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Crise personnelle, crise familiale et Juste la Fin du Monde - Coggle…

- - - - Reproches faits par la mère dans la scène 8 de la première partie
        " Petit sourire ? / Juste <<ces deux ou trois mots>> ?"
      - Une parole qui ne prend réellement place que dans des monologues :
        
        prologue
        
        I scène 5
        
        I scène 10
        
        épilogue
        
        exposant la crise du personnage
      - Un silence qui prends écho dans le titre : tournure elliptique qui explique des choses bien plus complexes
      - Reproches fait par Suzanne dans la 1ère partie scène 3 ("Parfois tu nous envoyais des lettres/
        une ou deux phrases elliptiques")
      - Silence durant jusqu'à la toute fin : cri non pussé de l'épilogue
    - - Réflexion sur la différence entre SA mort et LA mort
        <=> le désespoir d'un personnage tragique
        
        Le titre : oxymore ironique; en effet c'est juste sa fin mais c'est une fin
        
        Il en parle également dans Isc10, la scène où il explique qu'il aimerait que le monde diparraisse avec lui
    - - Problématique abordée dans d'autres oeuvres de lagarce : "j'étais dans ma maison et j'attendais que la pluie vienne"
      - Un retour désespéré, décidé dans son lit de mort cf prologue
        
        Qui témoigne peut-être juste d'une volonté de se mettre en scène <=> dimension méta-théâtral du texte
        
        boucle prologue-épilogue + cadre spatio-temporel étrange, point de vue surplombant, parabase faite par le perso lui-même => mise en scène
        
        "rôles" mentionné à plusieurs reprises, Sliloque Isc8 IIsc2 et 3 par Antoine
        
        et pouvoir là encore paraître
  - - - Organisation en cadence mineure = essoufflement
      - Communication en échec malgré le fait que Louis ait conscience de son statut dès le début de la pièce : "cette absence d'amour fit toujours plus souffrir les autres que moi" Isc5
      - Louis venu pour dire enchaîne les soliloques et est résigné à écouter Isc3 Suzanne Isc8 Mère Isc11 Antoine ...
        
        Mot clé : logorrhée/ parole logorrhéique
      - Rien que dans l'épanorthose on ressent cette impossibilité à dire ce que l'on pense, on se reprend on réessaie, on finit même par fuir Isc9 "Catherine reste seul"
        parafait exemple : "jje disais seulement,
        je voulais seulement dire/
        (...), je disais seulement,/
        je voulais seulement dire..."
      - Drame qui se termine sans avoir commencé : Louis n'a pas annoncé sa mort
      - Des persos comme Antoine qui commence à peine à s'ouvrir Isc11 et qui ne parle pas de base (Soliloque de la mère) mais qui finisse par le faire énormément dans IIsc3 <=> communication défaillante qui mène à une explosion
      - cf drame de le vie (non-dit)
        <=> tension entre la volonté de dire et l'impossibilité de le faire
        
        s'incrit dans l'anti-théâtre du XXème
    - - Antoine, frustré et agressif
        
        Le rôle d'abruti imposé
        
        IIsc2 il implose "arrêtez tout le temps de me prendre pour un imbécile!"
      - Suzanne
        
        1) L'abandon par Louis reproché dans Isc3 par elle, puis par la Mère dans le soliloque Isc8
        
        2) La pression dans le cadre familiale
        
        Pour aider la Mère Isc3
        
        Obligation de se plier à l'autorité d'Antoine, elle explose Isc9 et en parle à LouIi Isc7
      - La Mère nostalgique et empathique
        
        La fonction avant l'humain
        
        regret du père dans Isc4 dans une parole logorhéique
        
        nom du personnage
        
        soliloque où elle est incapable de parler à "je"
- - - - Prologue avec coryphée et parabase + irrévocabilité peur et pitié antique ...
      - Organisation en 5 parties
      - Thématique de la mort, fatalité, rivalité
      - Unité de temps : un jour
  - - - cf drame Louis/ drame des autres personnages
    - - Personnages archétypaux et banals
      - La parole défaillante comme ultime message
    - - Terme inventé par Jean-Pierre Sarrazac
      - Plutôt QU'UN grand évènement qui vient foutre en l'air la vie du type c'est la SUPERPOSITION de tous les drames de sa vie
        
        La rivailté Antoine-Louis dès l'enfance mais jamais expliquée qu'on retrouve Isc4 ou Isc3 (je crois)
        
        Suzanne s'en voulant d'être né "Antoine : c'est notre faute / Suzanne : Ou la mienne"
    - - Pas d'actions, parole à la place