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Note MAG - Coggle Diagram

- - - - 13 S
        
        Règles de base du §6
        
        [MAG009]: La soudure doit
        être soumise à un contrôle par
        CND volumique conforme au §7.
        
        [MAG010]: Si le CND volumique n'est pas envisageable,
        la soudure doit être réalisée
        par un soudeur habilité par le Titulaire.
        
        [MAG011]: l'habilitation doit s'appuyer sur des tests de soudage ayant fait l’objet de de CND volumiques (lorsque la configuration le permet), de contrôles surfaciques et de contrôles destructifs (macrographies /essais de texture) réalisés sur soudures (coupons) représentatifs (voire enveloppes) de la production en terme de difficulté.
        
        §7. EXIGENCES APPLICABLES AUX CND
        
        [MAG033]
        La méthode d’examen par ultrasons doit être utilisée pour le contrôle des soudures.
        Cette méthode peut être remplacée par la méthode par radiographie sous certaines conditions définies au chapitre 7.3 du présent document
        
        [MAG034]
        La conformité des contrôles réalisés dans le cadre du présent document doit être évaluée à partir des critères définis dans le référentiel technique contractuel et en lien avec le niveau de qualité de l’équipement défini au contrat.
        
        7.2. Méthode par ultrasons
        
        §7.2.1. Procédure d’examen
        
        [MAG035]
        Le Titulaire doit établir une procédure d’examen par ultrasons spécifique aux soudures à contrôler
        
        [MAG036]
        La procédure doit décrire l’ensemble des paramètres essentiels de mise en oeuvre et des précautions à observer lors de l’application du contrôle par ultrasons en conformité au référentiel technique contractuel
        
        [MAG037]
        La procédure de contrôle doit détailler le matériel à utiliser et référencer les procédures d’étalonnage ou de vérification.
        
        [MAG038]
        La procédure doit permettre de détecter et caractériser en tout point de la soudure les types de défauts recherchés (en particulier les manques de fusion).
        La caractérisation doit permettre de classer l’indication détectée par le contrôle par ultrasons en une indication volumique ou non volumique
        Dans le cas de l’utilisation des techniques TOFD et Multi-éléments, le Titulaire doit détailler dans la procédure de contrôle la méthode d’évaluation des indications pertinentes permettant de différencier les indications volumiques et non volumiques.
        Le Titulaire doit soumettre la procédure associée à approbation de l’Entreprise.
        Ces dispositions peuvent conduire le Titulaire à imposer des préparations de surface pour garantir la bonne mise en oeuvre du contrôle par ultrasons (par exemple : ragréage de la surface, arasage externe et/ou interne des surépaisseurs de cordon).
        
        MAG039]
        La procédure du Titulaire doit être rédigée ou vérifiée (visa de l’agent concerné apposé sur le document) par un agent certifié Niveau 3 selon EN ISO 9712 :
        -dans la méthode,
        -dans la technique mise en oeuvre quand elle existe (TOFD, Multi-Eléments…)
        -dans le secteur concerné.
        
        [MAG040]
        Les contrôles par ultrasons doivent être réalisés conformément aux normes prescrites au référentiel technique contractuel.
        Si le référentiel technique contractuel ne prescrit pas explicitement de normes d’application pour leur mise en oeuvre (par exemple pour les techniques TOFD ou Multi-Eléments), le Titulaire doit soumettre pour accord à l’Entreprise, avant le démarrage de la fabrication, les normes d’application
        
        [MAG041]
        Dans le cas de contrôles par ultrasons avec la technique TOFD, l’équipe chargée d’effectuer les contrôles doit être constituée d’au moins un agent certifié a minima Niveau 2 UT / TOFD conformément à la norme EN ISO 9712.
        
