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L'intelligence - Coggle Diagram

- - - - La courbe de Gauss représente la Loi normal
      - Elle permet d’illustrer la densité de population (axe y) pour chaque phénomène observé (axe x)
      - Prends exemple sur une population homogène, des militaires par ex, qui se rangent par taille
      - La distributions de la taille prend la forme d’une courbe en forme de cloche régulière et symétrique.
      - Le QI de Weshler ne met plus en cause le QI mais on en fait une comparaison entre les population
  - - - ▪Psychologue de formation
      - ▪Il exerce dans l’armée américaine dès 1917 ▪Se spécialise auprès de Spearman et Pearson
      - ▪Partage l’approche de Binet sur la nécessité d’évaluer les « fonctions supérieures » et la « conduite globale », il relève 2 limites:
      - Réponses verbales Vs. non verbales (→ Army Beta) • Q.I. de Stern
  - - - Grand succès de l’échelle de Binet • Processus supérieurs
        
        • Age mental et Q.I.
        
        • Possibilité d’analyses qualitatives
        
        ▪1916 : « Transfert » vers les USA par Terman
        
        • « Stanford-Binet » scale
        
        • Influence sur Wechsler (Bourreau de l’intelligence)
        
        Besoin d’analyser les processus mentaux chez les adultes aussi 1ère guerre mondiale
        
        Les USA ont besoin d’évaluer les individus pour les classer
    - - -Liste d’items (5: âge est structurée en fonction de l’âge moyens auquel, ils ont réussi , de 3à 15ans
        
        Items de 3ans: répéter deux chiffres, donner son nom de famille
        
        Items de 6ans :
        
        Si un enfant a du mal à faire un exercice d’enfant de son âge on dira qu’il a du retard du retard mentale
        
        Si un autre enfant arrive a faire des items d’enfants plus grand que lui on dira qu’il a un nombre d’année mentale plus grand 6ans =8ans
        
        Avec ce fonctionnement, on remarque que certains retard sont plus important que d’autre
        
        D’où la proposition de William Stern, il introduit la notion de quotient intellectuels (QI), on multiplie par cent.
      - Probleme
        
        Le même QI renvoie à des proposition différentes par classe d’âge
        
        -AC 5ans/ AM6ans (1 an d’écart)→Q.I. = 120
        
        AC 10 ans/AM 12 ans (2 ans d’écart)→Q.I. = 120
        
        Ainsi calculé, le Q.I. n’est pas pertinent pour les adultes
        
        à partir d’un certain âge les performances intellectuelles stagnent
    - - ( publié en 1905 dans l’Année psychologique, le contenue des items illustre 10 processus, construits à partir de :examen d’enfants « idiot » et « imbéciles » placée en asile, examen d’écoliers, chaque items correspond à un âge m’entame différents comme épreuve du suivi de regard, connaissance d l’aliment, exécutions d’ordre simples, connaissances verbale)Avec le temps, les items devenait plus précis, par exemple une description de gravure on va demander à l’enfant ce qu’il voit et par là on va définir son âge mentale -par énumération (3Ans)-par descriptions(7ans)-par interprétations(+10ans)
        
        Ensuite, on a des questions abstraites (1908)
        
        Série de questions faciles, un coté très sociale de ce genre de question
        
        -Si on a raté le train, que faut il faire?
        
