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Les théories sur les effets des médias - Coggle Diagram
Les théories sur les effets des médias
Les effets des médias selon Mercier
Boucle intéractive
Le modèle Propagandiste
La seringue hypodermique
4 principes fondamentaux qui déterminent selon lui les comportements humains
Pulsion alimentaire
Pulsion sexuel
Pulsion combative
Pulsion parentale
Très puissant
Manque la violence politique concrète
Tchakhotine
Conditionnement des masses
L'école de Columbia
Le Two-step flow of communication
flux de com à 2 étages
Lazarsfeld
Pas obligé de subir les discours
Mécanisme de filtrage :
La mémorisation sélective
L’exposition sélective au discours médiatique
L’attention sélective
Limité
Le déterminisme technologique
“Le message c’est le médium.”
le type de support peut induire
étudier le message et le support
Marshall McLuhan
Le
village globale
Le partage, se rencontrer, le dialogue, l'interconnaisse culturel
Viendra plus avec la TV
Noosphère
espèce d’épisode ultime de l’harmonie universelle
Il va un peu loin
Puissant
L'agenda-setting
Les médias nous disent ce à quoi il faut penser
et non pas ce qu’il faut penser
Shaw et McCombs
Ponctuel mais assez puissant
un effet direct
Je vote cela parce qu’on me dit qu’une question précise est devenue centrale et donc il y a un partie qui en a déjà fait une priorité, donc je vote pour eux.
Le paradigme des usages et gratifications
Effets différents selon les usage que les publics vont en faire
Blumler et Katz
Différent selon les usages et récepteurs
d’éventuels détournements ou renforcements des opinions
trouve que les les récepteurs sont actifs et utilisent les médias pour satisfaire des besoins particuliers, ce qui leur permet de contrôler leur comportement de consommation des médias
Les besoins :
Les besoins cognitifs (acquisition de connaissance)
Les besoins affectifs (de quoi se procurer des émotions, ex sport)
Les besoins de relâcher la tension (idée d’évasion)
Le besoin d’intégration personnelle (usage des médias pour la préservation de son statut social)
Le désir d’intégration sociale (pouvoir interagir avec ses proches)
Les usages :
usage des relations sociale
usage d’identification personnelle
usage de distraction
usage d’information
La sociologie critique des médias
Cette sociologie critique est très fortement inspirée du marxisme. C’est-à-dire qu’ils considèrent qu’il y a une lutte des classes et que les médias sont du côté des dominants.
Elisabeth Noelle-Neumann
Puissant
En gros, un média est par essence conservateur, et non pas révolutionnaire.
les médias seraient membre du systèmes car ils ne donneraient pas correctement la paroles aux force politiques contestataire
Sociologie fortement inspirée du marxisme
Et donc Elisabeth Noelle Neumann dit, il y a spirale du silence parce que moins vous osez, moins les médias ont la perception qu’il y a beaucoup de gens qui partagent ces idées, donc plus ils pensent que c’est marginal. Et plus il pensent que c’est marginal, moins ils vont traiter de ces idées dans leur médias. Et moins on traite de ces idées dans les médias, plus les gens qui sont adhérents de ces idées se disent qu’on en parle jamais.
Les Culturals Studies
Un message médiatique subit une influence culturelle
Stuart Hall
Différent selon la façon dont les
publics décodent les messages
Encodage culturel du message
Ref Charlie Hebdo
L'agenda-setting revisité
Donc l’agenda-setting revisité, c’est les médias nous disent ceux à quoi on doit penser sur certains sujets. Et donc que l’effet d’agenda ne marchera pleinement que sur les situations où les gens sont exclusivement dépendants de l’accès médiatique pour avoir accès à l’information sur un sujet.
Weaver
Puissant si sujet méconnu
Donc la principal amélioration est de sortir de l’idée que l’agenda-setting est forcément influent parce que les gens ne sauraient pas, donc comme ils apprennent par les médias, du coup, ça a de l’influence.
Les approches cognitivistes (média)
Cadrage d’imputation
Entman et Iyengar
Potentiellement fort surtout qu'on ne se rend pas
forcément compte des implicites des messages
Donc cette idée que les médias nous livre des cadres plus ou moins interprétatif ou moins explicites et souvent implicite
“Cadrer, c’est sélectionner certains aspects d’une réalité perçue et les rendre plus saillant dans un message pour promouvoir une définition particulière d’un problème, promouvoir une interprétation causale, une évaluation morale, voire une recommandation concernant le traitement du sujet en question”.
Les façons d'objectiver ce cadrage
le rubricage implique un cadrage
comment on traite de l’information
Le Framing Effect
(Effet de cadrage)
biais cognitif par lequel les récepteurs réagissent différemment aux messages émis par les médias (ex : si on les présente de façon positif ou négatif)
Les approches cognitivistes appliquées aux récepteur
Les heuristiques, c’est un schéma simplifié d’interprétation
Graber, Pariser, Kahneman
Limité / Puissant s'il s'agit juste de nous faire réagir
Les biais cognitifs
Le biais de cohérence
Dissonance cognitive (pas perdre la face)
(raciste, non j'ai un pote)
Le biais de facilité
2 mode de traitement de l'info
Mode centrale (on veut comprendre)
Mode périphérique à la légère
Le biais d’encrage
Ancrage d'une première information
Le biais d’accessibilité
Tendance générale à accorder une plus grande
considération sur des faits momentanément
les plus accessible ou saillante
Le biais de renforcement
effet poubelle ou étagère
Pour faire ce travail il y ce travail de poubelle et les heuristique, on va rabattre des info sur tel ou tel sujet à du connu et donc du coup l’info reçu devient une simple illustration d’un schéma reçu (les femmes conduisent mal)
Les heuristiques sont souvent lié à des stéréotypes