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Représentation mentale - Coggle Diagram

- - - - Réseaux relationnels
      - Schèmes
        
        Frame,Schank&Abelson(1977)
        
         Organisation des événements ou actions
        
         Scènes
        
         Épisodes, tel que restaurant, supermarché, fête d’anniversaire
        
        3 caractéristiques
        
        Schéma comme blocs de connaissances
        
        ==> unités insécables et récupérées en mémoire comme telles
        
        Objets complexes, construits à partir d'objets éléménetaires
        
        MOP (Schank): Memory Organization Packets
        
        Schéma structures générales et abstraites
        
        qui s’appliquent à différentes situations concrètes
        Les schémas contiennent des place libres (slots) remplies par des éléments spécifiques de la situation(instanciation du schéma
        
        Code imagées conservent
        
        Forme, position relative, propriété topologique
        
        Code plus abstrait que le code visuel
    - - Les représentations propositionnelles : être capable de formuler pour conforter à une version semblable
        
        -Expriment les structures prédicatives caractéristiques du langage (c’est quelque chose qui va s’exprimait sous forme de vrai ou faux )
        
        -À la base de la communication et la transmission d’information
        
        Modèle prédicatif: Vrai ou Faux  Prédicat + arguments
      - Comprendre un texte: construire des représentations
      - Raisonner: inférer des propositions nouvelles à partir d’autres propositions
    - - les structures spatiales caractériqute de la perception visuelles
      - Beaucoup d’arguments pour une spécificité des représentations de nature imagée
        
        Paivio, Kosslyn, Shepard
        
        Les«images mentales»sont issues des représentations perceptives (visuelles) mais sont produites en l’absence de stimulus
        
        Données expérimentales en faveur spécificités  Etudes sur la rotations mentale d’objets
        
        Exploration mentale de parcours
        
        Seriation mentale d’objets
        
        Comparaison mentale d’objet
        
        Représentation de déplacements
    - - reposant largement sur la sensori-motricité. Elles expriment prioritairement les enchainements, les transformations et successions d’états
      - Elles constituent une forme privilégiée des structures temporelles
        Il existe des formes mixtes
  - - - caractéristique de conserver les propriétés structurales des objets qu'elles représentent (ex: les images mentales) - sémantique de la ressemblance
    - - « Supposez un homme né aveugle puis devenu maintenant adulte ;
        
        par le toucher il a appris à distinguer un cube et une sphère du même métal et approximativement de la même taille, de sorte qu’il arrive à dire, quand il sent l’un et l’autre, quel est le cube et quelle est la sphère. Supposez ensuite qu’on place le cube et la sphère sur une table et que l’aveugle soit guéri.
        
        Question : est-ce que par la vue, avant de les toucher, il pourra distinguer et dire quel est le globe et quel est le cube ? » William Molyneux (1656-1698)
        
        Comment traduire en termes contemporains ce problème ancien posé par Molyneux en 1688 ?...En se référant à la question des formats de représentation mentale, et à celle de l’intermodalité sensorielle ?
  - - - approche plurimaodale
        
        multiplicité des formats et lien déterminant entre nature de l'information traitée, mode de représentation et mode de traitement
      - approche conceptualiste
        
        un codage unique, propositionnel, amodal pour toutes les représentations stockées en mémoire
- - - - L'intentionnalité est la propriété de la conscience d'être «conscience de»: cela signifie qu'elle n'existe pas comme une chose qui contient, mais comme un acte de mise en relation.
      - D’abord définie dans le courant phénoménologique par Brentano (1874), puis reprise par Husserl (1901) la notion est empruntée ensuite par Searle (1984) dans un contexte moderne.
      - La capacité d'utiliser l'information sur le monde extérieur et de la stocker dans des représentations pour ensuite l'utiliser de manière à ajuster ses comportements
        
        La capacité à faire référence à des objets du monde
  - - - Une expérience fameuse de Piaget (1968), illustre cette notion.
      - Le bébé à partir de l’âge de 18 mois devient capable de se représenter mentalement un objet qui a disparu de son champ d’investigation: il devient capable d’intentionnalité, autrement dit d’accéder aux objets du monde par l’intermédiaire de ses représentations mentales.
      - Selon Piaget, il accède à la « fonction symbolique ».
  - - - le représentant (objet de connaissances ) R
      - le lien de référence entre représentant et représenté
      - le représente (objets en soi) O
      - l'agent cognitif
- - - - 1/ Les micropopriétés des processus neuronaux ne suffisent pas à rendre compte des macropropriétés des processus mentaux (autrement dit éviter l’écueil du réductionnisme, celui qui consiste à réduire le mental au cérébral)
        
