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(les sauts, les lancers :, saut a la perche, saut en longueur, triple saut…
les sauts
« Sauter consiste à se projeter dans l’espace en vue de franchir un obstacle déterminant une longueur ou une hauteur »
différenciation : course d'élan en partie curviligne = hauteur ; utilisation d'andin propulseur = perche ; succession de 3 sauts = triple saut : absence de ces trois paramètres = longueur
points communs : course d'élan avec la recherche de la plus grande vitesse ; impulsion ; utilisation coordonnés des segments libres
la course d'élan = trouver la plus grande vitesse utilisable ; trouver le meilleur compromis entre la vitesse acquise et les placements,ts préparatoires ; liaison course-appel
l'appel : commence avec la pose du dernier appui et se termine lorsque celui-ci quitte le sol ; CG balaie l'espace de l'arrière vers l'avant- ; les membres supérieurs participe a l'allègement du corps
la suspension : sauteur plus en contact avec le sol ; finalité est de parcours la plus grande distance vers l'avant ; forme et longue de la suspension sont déterminés par la vitesse initiale et l'angle de décollage
perf d'un sauteur se résume à : la vitesse initiale ; l'angle d'envol ; la quantité de rotations créées à l'appel et le cont^role de celles-ci ; la hauteur du CG au décollage
les lancers :
Le chemin de lancement : C’est la trajectoire de l’engin porté ou encore le trajet du centre de gravité de l’engin lorsqu’il est en contact avec le lanceur
corps est l'intermédiaire entre le sol et l'engin
On parle aussi de chemin d’accélération pour la partie qui se caractérise par une très forte accélération de l’engin porté grâce aux actions musculaires exercées sur lui par le lanceur,
F : poids 4kg , disque 1 kg , marteau 4kg , javelot 0,6 kg. H pois 7,26 , marteau 7,26 , disque 2kg , javelot 0,8 kg
chaque laver a un élan spécifique : L’élan est en rotation pour le disque et le marteau. ; L’élan est en translation pour le javelot. ; L’élan est, pour le poids, soit en rotation, soit en translation selon la technique
choisie par le lanceur.
porteé d'une trajectoire ont plusieurs facteurs : La vitesse initiale d’envol est dépendante de la longueur du chemin de lancement qui doit être le plus grand possible mais parcouru en un temps le plus court possible.
L’angle de projection doit être compris entre 35° et 45°. Notons toutefois que ces mesures approximatives ont été prises pour des lancers entre 35 et 60 m La hauteur à laquelle l’engin est lâché dépend évidemment de la taille du lanceur mais aussi du positionnement de l’engin au moment du lâché qui dépend de la technique du lanceur.
saut a la perche
course d'élan comme celle des sauts
prépa a l'appel comme a la longueur
Les actions d’impulsion jambe et de transmission de l’énergie de la course et de l’impulsion à la perche sont presque simultanées ; force exercée sur la perche permet la flexion
La phase de suspension comprend le « pénétré » qui prolonge au maximum l’impulsion, le « renversé » qui consiste à projeter les jambes et le bassin vers le haut jusqu’à se retrouver corps à l’envers. L’ « extension-renvoi » qui correspond au temps pendant lequel la perche, après avoir été soumise à une forte flexion, se détend à nouveau et pendant lequel le sauteur exerce une action importante avec ses membres supérieurs afin de passer au-dessus de sa perche
saut en longueur
phases techniques
mise en action : avoir une vitesse horizontale optimale ; avoir de bonne foulées en ampltitude
liaison course-appel : dans les 6-8 derniers appuis avant l'appel ; augmentation, de la fréquence et un abaissement du CG pour une meilleur efficacité lors de l'appel ; l'abaissement du CG dans la dernière foulée permet à celui-ci d'être déjà orienté
l'appel : commence avec kla jambe d'appel en avant du CG et se termine au décollage , moment ou le pied d'appui quitte le sol ; action "griffé" du sauteur , action Dyna de la jambe d'appel s'exerçant de l'avant vers l'arrière pour un meilleur transfert de la force de poussée
suspension: corps décolle avec un angle de 20 degrés ; rotation vers l'avant due à la poupée excentrée lors de l'appel
reception : prendre contact avec le sable le plus loin possible
triple saut :
phase techniques
mise en action : idem longeur
liaison course appel : moins de prise d'avance de l'appui final pour réduire l'angle d'envol
3 appels : 2 premier sur pied d'appel et et3 sur mauvais pieds ; les difficultés de l'enchainement : conserver le max de vitesse horizontale ; trouver un placement adéquat pour la prochaine impulsion ; réduire les temps d'amortissement lors des contacts avec le sol
saut en hauteur
phase technique
mise en action : Recherche d’une vitesse horizontale optimale que le sauteur transformera en vitesse verticale lors de l’appel
2 partie cours d'élan : partie rectiligne , V horizontale optimale et partie curviligne : sauteur arrive de profil pour envisager l'impulsion
prépa appel : 3 dernière foulée débute avec le pied droit pour un appel pied gauche et correspond donc à la succession des apppuis DGDG, soit 4 appuis et donc 3 foulées
appel :pied se pose en avant du CG , pose du pied d'appel entre le 1 er poteau et le 1er tiers du tapis , pdt appel sauteur monte et fixe le genou de la jambe vers l'horizontale ; rotation ensemble du corps vers la gauche , permet de se présenter e dos par rapport a la barre
suspension : 3 phase : l'élévation = grandissement du corps est recherché , rotation vers la gauche s'enclenche ; sauteur engage le bras opposé a la jambe d'appel ; franchissement = position cambrée , courbe concave arrière , extension de la tête et volonté de descente rapide de l'épaule ; esquive = retour rapide des jambe vers le haut , corps descendrez rapidement vers le tapis , qui est abordé par les épaules