        Série de 5 questions plus difficiles, un coté aussi très social mais aussi une capacité de reconnaissances d’émotions d’autrui
  - - - -Travaille avec Wundt, puis Galton
      - -Parle pour la première fois de « test mental »
      - -Développe une série d’épreuves psychophysiologique avec l’objectif de prédire la réussite scolaire et universitaire
      - Vitesse max du mouvement du bras
      - Différentiel du pois
  - - - Deli cousin de Darwin
      - -Obsédé par la quantification « mesure à la base de la science »
      - -Etude antropométriques
      - -Mesure du génies : habileté cognitive innée et générale
      - -Construit une batterie de test pour évaluer le fonctionnement mentale= mesure sensori-motrice: mesure alors la taille de la tête, la poignet de mais
      - Son but était de différencier les hommes de génie et les hommes normaux. Cependant il n’y avait pas de corrélation, mtn on voit une petit corrélation
  - - - École obligatoire= difficulté d’apprentissage= nécessite de dépister les enfants en difficulté( Benet)
    - - émergence de la psychologie différentielles dont l’objectif est de rendre compte des différences entre les individus (galton)
- - - - ▪Différentes méthodes: des adoptions, des, des gènes du « retard mental »
      - Il existe des gènes impliqués dans les dysfonctionnements cognitifs pathologiques (ex. trisomie 21 ou X fragile)
      - Plus le lien génétique est important, plus la ressemblance entre une paire d’individus estélevée en termes de QI
      - Degré de ressemblance augmente peu si individus élevés dans le même environnement
- - - - « … est la capacité générale qu’a un individu de comprendre et de maitriser le monde qui l’entoure »
      - … capacité à apprendre, comprendre et s’adapter à de nouvelles situations »
      - « … capacité générale d’adaptation
- - - - L’étude de Spearman montre une corrélation entre les matière comme le français et le latin.
      - Il en déduit 2 choses:
      - ▪Toutes les tâches sont au moins moyennement corrélées entre elles→il existe donc un facteur commun d’intelligence : le facteur Général (Facteur G) (si on est bon ou pas)
      - ▪Toutes les tâches présentent des performances en partie indépendantes les unes des autres → il existe donc des facteurs spécifiques: les facteurs S (spécifique à chaque apprentissage)
      - ▪Facteur G = représentation de « l’énergie mentale »
  - - - 6 épreuves intellectuelles passées par 240 étudiants
        
        ▪Sélection préalable des épreuves représentatives de ≠ activités
        
        ▪Après analyse factorielle, il trouve que les 56 épreuves peuvent se réduire à 12 puis à 8 facteurs d’intelligence (si il ya les même résultats entres ces différents facteurs cela signifie qu’il a au moins un des facteur qui corrèle avec un autre, il enlève donc 1 à chaque fois pour finir à 8.
        
        ▪Postule à l’indépendance de ces facteurs les uns par rapport aux autres • Pas de facteur « G » sousjacent
    - - Démarche épistémologique ≠
        
        Méthodes d’analyse factorielles utilisées ≠ • Simple chez Sp.
        
        • Multiple chez Th.
        
        Population étudiée ≠
        
        • Jeunes enfants chez Sp.
        
        Adolescents chez Th. (+ de spécificités dans les performances intellectuelles)
    - - Ingénieur et mathématicien
      - ▪S’ intéressa ensuite à l’apprentissage et à l’évaluation de
      - l’intelligence chez les adolescents
      - ▪Démarche empirique
      - ▪Développe des techniques d’analyses plus poussées (multi-factorielles)
      - ▪Critique le facteur « G »... mais y reviendra en partie !
    - - Ont permis d’intégrer ces 2 conceptions
        
        ▪Des analyses factorielles de « second ordre », de
        
        « troisième ordre » entre les facteurs
        
        → Facteurs de « second ordre », de « troisième ordre », etc.
        
        Par le modèle de Bunrt et Vernon (1952)
        
        On va calculer les différents facteurs
    - - Capacités transversales d’analyse de situation, révolutions de problèmes, vitesse de raisonnement, capacités déductives
    - - Capacité acquise, répertoire de compétences au cours de la vie
  - - - Justifications théorico-empiriques insuffisantes
    - - Fait sortir l’étude de l’intelligence du laboratoire o Evaluation toujours contextualisée (écologique)
        ▪ Promeut la diversité et rejette le déterminisme des approches factorielles
    - - Musicale
      - Kinésithérapie
      - Logico-Mathématique
      - Langagière
      - Spatiale
      - Interpersonelle
      - Intrapersonnelle
- - - - Evaluation du latin
      - « Ex »: hors de, à partir de
      - « VALERE » être fort, bien portant
      - Donc action de calculer la force, la valeur, à partir d’informations extraites de l’objet lui même
      - Cela suppose:
      - Des personnes et/ou outils de mesures
      - Norme, étalonnage, modele, référence
      - Ça suppose aussi, la question de l’éthique, qu’est ce que la norme