en place de mesures préventives , l
        
        Cela inclut
        
        la promotion d'un environnement de travail sain et de modes de vie sains et équlibrés
        
        la prévention des maladies professionnelles
        
        pour réduire les risques professionnels
        
        et la gestion du stress lié au travail.
        
        la fourniture de ressources pour soutenir le bien-être des travailleurs.
  - - - par la mise en place de mesures préventives destinées à éviter et réduire les risques cad l'exposition à des dangers
        
        Cela inclut la mise en place de mesures de protection contre les dangers physiques, chimiques et environnementaux.
        
        ce qui implique, en identifiant, évaluant et réduisant les risques
      - concernant
        
        la sécurité physique
        
        la prévention des accidents , des blessures, et des dommages physiques.
        
        x
        
        dommage
        
        Un dommage se réfère généralement aux conséquences négatives résultant d'un événement indésirable. Il peut inclure des pertes matérielles, financières ou immatérielles. Dans le contexte de la sécurité au travail, un dommage peut impliquer des effets tels que des pertes de production, des dommages matériels aux équipements, ou des impacts environnementaux.
        
        le dommage est un terme plus large englobant les conséquences néfastes en général,
        
        blessure
        
        Une blessure, en revanche, se rapporte spécifiquement aux dommages physiques (corporels)ou psychologiques subis par une personne. Cela peut inclure des lésions corporelles telles que des coupures, des fractures, des brûlures, des traumatismes crâniens, etc. Les blessures peuvent être légères, graves, temporaires ou permanentes, et leur gravité dépend souvent de la nature de l'accident et de la manière dont la personne a été exposée au danger.
        
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        Dans le contexte de la sécurité au travail, la gestion des risques vise à minimiser à la fois les dommages et les blessures en mettant en place des mesures préventives et des protocoles de sécurité adéquats.
        
        la sécurité psychologique
        
        elle concerne le climat social et émotionnel dans un environnement donné,
        
        cad l' environnement de travail, les relations interpersonnelles
        
        les individus doivent se sentir en sécurité pour prendre des risques, exprimer leurs idées, poser des questions et être eux-mêmes sans craindre de représailles ou de jugements.
        
        Elle est souvent associée à des environnements de travail sains où la confiance, le respect et la communication ouverte sont encouragés.
        
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        précision
        
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- - - - la prévention des risques professionnels, et l'amélioration des conditions de travail.
      - La SSCT est souvent réglementée par des lois et des normes gouvernementales visant à protéger les travailleurs et à garantir des environnements de travail sûrs.
      - la protection de la santé physique et mentale des travailleurs,
    - - la gestion des accidents du travail et des maladies professionnelles,
      - la mise en place de mesures de sécurité au travail
      - la réglementation des conditions de travail
- - - - un but , un resultat
      - Dans l’ensemble, cela assure la sécurité et le bonheur de votre équipe et garantit des processus de travail optimaux au sein de votre entreprise.
- - - - Le responsable QSE, HSE, QHSE doit être capable de créer des procédures pour assurer le bon fonctionnement de l’entreprise. Il effectue une veille active sur les différentes législations dans son secteur. De plus, il doit créer des programmes de prévention et s’assurer de leur bonne mise en place dans l’entreprise. Enfin, il réalise des audits internes et externes pour vérifier que le référentiel est bien respecté.
        L'architecture du futur
- - - - La portée fait référence à l'étendue ou à la gamme des activités, des personnes ou des situations couvertes par une mesure de sécurité ou de santé. elle concerne :
        
        Hygiène : les pratiques et les mesures visant à maintenir un environnement propre et sain. elle peut inclure
        
        l'hygiène personnelle
        
        focalisation lavage des mains
        
        l'hygiène des locaux
        
        focalisation nettoyage des des locaux
        
        l'hygiène des équipements.
        
        focalisation nettoyage des équipements, etc.
        
        Sécurité : les mesures visant à prévenir les accidents, les blessures et les dommages matériels sur le lieu de travail.
        
        la sécurité physique des travailleurs
        
        focalisation
        
        la sécurité des processus.
        
        la sécurité des installations
        
        la sécurité dans l'utilisation des machines
        
        la sécurité incendie,
        
        Conditions de travail : les aspects physiques, ergonomiques et psychosociaux de l'environnement de travail, y compris les équipements, la charge de travail, les horaires, etc.
        
        focalisation
        
        l'ergonomie des postes de travail
        
        la gestion du stress,
        
        Santé : les mesures visant à promouvoir et à préserver la santé physique et mentale des travailleurs, en abordant les risques pour la santé liés au travail ainsi que les aspects de bien-être général.
        
        focalisation
        
        la prévention des maladies professionnelles
        
        la promotion de modes de vie sains,
        
        Qualité de vie au travail (QVT) :l'amélioration du bien-être des employés au travail, en prenant en compte des aspects tels que l'équilibre entre vie professionnelle et vie privée, la satisfaction au travail, le développement personnel, etc.
        
        focalisation
        
        le développement des compétences,
        
        la flexibilité du travail
      - Par exemple, dans une politique de sécurité au travail, la portée pourrait inclure tous les employés d'une entreprise, toutes les zones de travail et tous les aspects des opérations qui pourraient présenter des risques pour la santé ou la sécurité.
      - la portée concerne l'étendue des mesures de sécurité ou de santé,
    - - La focalisation se réfère à la concentration ou à l'attention particulière accordée à un aspect spécifique des mesures de sécurité ou de santé. Elle concerne
        
        Hygiène :
        
        Sécurité : La focalisation de la sécurité peut varier en fonction des risques spécifiques présents sur le lieu de travail
        
        Conditions de travail :
        
        Santé :
        
        QVT :
      - Par exemple, une entreprise peut choisir de se concentrer sur la formation des employés en matière de manipulation sûre des produits chimiques, en mettant l'accent sur les risques associés à cette activité spécifique.
      - la focalisation se rapporte à la concentration sur des aspects spécifiques au sein de cette portée.
    - - Les objectifs de chaque domaine sont généralement liés à la protection et à l'amélioration de la santé, de la sécurité et du bien-être des travailleurs, ainsi qu'à l'optimisation des conditions de travail pour favoriser la productivité et la satisfaction au travail.
    - - La mission de chaque domaine peut être déclinée en mesures spécifiques, telles que l'élaboration de politiques, la formation des employés, la surveillance des conditions de travail, la promotion de modes de vie sains, etc. Chacun de ces domaines peut avoir ses propres organes de réglementation, de recherche et de sensibilisation pour atteindre ses objectifs spécifiques.