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fièvre éruptive - Coggle Diagram

- - - - :check:les β-lactamines (pénicillines, céphalosporines…)
        
        :check:les sulfamides (cotrimoxazole, sulfamides hypoglycémiants: amarel…)
        
        :check:la rifampicine, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène…),
        
        :check:les antiépileptiques (carbamazépine, phénobarbital, lamotrigine…)
        
        :check:l'allopurinol (goutte)
    - - poly medication : exp. patient ayant une goutte sous allopurinol, infecté par le VIH, traité par antirétroviraux, antituberculeux et cotrimoxazole
        
        si l’allergie est grave (syndrome de Lyell, atteinte viscérale/DRESS…)
        
        tous les médicaments potentiellement incriminés doivent être arrêtés,
        
        Dans tous les cas
        
        si l’allergie est mineure
        
        on peut commencer par l’arrêt du médicament le plus incriminé (et le moins « indispensable »)
        
        une enquête de pharmacovigilance doit être réalisée
    - - ou plus tardivement (généralement entre J5 et J21).
        
        :keycap_star: Un prurit est très fréquemment associé.
        
        :keycap_star:Généralement, les symptômes régressent rapidement à l’arrêt du traitement sauf s’il s’agit d’un produit d’action prolongée
        
        :keycap_star:Les toxidermies (surtout celles induites par les aminopénicillines) sont plus fréquentes au cours des infections virales (EBV, CMV, VIH, rougeole…).
        
        :warning:- Il est important de noter qu’une toxidermie peut survenir sous un médicament pris au long cours (exp. allopurinol) ou à plusieurs reprises auparavant (exp. amoxicilline).