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Comment accompagner les personnes atteintes d’anorexie mentale dans des…

- - - - marcher de longues distances au lieu de prendre les transports pour brûler plus de calories ; cadre sécurisant (atelier culinaire, espace thérapeutique) pour réduire l’anxiété, être en public.
    - - comparaison aux autres, réseaux sociaux, relation avec les proches, attentes sociales, jugement des pairs, harcèlement scolaire, rôle des groupes de soutien dans la reprise d’expériences alimentaires et sociales
    - - culte de la minceur, normes et traditions alimentaires qui influencent les perceptions et les comportements -> pathologie de pays riche ?
    - - rôle de l’entourage scolaire dans le soutien ou la compréhension des comportements liés à l’anorexie, accès aux soins en santé mentale et approches d'intervention, règles ou attentes imposées par des institutions (ex. : structures de soin).
  - - - (fonction sensorielle, motrice, sensori-motrice) : perte de masse musculaire, troubles métaboliques, fatigue, problèmes physiologiques, manque d’énergie = limitent la capacité à accomplir certaines tâches physiques et réduisent l'endurance…
    - - croyances alimentaires rigides, pensées obsessionnelles (centrées sur le poids et la nourriture), troubles de la mémoire, attention, concentration, jugement, raisonnement, perceptions positives / négatives des choses, organisation de la pensée, difficulté à se fixer des objectifs différents du contrôle de l’alimentation, hypervigilance liée à la prise de poids
    - - anxiété, isolement – repli sur soi, troubles de l’humeur, contrôle des émotions, comportement nuisibles, réactions émotionnelles, difficultés à ressentir du plaisir dans les activités (anhédonie), désintérêt, manque de motivation, faible estime de soi - dévalorisation, sentiment de culpabilité ou d’inadéquation, distorsion de l’image corporelle, évitement des situations impliquant de la nourriture, peur intense de manger en groupe, besoin de contrôle, peur du jugement
    - - (valeurs, croyance, culture) : pb d’identité, forme d’attachement car la personne n’existe plus sans sa maladie
  - - - Désengagement des activités sociales
      - Modification des routines (détérioration)
      - Réduction de la participation occupationnelle
      - Activités focalisées sur le contrôle corporel
- - - - Dimensions physique, cognitive, affective
    - - Dimensions physique, sociale, institutionnelle
    - - Soins perso, productivité, loisirs
- - - - Besoins nutritionnels et santé corporelle = alimentation saine qui correspond aux recommandations nutritionnelles (équilibrée, variée, adaptée aux besoins).
    - - Relation saine (positive et apaisée, sans comportements alimentaires compulsifs, restrictifs ou anxieux) avec la nourriture.
    - - Repas partagés, interactions liées à l’alimentation, absence de stigmatisation / comparaison = participation à un contexte social et culturel positif autour de l’alimentation.