        [MAG042]
        Dans le cas de contrôles par ultrasons avec la technique Multi-Eléments :
        -Le Titulaire doit faire suivre au personnel en charge des contrôles une formation complémentaire relative à la pratique des ultrasons par traducteur Multi-Eléments.
        -Un organisme compétent doit attester cette formation et l’Entreprise doit établir une autorisation d’opérer pour le personnel chargé d’effectuer les contrôles pour réaliser les contrôles par ultrasons multiéléments+-L’équipe chargée d’effectuer les contrôles doit être constituée d’au moins un agent certifié à minima Niveau 2 UT conformément à la norme EN ISO 9712 et qui a été formé à la pratique du contrôle par traducteur Multi-éléments
        
        §7.2.2. Contrôle contradictoire par le Titulaire
        
        [MAG043]
        Le Titulaire doit effectuer des contrôles contradictoires pour vérifier la conformité des contrôles de fabrication réalisés selon la procédure d’examen par ultrasons et des rapports d’examen associés
        
        [MAG044]
        Dans le cas de contrôles par ultrasons selon les techniques TOFD et Multi-Eléments, le contrôle contradictoire peut consister en une relecture des images TOFD et Multi-Eléments et du rapport d’examen.
        Pour les autres techniques d’ultrasons, le contrôle doit être refait
        
        [MAG045]
        Le contrôle contradictoire doit être effectué:
        -par le Titulaire ou une société de contrôle ISO 9001 externe au Titulaire lorsqu’il s’agit d’une fabrication
        sous-traitée par le Titulaire
        -par une société de contrôle ISO 9001 externe au Titulaire lorsqu’il s’agit d’une fabrication non sous-traitée par le Titulaire
        -par un agent de contrôle certifié à minima Niveau 2 selon EN ISO 9712 en ultrasons et dans la technique mise en oeuvre (TOFD ou Multi-Eléments par exemple
        
        [MAG046]
        Le contrôle contradictoire doit être réalisé avec la même procédure que le contrôle initial et avec les mêmes critères d’acceptation (contractuels).
        
        [MAG047]
        Le contrôle contradictoire est effectué par sondage tout au long de la fabrication et doit :
        -Etre défini et justifié par le Titulaire et être soumis à l’approbation de l’Entreprise avant le démarrage des fabrications (via un document spécifique ou le cahier de soudage).
        -Obligatoirement inclure le contrôle contradictoire d’au moins l’un des 3 premiers contrôles de chaque contrôleur impliqué dans la fabrication. Lors de ces premières occurrences, pour chaque contrôleur, la longueur à recontrôler est d’au moins 900 mm (sur une seule soudure ou plusieurs soudures pour atteindre une longueur de 900mm).
        
        [MAG048]
        Le contrôle contradictoire doit faire l’objet d’un rapport (par le Titulaire ou une société de contrôle ISO 9001 externe au Titulaire) qui doit être intégré au RFF.
        
        [MAG49]
        Le Titulaire doit effectuer une analyse de réconciliation des résultats des contrôles initiaux et contradictoires et tracer celle-ci dans le RFF.
        Lorsque les résultats du contrôle contradictoire sont différents vis-à-vis du contrôle initial (ex : nouvelles indications non identifiées durant le contrôle initial), le Titulaire doit en notifier l’Entreprise, transmettre son analyse des causes et proposer une extension du taux de contrôle contradictoire.
        
        §7.3. Méthode par radiographie
        
        §7.3.1. Procédure d’examen
        
        [MAG050]
        Quand le contrôle par ultrasons ne permet pas la détection des défauts recherchés, le Titulaire doit proposer à l’Entreprise, en préalable aux contrôles, une technique alternative d’examen par radiographie
        Cela peut être notamment le cas pour le contrôle des aciers austénitiques ou le contrôle des épaisseurs inférieures à 8mm.
        
        [MAG051]
        Le contrôle par radiographie ne doit pas être utilisé pour les soudures d’épaisseurs supérieures à 20mm
        
        [MAG052]
        Le contrôle par radiographie ne doit pas être mise en oeuvre que pour les soudures réalisées avec les procédés 132 / 136.
        
