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Cocci à Gram - d’intérêt médicale - Coggle Diagram
Cocci à Gram - d’intérêt médicale
Genre Neisseria
Classification
Comporte plusieurs genres bactériens, dt genre Neisseria
Neisseria spp = cocci à Gram -
2 principales espèces :
Neisseria meningitidis (le méningocoque)
Neisseria gonorrhoeae (le gonocoque)
Espèces isolées dans le cadre de plaies par morsure (comme N. weaveri, N. animaloris, ou N. zoodegmatis)
Espèces commensales de la flore oropharyngée (N. elongata, N. flavescens, N. lactamica, N. mucosa, ...) non ou peu pathogènes.
Examen microscopique après coloration de Gram, sous forme de diplocoque à Gram-
Espèces isolées de plaie par morsures -> bacilles à Gram -
N.meningitidis
Épidémiologie
Bactérie retrouvé chez home
= bactérie commensale cavité rhinopharyngé dn 10% pop
Transmet manière interhumaine directe par sécrét° rhynopharryngé, favorisée par répétition° et prox contact
Acquisit° portage asymptomatique conduit rarement,nt infect0 invasive à méningocoque (IIM)
France : incidence IIM faible/stable -> 0,9 et 1,6 cas/100 000 hab
majorité surviennent manière sporadique avec recrudescence hivernale + cas groupés
IIM + fréq chez nourrisson/ado
-> sérogroupes capsulaires B et C -> 80% cas IIM
Échelle mondiale -> sérogroupes À, B, C, Y et W135 = 99% souches isolées
Afrique subsaharienne = ceinture méningite Sénégal à Éthiopie -> 90% cas IIM
IIM évoluent sous forme de bouffées épidémiques survenant en saison sèche avec implication prédominante des sérogroupes C, À et W135
Physiopathologie et virulence
Contraste entre fréq élevée portage rhinopharyngé dn pop et rareté IIM -> survenue IIM chez individuel = accident ponctuel
3 facteurs expliquent phénomène :
Acquqit° souche hyper virulente = facteurs pathogènes intrinsèques à bactérie
Existence susceptibilité individuelle + déficits immunitaires = facteurs individuels
Survenue concomitante de lésions épithélium rhinopharyngé favorisant franchissement muqueuse pharyngé par méningocoque = facteurs favorisant locaux
Capsule polysaccharidique protége bactérie phagocytose
Prot mb ext + pili type IV -> adhésion initiale aux cell épithéliales rhino-pharynx
Pili jouent rôle imp dn adhésion bact aux cell endothéliales des capillaires
Lipo-oligosaccharide = endotoxines paroi et libérat° massive de cytokines 2nd à multiplicat° bactérie dn circulat° générale conduisant au choix toxique avec CVID
Clinique
Observe -> méningites et méningococcémies
Autres sites anatomiques concernés par infect° à méningocoque -> arthrites, péricardites, pleurésies mais rares
Complicat° + graves IMM = choc septique et purpura culminas dt mortalité très élevée
Méningite à méningocoque -> syndrome méningé fébrile, donner lieu à des séquelles neuro sensorielles Ou troubles dvpt chez enfant masi mortalité inf à 5% cas
Âgés extrêmes vie -> symptomatologie est spé
Purpura fulminans manifeste par apparition syndrome infectieux sévère (fièvre et état de choc septique) associé à purpura caractérisé par son évolution extensive : entre 2 obsv succesives les lésions augmentent en taille (passage lésions pétéchiales à lésions + gds taille, ecchymotiques, voire à des bulles hémorragiques) et en nombre
Mortalité IIM extrêmement élevée en cas purpura fulminante > 30%
Diagnostic microbiologique
Prélèvement direct = ponct° lombaire et réalisation° hémoculture, d’une biopsie cutanée élément purpurique (cas purpura fulminans)
Échantillons sur lesquels culture réalisé -> LCS, hémoculture, bis poésie cutanée doivent êrte prélevés dn c° asepsie chirurgicale
Prelevment acheminer rapidement au labo à T° ambiante > urgence diagnostique et thérapeutique + méningocoque = bactérie fragile
Une fois LCS au logo -> traité d’Angers délai + résulats commniqé en urgence aux cliniciens -> urgence thérapeutique, instaurat° antibiohérapîe probabiliste dès réalisâtes° des prélèvements
Examen LCS (analyse biochimiq, bactériologiq, cytologie et culture)-> mètre en évidence :
hyperprotéinorachie associée à hypoglycorachie (rapport glycémie/glycorachie <1/3)
pléïocytose avec formule leucocytaire à prédominance polynucléaires, présence de diplocoques à Gram - intra- ou extra-leucocytaires à l’examen direct après colorat° Gram l’identification de N. meningitidis isolé en culture
Hémoculture permettre isoler N.meningitidis + conclure existence méningococcémie
L’ADN N. meningitidis mis en évidence par PCR dnLCS, le sang (prélevé tube EDTA),dn biopsies cutanées de lés° purpuriques.
