Après les années 20, beaucoup vont s'intéresser à la psychologie, la considérant comme un paramètre à manipuler : socialibilité, repose, sentiment de reconnaissance et d'accomplissement, santé...
Puis sera ajouté à cela d'autres capacités comme le positivisme, la motivation des autres...
Tous ça sera laissé de côté car trop difficile à mesurer pourtant repris fin 80 début 90 avec le management de soi.
Libéralisation du commerce, entreprises moins sûr de leur avenir. Solutions ?
Ne plus respecter un script rigoureusement, mais s'adapter et s'ajuster à des aléas, à des incertitudes.
Produire des travailleurs capable de s'autocontrôler et qu'ils fonctionnent en cohérence avec le projet général de l'entreprise
Principe de coatching : aider le salarié à se motiver et le montrer aux autres; gérer leur carrière; suivre des formations pour améliorer leurs performance. Entreprise, lieu de développement personnel, et le travail est présenté comme l'opportunité de se travailler sur soi-même
Importance du leader, celui qui a une vision et qui peut la partager aux autres et les motiver
Valorisation de l'autonomie et de la liberté de choisir, car un individu qui se considère libre d'accepter, et qui le fait sera d'avantage engagé.
Préférence de la confiance que de la menace, car les bonnes relations sont conservés et donc contrainte sur la qualité du travail. Car la confiance est un autocontrôle
Les primes permettent : une reconnaissance personnelle, et donc décourage les mouvements de groupe. Et compétition à la performance.
Vincent Gaulejac : ces entreprises s'appuie sur un contrat de départ narcissique. Ils auraient le sentiment le sentiment d'être une partie importante de l'entreprise.
La motivation engendrée par le besoin de reconnaissance produirait des bénéfices durables.