        [MAG053]
        Le Titulaire doit établir une procédure d’examen par radiographie spécifique aux soudures à contrôler
        
        [MAG054]
        La procédure doit décrire l’ensemble des paramètres essentiels de mise en oeuvre et les précautions à observer lors de l’application du contrôle par radiographie en conformité au référentiel technique contractuel
        
        [MAG055]
        La procédure de contrôle doit détailler le matériel à utiliser et référencer les procédures et certificats d’étalonnage ou de vérification.
        
        [MAG056]
        La procédure du Titulaire doit être rédigée ou vérifiée (visa de l’agent concerné apposé sur le document) par un agent certifié Niveau 3 selon EN ISO 9712 :
        -dans la méthode (RT),
        -dans la technique mise en oeuvre quand elle existe,
        -dans le secteur concerné
        
        [MAG057]
        Le Titulaire doit utiliser les sources de rayonnements par rayons X, Se75 ou Ir192.
        
        [MAG058]
        Le Titulaire doit choisir la source de rayonnement conformément aux dispositions prévues dans le référentiel applicable. La source de rayonnement doit permettre d’obtenir l’indice de qualité d’image requis par le référentiel contractuel.
        
        [MAG059]
        Quand le contrôle radiographique est réalisé sur des épaisseurs inférieures à 8 mm, le Titulaire doit mettre en oeuvre la technique d’exposition dans l’axe de la soudure. L’exposition doit être réalisée au moyen des rayons X.
        En cas d’impossibilité démontrée de mettre en oeuvre les rayonnements produits par les sources de rayons X, le Titulaire doit proposer à l’Entreprise, en préalable au contrôle, une technique d’exposition qui met en oeuvre des sources de Se75 et d’Ir192. Cette technique doit permettre d’obtenir la qualité d’image requise.
        
        [MAG060]
        Quand le contrôle est réalisé par radiographie sur des épaisseurs supérieures à 8mm et inférieures à 20 mm, en plus des expositions dans l’axe de la soudure, le Titulaire doit réaliser par sondage des expositions axées dans le plan des chanfreins
        
        [MAG061]
        En cas d’indications présentes sur le radiogramme (obtenues à partir d’une exposition dans l’axe de la soudure) laissant suspecter la présence d’indications dans le plan des chanfreins, le Titulaire doit réaliser ces expositions supplémentaires dans le plan des chanfreins.
        
        §7.3.2. Contrôle contradictoire par le Titulaire
        
        [MAG062]
        Le Titulaire doit effectuer des contrôles contradictoires pour vérifier la conformité des contrôles de fabrication réalisés selon la procédure d’examen par radiographie et des rapports d’examen associés.
        Le contrôle contradictoire peut consister en une relecture des radiogrammes et du rapport d’examen.
        
        [MAG063]
        Le contrôle contradictoire doit être effectué :
        -par le Titulaire ou une société de contrôle ISO 9001 externe au Titulaire lorsqu’il s’agit d’une fabrication sous-traitée par le Titulaire,
        -par une société de contrôle ISO 9001 externe au Titulaire lorsqu’il s’agit d’une fabrication non sous-traitée par le Titulaire,
        -par un agent de contrôle certifié à minima Niveau 2 selon EN ISO 9712 pour la méthode RT utilisée.
        
        [MAG064]
        Le contrôle contradictoire doit être réalisé avec la même procédure que le contrôle initial et avec les mêmes critères d’acceptation (contractuels).
        
        [MAG065]
        Le contrôle contradictoire est effectué par sondage tout au long de la fabrication et doit :
        -Etre défini et justifié par le Titulaire puis soumis à l’approbation de l’Entreprise avant le démarrage des fabrications (via un document spécifique ou le cahier de soudage).
        -Obligatoirement inclure le contrôle contradictoire d’au moins l’un des 3 premiers contrôles de chaque contrôleur impliqué dans la fabrication. Lors de ces premières occurrences, pour chaque contrôleur, la longueur à recontrôler est d’au moins 900 mm (sur une seule soudure ou plusieurs soudures pour atteindre une longueur de 900mm).
        
