Pour dormir, les détenues dormaient au sol sur des paillasses (à 2 sur une paillasse prévue pour une personne), ils étaient serrés au point de ne pas pouvoir se tourner, si une personne souhaitait aller aux toilettes, elle ne retrouvait plus de place à son retour. Ensuite, début 1941, les premiers lits en bois superposés apparaissent. Cependant les blocs étaient surpeuplés, l’humidité était présente, beaucoup de paillasses étaient sales due à la diarrhée causée par la malnutrition