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Théories financières, LA THÉORIE DES PREFERENCES HIERARCHIQUES DE…
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MM 1958
La structure financière n'influence pas la valeur totale de l'entreprise ,elle modifie seulement la façon dont les flux de trésorerie se partagent entre actionnaires et créanciers .
Sous les hypothèses des marchés parfaits, la valeur d'une entreprise est égale à la valeur actuelle des flux futurs offerts par son actif économique. Cette valeur n'est pas influencée par la structure financière de l'entreprise .
Sous les hypothèses des marchés parfaits,le coût des capitaux propres d'une entreprise endetté est égal au coût des capitaux propres d'une entreprise non endettée plus une prime de risque proportionnelle au levier en valeurs de marché de l'entreprise .
MM 1961
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la politique de dividende choisie par l'entreprise n'a aucun effet ni sur le prix des actions ni sur la rentablité des actionnaires
Les valeurs sont déterminées uniquement par la capacité bénéficiaire de la firme telle qu'elle résulte de sa politique d'investissement
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MM 1963
Dans un monde avec impôts sur le bénéfice des entreprises, l'utilisation de la dette est avantageuse, car elle permet la réalisation d’une économie d’impôt, augmentant ainsi la valeur de l'entreprise
En présence d’imposition: La valeur de la firme est une fonction croissante de l’endettement . Le coût du capital n’est plus indépendant de la structure du capital, il est une fonction décroissante de l’endettement .
D'ou le non neutralité de la structure du capital
MM1977
Miller (1977) élargit le cadre défini par MM (1963), en proposant un modèle traitant de l’effet de l’endettement sur la valeur de la firme qui tient compte aussi bien de l’impôt sur les sociétés que l’impôt personnel sur le revenu des investisseurs
Il montre que la prise en compte de ces deux fiscalités permet d'aboutir aux mêmes conclusions que celles produites en 1958 :la neutralité de la structure du capital
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INTRODUCTION DES COUTS D'AGENCE: L’APPORT DE LA THÉORIE D’AGENCE A L’ETUDE DE LA STRUCTURE DU CAPITAL
la théorie d’agence suppose que l’optimum résulte d’un arbitrage entre les coûts d’agence liés aux capitaux propres et ceux liés à la dette