Pour l’intervenante structurelle, cette polyvalence se traduit également par une analyse globale qui tient compte des variables de classe, de sexe, d’origine ethnique, de religion, de statut familial, et de toute caractéristique qui pourrait entraîner une forme d’oppression. « Par polyvalence, nous entendons cette habileté d’intervenir à différents paliers d’organisation de la réalité sociale, tels que les individus, les couples, les familles, les petits groupes, les associations, les communautés ainsi que les petites et grandes collectivités, en se basant sur une analyse multifactorielle des situations-problèmes qui lui sont présentées. » (Lévesque & Panet-Raymond, 1994, p. 27)