        [MAG066]
        Le contrôle contradictoire doit faire l’objet d’un rapport (par le Titulaire ou une société de contrôle ISO 9001 externe au Titulaire) qui doit être intégré au RFF
        
        [MAG067]
        Le Titulaire doit effectuer une analyse de réconciliation des résultats des contrôles initiaux et contradictoires et tracer celle-ci dans le RFF.
        Lorsque les résultats du contrôle contradictoire sont différents vis-à-vis du contrôle initial (ex : nouvelles indications non identifiées durant le contrôle initial), le Titulaire doit en notifier l’Entreprise, transmettre son analyse des causes et proposer une extension du taux de contrôle contradictoire.
        
        §7.4. Règles pour les contrôles par sondage
        
        §7.4.1. Lotissement et étendue des contrôles volumiques
        
        [MAG068]
        Le sondage doit s’appliquer pour chaque soudure (chaque soudure est contrôlée suivant le taux de sondage).
        
        [MAG069]
        Le Titulaire doit, avant le démarrage des fabrications, définir, justifier et soumettre pour acceptation l’étendue du contrôle volumique (taux de sondage) à l’Entreprise (dans le cahier de soudage).
        
        [MAG070]
        Dans le cas de contrôle par radiographie, la définition et la justification de l’étendue des contrôles volumiques doit inclure les expositions supplémentaires axées dans le plan du chanfrein telles que définies au paragraphe 7.3 du document.
        
        §7.4.2. Règles d’extension des contrôles de fabrication
        
        [MAG071]
        En cas de mise en évidence d’une indication hors critères de type Non Volumique dans le cas d’un contrôle volumique ou linéaire dans le cas d’un contrôle surfacique, le contrôle doit être étendu à la totalité de la soudure.
        Si la soudure a déjà été contrôlée en totalité alors le contrôle doit être étendu à d’autres soudures (sur une longueur minimale de 900mm) réalisées par le même soudeur et si possible avec le même DMOS.
      - 13 NS
        
        Règles de base du §6
        
        [MAG013]: La mise en oeuvre manuelle des procédés semi-automatiques doit être soumise à l'autorisation de l’Entreprise au stade de l’offre(ou en cours de contrat si les sous-traitants ne sont pas connus). La demande doit être accompagnée des éléments de démonstration de maîtrise du procédé pour chaque atelier (utilisation de ses procédés pour des fabrications similaires, coupons déjà réalisés, entraînement des soudeurs, etc.) ainsi que des éléments de maîtrise des CND (certifications, accréditations, etc.)
        
        [MAG014]
        Le titulaire doit pouvoir justifier au stade de l’offre (ou en cours de contrat si ces sous-traitant ne sont pas connus), pour le(s) atelier(s) concerné(s) par la fabrication, d’une expérience significative dans la mise en oeuvre des procédés sur des équipements similaires
        
        [MAG015]
        Le titulaire doit prévoir au stade de l'offre (ou en cours de contrat si ces sous-traitants ne sont pas encore connus) les dispositions à mettre en oeuvre, pour garantir la maitrise du soudage. Ces dispositions doivent inclure :
        -les dispositions de surveillance,
        -les contrôles non destructifs dans ses ateliers et ceux de ses sous-traitants,
        -les contrôles contradictoires qu’il prévoit,
        -le droit que se réserve l’Entreprise de procéder au re-contrôle de certaines soudures
        
        [MAG016]
        Les soudures susceptibles d’être réalisées manuellement avec un procédé semi-automatique doivent être identifiées comme telles au plus tôt par la conception et les méthodes
        
        [MAG017]
        La liste des joints soudés ainsi que les différents plans d’ensemble avec le repérage des soudures associées doivent être intégrés au cahier de soudage.
        