        2/ Il est nécessaire de distinguer plusieurs niveaux de description dans l'étude et l'analyse de cette réalité complexe qu'on appelle la cognition (autrement dit, analyser l’activité cérébrale ne suffit pas à rendre compte ni de l’activité mentale, ni des comportements)
      - On peut avoir la même activité cérébrale mais pas le même comportement. Comme les dyslexiques anglais et italien. Pas de réductionnisme mais capacité à garder les capacité au même niveau.
  - - - « L'esprit est ce que fait le cerveau: une description de l'esprit est une description de la fonction du cerveau » (Kosslyn et Koenig, Wet Mind, 1994)
      - On distinguera les états mentaux des états cérébraux
      - Les états mentaux sont des états fonctionnels, non réductibles aux propriétés de leur substrat biologique
    - - Les comportements
        
        objet d’étude d’une science du comportement (psychologie behavioriste)
      - Entre les deux: Les propriétés fonctionnelles
        
        de l’esprit objet d’étude d’une science de la vie mentale (psychologie cognitive)
      - Les propriétés physiques du cerveau
        
        objet d’étude des sciences du cerveau (neurosciences)
  - - - Le matérialisme qui conduit au physicalisme
        
        ’esprit et le cerveau sont la même choses. Il n’y a pas de cognition, en soit . Activation neuronal= force physique = la science des sciences c’est la physique. Il n’y a pas de différence de nature entre le cerveau et l’esprit.
      - Le dualisme ontologique
        
        qui conduit à la séparation épistémologique des « sciences de la nature » et des « sciences de l’esprit »
      - Le fonctionalisme
        
        concilie une forme de matérialisme non réductionniste et une forme de dualisme non ontologique. On est pas non plus dans son dualisme mais on remarque que le fonctionnement de l’esprit est dépendant au fonctionnement de corps neuronal.
    - - le nombre d'éléments
      - L'espèces des élements
      - les relations entre les élements
  - - - Premier laboratoire de psychophysique (1980)comment on peut rendre compte de nos lois dans la perception
        
        Behaviorisme 1913 ===> Watson, une approche scientifique du comportement humaine et se basant sur la perception et non sur les facteurs externe. Les indicateurs externes ont vite été une menace sur un comportement.
        
        Réponse intermédiaires entre stimulus et réponse, on peut avoir des réponse extrêmement limité
        
        Intérêt pour les réponses intermédiaires entre stimulas et réponse : enfuit et on crée nos propres représentations; mobiliser ce qui se passe
    - - Psychologie cognitive
        
        e n’est pas l’ensemble de la psychologie, le subjectif n’est pas objectivable. En psy co, il y a deux types et celle cherche à éliminer le subjective
      - Philosphie
        
        on a le niveau cognitif le niveau mentale; on a besoin de la philosophie pour nous éclairer l’articulation et les rapports conjoints et quels sont les relations entre les neuroscience.lien entre le cérébrale et le mentale
      - Neuroscience
        
        en quoi elle contribue en science cognitive, une conséquence : c’est un rapport entre activité cérébrale et activité mentale
      - Intelligence artificielle
        
        simuler le modèle ou encore recréé. Un modèle informatique en se posant plein de question de contrat pour ensuite les opérationaliser
      - Le béhaviorisme est de rendre de compte du comportement qui résident dans les facteurs externes
      - La linguistique va souvent revenir dans le langage, de comprendre ses langues mai aussi les contrainte de l’esprit humain mais elle nous aide aussi dans la connaissance de nous même .
        L’anthropologie c’est l’étude de l’homme dans sa culture, la société ou il va évoluer va changer un certains nombre de choses que se soit géographie ou professionnel.
    - - Décrire et expliquer les grands fonctions mentales et les capacités de l'esprits
      - la perception: visuel, auditive, tactile
        
