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LES FLEURS DU MAL - Coggle Diagram
LES FLEURS DU MAL
La boue
Le vampire
"De démons, vins, folle et parée"
"Le cadavre de ton vampire"
L'horloge
"Trois mille six cents fois par heure, la Seconde"
"Les minutes, mortel folâtre, sont des gangues
Le mort joyeux
"Dans une terre grasse et pleine d'escargot"
"Voyez venir à vous un mort libre et joyeux"
Une charogne
"Les jambes en l'air, comme une femme lubrique"
"La puanteur était si forte"
Spleen
"L'ame d'un vieux poète erre dans la gouttière"
"J'ai plus de souvenir que si j'avais mille ans"
L'or
Harmonie du soir
"Valse mélancolique et langoureux vertige!"
"Le violon frémit comme un coeur qu'on afflige"
Le serpent qui danse
"Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau"
"Sur ta chevelure profonde"
Invitation au voyage
"Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté"
"Le monde s'endort Dans une chaude lumière"
Hymne a la beauté
"Ô Beauté ? ton regard, infernal et divin"
"Tu marches sur des morts, Beauté, dont tu te moques"
Parfum exotique
"Je respire l'odeur de ton sein chaleureux"
"Guidé par ton odeur vers de charmants climats"

L'alchimie poétique
Le chat
"Je vois ma femme en esprit" "Profond et froid, coupe et fend comme un dard"
Ce poème montre une femme transformé en chat où il est représenté comme une figure noble, mystérieuse, mystique et sacrée. Ici, le chat apparaît plutôt comme une figure ambivalente de par son analogie avec la femme. Baudelaire met ainsi en avant le potentiel dangereux, destructeur des deux figures qu’il superpose et finit par confondre. Cette fusion du chat et de la femme révèle une alchimie poétique
Chant d'automne
"Bientot nous plongerons dans les froides ténèbres"
"Et poutant aimez-moi, tendre coeur ! soyez mère"
Baudelaire reprend au romantisme le thème traditionnel de la fuite du temps à travers le cycle des saisons. Dans ce chant mélancolique, le poète exprime son angoisse à travers la nature et la musicalité. La femme et la poésie apparaissent comme un soulagement temporaire, laissant le spleen s’installer dans le cœur du poète.Pour moi, il y a une alchimie entre la musique et la femme qui donne un aspect tragique et idéal.
Le balcon
"Les soirs illuminés par l'ardeur du charbon"
"Mère des souvenirs, maîtresse des maîtresses!"
L'albatros
"Le poète est semblable au prince des nuées"
"Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule"
La chevelure
"Fortes tresses, soyez la houle qui m'enlève"
"Infinis bercements du loisir embaumé !"