Please enable JavaScript.

Coggle requires JavaScript to display documents.

Contraception - Coggle Diagram

- - - - prolapsus
      - infection cervico-vaginale en cours
      - post-partum
      - dysplasie du col
  - - - mettre en complément (recommandé) un spermicide à l'intérieur
    - - prolapsus
      - rétroversion utérine
      - post partum
      - infection vaginale
      - infections urinaires à répétition
    - - il en existe différents modèles de taille variable (qui varie entre 5,5 cm et 9,5 cm de diamètre) et un modèle à taille unique
  - - - nullipares peuvent l'utiliser
    - - dans les 5-6 jours après rapport sexuel à risque, il est efficace, car oeuf pas encore arrivé dans l'utérus; contrairement à méthode chimique pour laquelle efficacité décroit avec temps
    - - le cuivre agit sur les spermatozoïdes en les rendant moins mobiles et moins viables dans l’utérus.
    - - grossesse potentielle ou connue
      - infection génitale
      - malformation de l’utérus
      - intolérance au cuivre
      - hémorragies génitales non expliquées
      - Antécédents de GEU
      - Fibromes et endométriose
- - - - Epaississement de la glaire cervicale, ce qui nuit au transport des spermatozoïdes (P)
      - Atrophie de l’endomètre, ce qui le rend impropre à la nidation (P= progestérone)
      - Blocage de l’ovulation par rétrocontrôle négatif sur l’axe hypothalamo-hypophysaire (LH,FSH), ce qui met les ovaires au repos (E = oestrogène)
      - privation de la pilule provoque arrivée des règles
    - - régularisation du cycle
      - diminution de l'abondance du flux menstruel
      - diminution du flux prémenstruel
      - diminution des dysménorrhées
    - - la dose d’éthinyl-estradiol : définit le dosage : mini ou normodosé.
        
        estrogène de synthèse dérivé du 17βestradiol
        Le dosage varie de 15 à 40 μg
        
        Minidosée : <50 μg
        Normodosée : 50 μg
        
        Aujourd’hui les pilules normodosées ne sont plus commercialisées en France
        
        Quelques pilules, plus récemment commercialisées, contiennent de l'estradiol en remplacement de l'éthinylestradiol
      - la nature du progestatif
        
        Dérivés de la 19-nortestostérone, dont il existe 3 « générations »
        
        2e génération : lévonorgestrel et norgestrel. Moins d’effets secondaires métaboliques ou androgéniques que les 1ère G
        
        3e génération : desogestrel, gestodène et norgestimate. Forte affinité pour le récepteur de la progestérone et une plus faible affinité pour le récepteur des androgènes. Ils ont une activité antigonadotrope majeure, ayant permis de réduire encore la dose d’éthinyl-estradiol. De plus, ils permettent également de diminuer l’activité androgénique (dont acné)
        
        De l‘ensemble des travaux publiés, il ressort que le risque d’événement thromboembolique veineux est accru avec les 3ème G par rapport aux 1ere et au 2ème G
        
        si HTA, on les dirige plutot vers des progestatives et surtout pas vers les 3e G
        
        1re génération : noréthistérone et lynestrénol. Ils ont un activité androgénique très forte, donc diminuent la tension mammaire, mais avec comme effet aussi de favoriser l’acné et l’hirsutisme. (plus commercialisés en France aujourd’hui)
        
        Dérivés de la 17 alpha spironolactone
        
        d'autres générations : drospirénone, acétate de chlormadinone, diénogest. Parfois dits « de 4ème génération »
        
        Ils présentent une activité anti-minéralocorticoïde avec contrôle de la prise de poids et une activité anti-androgénique modérée et de ce fait il y a des effets secondaires fréquents tels que des céphalées et des mastonynies.
        
        Le progestatif utilisé a un effet légèrement diurétique et peut entrainer des hyper kaliémie.
        Selon un certain nombre d’études, ces pilules auraient un risque thrombolique deux fois supérieur aux pilules de 2ème génération.
        
        Dérivés de la 17 OH progestérone:
        
        ils ont un effet anti-androgènique.
        
        Exemple : l’acétate de cyprotérone contenu dans Diane 35®, Holgyeme ®, Minerva ®.
        
        Il est important de rappeler que, même si ces spécialités ont une efficacité contraceptive, leur AMM concerne le traitement de l'acné et non la contraception.
        
        (AMM suspendue en 2013)
      - la répartition des doses respectives de ces hormones au cours du cycle. Ce qui définit la phase : monophasique, biphasique, triphasique…
        
        Pilules monophasiques : l’estrogène et le progestatif sont à doses fixes dans chaque comprimé, au cours du cycle.
        
        Pilules biphasiques : l’estrogène et/ou le progestatif sont à des doses plus élevées dans la seconde partie du cycle
        
        Pilules triphasiques : l’estrogène et/ou le progestatif sont distribués à doses variables créant au total 3 phases différentes au cours du cycle.
        
        Pilules séquentielles : l’estrogène et/ou le progestatif sont distribués à doses variables créant 4 phases différentes au cours du cycle, plus les comprimés sans substance active
        
        Les plaquettes peuvent contenir 21 comprimés (1 cp/j pendant 21 j successifs et une pause de 7 j) ou 28 comprimés (dans ce cas, les comprimés pris pendant la période de repos sont des placebos)
    - - pilule : voie orale
      - PATCH
        
        Délivre quotidiennement 20 µg d’EE et 150 µg de norgestimate (progestatif de 3ème génération).
        Un patch / semaine pendant 3 semaine puis arrêt 1 semaine.
        Une boîte contient 3 patchs = 1 cycle = 15 euros
        Il se place sur la hanche, la fesse, le ventre, la cuisse ou l’épaule ; le seul endroit à éviter est la poitrine.
        L’AMM concerne les femmes entre 18 et 45 ans
        
        inconvénients
        
        Mastodynies chez 20% des femmes,
        
        Réactions cutanées locales 20% au 1er cycle d’utilisation
        
        Echec de la méthode en cas de surpoids ( ≥ 90 kg),
      - Anneau vaginal
        
        Anneau souple de 54 mm de diamètre et de 4 mm d’épaisseur qui se place au fond du vagin et qui libère quotidiennement 15 µg d’EE et 120 μg d’étonorgestrel, métabolite du désogestrel, progestatif de 3ème génération
        
        Un anneau pour 21 jours. Puis retrait 7 jours et mise en place d’un nouvel anneau au cycle suivant.
        Une boite = 3 anneaux = 45 euros (3 mois)
        
        Peut être retiré au maximum 3h pour garder son effet contraceptif
- - - - .
        Des gels contraceptifs composés d’acide lactique et de la cellulose (plus « naturel »). L’acide lactique présent naturellement dans le vagin perturbe les spermatozoïdes qui ont besoin d’un pH neutre pour vivre. La cellulose contenue dans le gel le rend trop épais pour que les spermatozoïdes ne progressent. (Ex : cayagel®)
      - A base d’antiseptique tel que le chlorure de benzalkonium ou l’acide borique qui détruit et immobilise immédiatement les spermatozoïdes