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Entrainement en altitude - Coggle Diagram
Entrainement en altitude
Effet de l'altitude :
Altitudes modérées (2 000 à 3 000 mètres) :
• À ces altitudes, l'air contient moins d'oxygène par unité de volume, ce qui déclenche une réponse physiologique dans le corps.
• Les adaptations initiales incluent une augmentation de la fréquence respiratoire et cardiaque pour compenser la diminution de la pression partielle d'oxygène.
• Les athlètes peuvent commencer à ressentir une diminution de leur performance aérobie maximale (VO2max) due à la réduction de la disponibilité d'oxygène.
Altitudes élevées (3 000 à 5 500 mètres) :
• À mesure que l'on monte en altitude, les effets de l'hypoxie s'intensifient.
• Les adaptations physiologiques se renforcent, notamment une augmentation de la production d'érythropoïétine (EPO), une hormone qui stimule la production de globules rouges, et une augmentation de la concentration d'hémoglobine pour améliorer le transport de l'oxygène dans le sang.
• Cependant, les athlètes peuvent également ressentir une diminution de leur capacité de travail et de leur performance en raison de l'hypoxie sévère.
Très hautes altitudes (au-dessus de 5 500 mètres) :
• À ces altitudes extrêmes, la vie permanente devient impossible en raison de l'hypoxie sévère.
• Les adaptations physiologiques incluent une augmentation significative de la production de globules rouges et une augmentation de la densité capillaire pour optimiser le transport d'oxygène vers les tissus.
• Cependant, l'effet délétère de l'hypoxie sur la performance physique devient plus prononcé, et les risques de maladies liées à l'altitude, tels que le mal aigu des montagnes (MAM), augmentent considérablement.
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