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Les lumières et le développement des sciences aux XVIIème et XVIII siècles…
Les lumières et le développement des sciences aux XVIIème et XVIII siècles
La "révolution scientifique" du XVIIème siècle
au début du XVIIème siècle Galilée poursuit les recherches initiés par Copernic
géocentrisme ( contraire de l'héliocentrisme )
héliocentrisme ( description du système solaire faisant du Soleil l’astre autour duquel tournent les planètes)
il invente une lunette astronomique en 1609
il découvre l'existence de plaines et de montagnes sur la Lune
il publie en 1632 Dialogue
il est condamné en 1633 pour avoir remis en cause le géocentrisme
il pose les fondements d'une science physique moderne fondée sur l'hypothèse et l'observation
René Descartes présente une méthode expérimentale scientifique dans Discours de la méthode en 1637
destinée à permettre l'élaboration de savoirs rationnels dans tous les domaines de la connaissance
en 1628 William Harvey découvre la circulation du sang dans le corps
en 1672 Newton invente le premier télescope puis en 1687 il découvre l'attraction et la gravitation universelle
les savants et scientifiques se rassemblent dans des académies
La diffusion de l’esprit scientifique au XVIIIe siècle
En Angleterre, des découvertes pratiques sont à l’origine de la révolution industrielle
suite à la création de Thomas Savery en 1698 Thomas Newcomen créé une machine à pression atmosphérique
en 1769 James Watt améliore la machine de Newcomen en créant une machine à vapeur
Les savants européens collaborent en rendant publics leurs résultats, en échangeant des réflexions, en se rencontrant: une «république des sciences» se met en place.
Des expériences publiques, notamment d’électricité ou d’élévation de montgolfières se multiplient.
L’approche mathématique est diffusée jusque dans la sphère économique par les physiocrates.
Les femmes de science sont rares car elles ne sont pas éduquées pour le devenir.
La marquise Émilie du Châtelet devient une grande lectrice de Newton et écrit Institutions de physique en 1740.
elle est reçue en 1746 à l’Académie des sciences de l’Institut de Bologne
elle traduit Principes mathématiques de Newton en 1749
Les femmes de la noblesse ou de la bourgeoisie peuvent tenir salon en invitant des savants à échanger sur les dernières découvertes scientiques.