        [MAG018]
        Le Titulaire ne doit pas mettre en oeuvre de procédés semi-automatiques sans gaz (procédé numéro 114 suivant NF EN ISO 4063).
        
        [MAG019]
        La conception doit prendre en considération les spécificités des procédés CND envisagés.
        
        [MAG020]
        La conception, en particulier via les règles de tracé des joints soudés concernés, doit permettre la mise en oeuvre des contrôles volumiques prévus.
        
        [MAG021]
        La conception doit prévoir des chanfreins de soudage et le cas échéant des zones de palpage adaptées aux contrôles.
        
        [MAG022]
        La conception doit garantir une ouverture suffisante pour permettre un accès satisfaisant en tout point du chanfrein.
        
        [MAG023]
        Pour les assemblages bout à bout (assemblages bout à bout tels que définis par l’ISO/TR 25901), le Titulaire ne doit pas réaliser de préparation de soudage en 1/2 V et en K.
        
        [MAG024]
        Lors de leur mise en oeuvre par les procédés 131, 133, 135 et 138, les soudures présentant des passes réalisées par mode de transfert "court-circuit" non éliminées par la suite doivent être contrôlées volumiquement à 100%.
        En cas d’impossibilité de contrôle volumique à 100%, le soudeur doit être habilité (exemple donné en Annexe B)
        pour réaliser les passes en "court-circuit".
        
        [MAG025]
        Concernant le métal d’apport de type fil fourré ou fil plein, l'utilisation d'une désignation commerciale autre que celle mis en oeuvre en QMOS est interdite.
        Elle peut être autorisée moyennant la justification par des essais couvrant les caractéristiques mécaniques. Les
        essais doivent en particulier prendre en compte l’influence des TTD.
        
        [MAG026]
        Indépendamment de l’apport de chaleur, les plages de tension (U) et d’intensité (I) utilisées en production doivent garantir le maintien du mode de transfert utilisé en qualification. Dans tous les cas, elles ne doivent pas s’écarter de plus de +/- 20% pour I et +/- 10% pour U des valeurs utilisées en qualification et ce pour chaque séquence de passes (pénétration, remplissage…).
        L’utilisation de plages plus importantes doit être soumise à l’accord de l’Entreprise
        
        [MAG027]
        Dans l’ensemble des DMOS, la disposition des passes doit être détaillée et le stick-out « à viser » doit être précisé.
        
        [MAG028]
        L’ensemble des Descriptifs de Modes Opératoires de Soudage (DMOS) et Qualifications de Modes Opératoires de Soudage (QMOS) doit être fourni à l’ingénierie de l’Entreprise. Les macrographies réalisées pour les Qualifications de Modes Opératoires de Soudage (QMOS) doivent être incluses dans les QMOS. Elles doivent être de qualité suffisante en termes de lisibilité
        
        Exigences particulières en cas d’utilisation de
        postes de soudage dit « synergiques »
        avec mise en œuvre d’une loi synergique
        
        [MAG029]
        Lors de l’utilisation de postes de soudage dit « synergiques » avec mise en oeuvre d’une loi synergique, l’annexe E doit être appliquée.
        
        Exigences applicables aux réparations des pièces de fonderie
        Les réparations des pièces de fonderie sont à intégrer dans la catégorie « autres équipements » définie au §5.3, en complément les exigences suivantes s’appliquent :
        
        [MAG030]
        Les réparations des pièces de fonderie doivent être soumises à l'approbation de l’Entreprise
        
        [MAG031]
        La demande doit être accompagnée d’un dossier démontrant l’aptitude des soudeurs à utiliser ces procédés
        
        [MAG032]
        L’aptitude des soudeurs doit être basée sur des contrôles non destructifs surfaciques et volumiques réalisés après réparation par soudage sur des fabrications (pièces) représentatives ou des coupons