“Chaque fois que je revenais du lycée, je la trouvais au salon, (...)le regard vif, sirotant du thé à la menthe et dialoguant à toute vitesse et toute joie avec l'une de ses innombrables correspondantes. Des gens qu'elle n'avait jamais vus, à qui elle avait téléphoné n'importe où dans le pays, le plus naturellement du monde, et qui étaient devenus ses amis.”(p.57)