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Vaccins thérapeutiques, Vaccins à cellules tumorales, La protéine spike…

- - - - Thérapie vaccinale contre le cancer combinée à d’autres modalités de traitements
        
        Les vaccins anticancéreux combinés à des cytokines, comme l’IL7 et IFNalpha
        administrés pour induire une stimulation immunitaire synergique des cellules
        dendritiques et des cellules T et inhiber la suppression immunitaire médiée par les Treg
        :arrow_right: efficacité immunitaire antitumorale améliorée et optimale
      - Vaccins génétiques – Vaccins à base viral
        
        PROSTVAC : est un vaccin prometteur contre le cancer de la prostate.
        :arrow_right: Consiste en un vecteur d’amorçage de la vaccine et en
        un vecteur d’amplification de la variole
        :arrow_right:Chaque vecteur contient des transgènes pour le PSA et trois molécules Co sti-
        mulatrices (CD80, CD54 et CD58)
      - Développement de vaccins contre le cancer : mise en place d’une réponse
        
        Contrairement aux vaccins préventifs, qui visent principalement à activer les cellules B productrices d’Ac
        
        un vaccin thérapeutique contre le cancer doit générer une forte réponse des cellules
        
        Les CD chargées d’Ag tumoraux peuvent être utilisées pour produire des Ac
        
        Les CD chargées d’Ag tumoraux se lient auxcellules T cytotoxiques CD8+ et les activent, ce qui leur permet d’attaquer la tumeur
      - Mécanismes associés à l’échappement immunitaire des cellules tumorales :
        vaincre les défenses, stratégies :
        
        Interaction FAS-FASL :arrow_right: le LT est tué par cette interaction
        
        Cytokines :arrow_right: inhibe la réponse immunitaire
        
        diminution de l'expression de CMH1
        
        baisse de l'expression des mol&cules de costimulation (CD80-86) qui est nécessaire pour l'activation ds LT en plus de son interaction avec l'antigène
- - - - pourquoi l'utilisation d'adénovirus comme vecteur n'a pas été suffisante
        
        tout le monde a des adénovirus et nous avons une immunité dirigée contre les adénovirus. Donc notre immunité va empêcher la transfection des cellules par cet adénovirus (vecteur du vaccin). On peut tout de même utiliser les adénovirus du singe car différents de ceux de l'homme.
    - - pourquoi utilise-t-on de l'ARNm et pas l'ADN :arrow_right: ADN reste très longtemps en dehors de la cellule et l'ARNm se dégrade rapidement. Il pourra être directement traduit alors que l'ADN doit d'abord traverser la membane cytoplasmique et aller dans le noyau et c'est seulement à ce moment là que l'ADN sera traduit alors que l'ARN sera directement traduit dans le cytoplasme cellulaire.
      - Au niveau des cellules musculaires : on a des nanoparticules dans lesquelles il y a l’ARNm et l’ARNm va directement être traduit par les ribosomes pour donner la protéine spike et le protéasome va la dégrader et les molécules de CMH de classe I vont capter cette protéine spike à leur surface et la présenter ensuite aux cellules de l’immunité
        
        Au niveau des CPA, il se passe le même mécanisme, la protéine spike va être associée aux molécules de CMH de classe I mais en plus, la protéine va être endocytée à l’intérieur des endosomes et sera présentée par les molécules de CMH de classe II et va activer les LTCD4+ et LTCD8+ qui iront tuer toutes les cellules infectées.