        la mémoire,
        
        le raisonnement,
        
        le langage,
        
        la prise de décision,
        
        la planification,
        
        les émotions,
        
        la conscience,
- - - - Les sujets sont tout d'abord entraînés à distinguer les objets de leur symétrique en miroir.
      - Dans un second temps, des paires d'objets, ou stimuli, leur sont montrés.
      - Dans chacune de ces paires
      -  l'un des stimulus est l'objet standard (focus),  l'autre stimulus (cible) étant,
      -  soit l'objet standard,
      -  soit son miroir, mais
      -  présentés dans des orientations différentes de celle du focus
    - - ou non congruente avec le focus.
      -  Les résultats de ce type d'expérience indiquent:
      -  le temps de réaction des sujets (TR) est proportionnel à l'angle de
      - rotation de l'objet-cible,
      -  Le TR est constant lorsque l'orientation de l'objet-cible, présenté à un moment donné, coïncide avec le changement progressif de l'orientation de l'image mentale.
      -  Ces résultats signifient, selon les auteurs, qu'il existe bien une image de rotation, dont témoignerait la fonction linéaire, et que cette rotation mentale suit les mêmes lois que la rotation physique (SHEPARD et METZLER, 1971)
      - Le temps de réponse est constant à la rotation du sujet.
  - - - Beaucoup d’arguments pour une spécificité des représentations de nature imagée
      - Paivio, Kosslyn, Shepard
      - Les«images mentales»sont issues des représentations perceptives (visuelles) mais sont produites en l’absence de stimulus
      - Données expérimentales en faveur spécificités  Etudes sur la rotations mentale d’objets
      - Exploration mentale de parcours
      - Seriation mentale d’objets
      - Comparaison mentale d’objet
      - Représentation de déplacements
  - - - Bruner(1966): représentations liées à l’action= représentations énactives
        
        Précède dans l’ontogenèse les 2 autres
        
        Cette forme de représentation: liée à l’exécution des procédures, en contrôle le déroulement
        
        Lié à la motricité
        
        Mais aussi des habiletés cognitives de nature symboliques qui se sont construites en faisant intervenir le langage mais qui se sont automatisées.
        
        Ex bataille navale ou pétanque
        
        Ces représentations contrôlent très bien l’exécution mais sont difficilement détachables de l’action
        
        (l’exposé des règles est en général incomplet, il faut jouer pour expliquer les règles – montrer leur application dans situations concrètes)
        
        Fonctionnement de ces représentations : analogies avec les activités sensori motrices
        
        Caractéristique : en général on n’y a pas accès en dehors de l’exécution de l’activité qu’elle contrôle.
    - - Modèle interne capable de prédire le résultat d’un mouvement et introduire des corrections de trajectoire en anticipant sur les effets d’éventuelles erreurs par rapport au résultat.
        
        Le modèle est la combinaison de 2 processus:
        
        Le premier simule le déroulement du mouvement à partir d’une estimation de l’état instantané du système et de la commande motrice produite par la représentation
        
        Le second simule les réafférence sensorielles que provoquerait le mouvement simulé par le premier processus
        
        La comparaison finale entre réafférences simulées et vraies réafférences sensorielles explique bien la détection et la correction très rapide d’éventuelles erreurs.
  - - - Les images mentales visuelles occupent une place particulière parmi les représentations cognitives car elles ont la propriété de conserver les caractéristiques spatiales et structurales de l’objet ou de la scène qu’elles représentent.
      - Stephen Kosslyn a ainsi montré en 1978 que, à l’instar de ce qui est observé dans le domaine perceptif visuel, le temps de déplacement « visuel » entre deux points d’une image mentale est proportionnel à la distance qui les séparent
      - Visual images preserve metric spatial information.
      - Evidence from studies of image scanning, Journal of Experimental Psychology, 4,
      - pp. 47-60).
      - Ce type de résultats indique que les images mentales sont des entités psychologiques qui reproduisent les contraintes du monde physique, en particulier ici certaines propriétés fonctionnelles.
    - - Dans une première phase, les sujets apprennent la carte de gauche sur laquelle figurent des repères (un puis, un arbre, etc.).
      - Durant la phase expérimentale, les sujets, les yeux fermés, génèrent
      - l'image mentale de l'île puis, à l'écoute du nom d'un couple de repères, se déplacent mentalement entre les deux repères spécifiés.
      - Le graphique révèle que les temps de déplacement mentaux sont proportionnels à la distance qui sépare effectivement les repères :
      - plus les repères bornant le déplacement mental sont éloignés, plus le temps mis à effectuer ce déplacement est long (d'après Kosslyn, 197).