Sensibilité examen direct faible en comparaison avec la culture ou à la PCR : il n’est pas rare que l’examen direct du LCS soit - dans une méningite à méningocoque, alors que culture ou PCR +
Si une souche de N. meningitidis isolée ou ADN bactérie est mis en évidence chez un patient à partir d’un site normalement stérile (sang, LCS, biopsie cutanée de lésion purpurique), la déterminat° du sérogroupe (PCR ++) est indispensable pr instaurer la prophylaxie vaccinale des sujets contacts
Prophylaxie et vaccination
IIM partie 33 maladies à déclarâtes° obligatoires en Fr
Prophylaxie repose obligatoirement sur chimioprophylaxie complété pr certains contacts par vaccination
Doit êrte réalisé rapidement dn 10 jours qui suivent dernier contact avec cas index
Chimioprophylaxie -> vocat° éradiquer façon rapide et efficace éventuel portage pharyngé de N.meningitidis nouvellement acquis par sujets contacts auprés cas index
Mol choix = rifampicine
Vaccinat° pr vocat° compléter chimioprophylaxie chez sujets contact retrouvent façon régulière/répétées dn entourage cas index
=> effet thérapeutique chimioprophylaxie limité dn temps => vaccination° dt effet protecteur pas immédiat mais + durable permet ainsi de couvrir période pdt laquelle persiste risque réintroduction° souche dn communauté vie cas index
Vaccinat° anti-méningocoque pas dispo contre ts sérogroupes -> raison pr laquelle déterminant° sérogroupes = prérequis indispensable
Vaccins nature polyosidique capsulaire n’existent que contre méningocoque A, C, Y et W135
Pr sérogroupes B -> vaccin multi-composant sous capsulaire -> pas recommandé pr sujets contacts cas sporadiques IIM se sérogroupes B -< indicat° sont limités aux grappes de cas IIM/zones géographiques en situation° épidémie ou hyperendémie
Prévent° méningites à méningocoque -> vaccination systématique pop généarle avec vaccin méningocoque C conjugués (recommandé pr enfants 12 mois, en attendant mise en place immunité groupe pr ts sujets on vaccinés - 25 ans)
N.gonorrheae
Clinique
H -> signes cliniques bruyantes à titre d’urétrite avec dysurie douloureuse et écoulement purulent au niveau méat urinaire
F-> signe sclinique s- bruyants, - visibles avec apparit° infect° endocervicale accompagnée urétrite dn 70% cas
Note aussi leucorrhées abondantes parfois sa,glandes et douleurs abdominales
Gonocoque resp infect° ascendantes comme salpingites, abcès ovariens avec risque de stérilité non négligeable
Infect° ano-rectales et/ou pharyngées peuvent également être observés, ces derniers étant bien svt asymptomatiques
Diagnostique microbiologique
Prélèvements nécessaires réalisés lors visite initiale -> prélèvement méat urinaire, ano-rectal, pharyngé, PV, endoco
Prélèvements acheminés rapidement au labo car gonocoque = bact fragile
Gonocoque recherché par culture microbiologique classique + PCR
Prophylaxie
Cas isolement to coco que -> patient ainsi que partenaires doivent pêrte traités
Repose éducation + protection par utilisat° préservatifs
Epidemiologie
=bactérie pathogène stricte resp blennorragique
Infection sexuelle mnt transmissible en entre augmentat° -> +52% depuis 2010 avec 15000 à 20000 homes chaque année
Femme difficile à établie -> symptomatologie parfois fruste
Diagnostic microbiologique
Recherche de N. gonorrheae et de N. meningitidis par culture sur gélose enrichie en facteurs de croissance type gélose au sang cuit, incubée en CO2.
Bact poussent difficilement sur milieux communs => f° Prélèvements reçus + infos cliniques obtenus, tjrs penser à rajouter des géloses enrichies pr croissance.
Genre Branhamella