Please enable JavaScript.

Coggle requires JavaScript to display documents.

rôle mission fonction - Coggle Diagram

- - - - il s'agit plutôt d' une mission ou d'une fonction exercée par des professionnels issus d'autres métiers (architectes, ingénieurs, techniciens HSE, conducteurs de travaux, etc.).
        
        Ils ajoutent cette compétence à leur parcours sans que ce soit forcément leur seule activité.
      - bien qu'il existe un diplôme spécifique
        
        Une licence professionnelle CSPS est créée.
        
        La LP CSPS depuis transformée en BUT HSE cursus CSPS
      - Mission réglementaire et non une profession réglementée
        
        Le coordonnateur SPS est imposé par la loi (Code du Travail, articles R. 4532-1 et suivants). C'est une mission obligatoire sur certains chantiers, mais ce n’est pas une profession encadrée par un ordre ou une instance spécifique comme les architectes ou les médecins.
    - - Compétences et responsabilités spécifiques : Le coordonnateur SPS doit maîtriser la culture btp, la réglementation, la gestion des risques et la coordination multi-entreprises.
        
        Cela demande des connaissances précises et une expertise qui peuvent en faire un métier à part entière.
      - Exercice et engagement à plein temps : Certains professionnels se consacrent exclusivement à la coordination SPS,
      - Formation et certification obligatoires (spécialisation) : la mission ne peut être exercée sans une certification SPS, ce qui rapproche cette fonction d’un métier réglementé.
- - - - Comment répondre intelligemment sans se mettre en difficulté ?
        
        Clarifier son rôle
        
        Un CSPS ne contrôle pas la conformité technique des équipements.
        
        ce n'est pas son rôle, ni sa mission
        
        ce n'est pas pas un contrôleur technique, ni un bureau de contrôle, ni un responsable d’exécution.
        
        par ailleurs la responsabilité de la mise en place et de la conformité d'un équipement incombe à l’entreprise.
        
        Ne pas donner d’aval officiel, mais accompagner en s’assurant que la protection mise en place répond bien aux principes généraux de prévention.
        
        Orienter vers les bons interlocuteurs
        
        Si une validation technique est nécessaire, c'est au fabricant, au bureau de contrôle ou au responsable HSE de l’entreprise de s’en charger.
        
        "Avez-vous vérifié que votre garde-corps est conforme aux normes en vigueur (NF EN 13374, etc.) ?"
        
        "Avez-vous fait appel à votre service HSE ou à un bureau de contrôle si nécessaire ?"
        
        Poser les bonnes questions pour aider à la prise de décision
        
        Plutôt que de dire "oui, c’est validé" ou "non, ce n’est pas bon", guider le chef de chantier en lui posant des questions :
        
        "Avez-vous vérifié que la hauteur et la résistance sont conformes aux normes ?"
        
        "Ce garde-corps est-il fixé solidement et testé ?"
        
        "Les travailleurs exposés comprennent-ils comment l’utiliser et le respecter ?"
        
        Faire un retour constructif sans s’engager juridiquement
        
        Si le garde-corps semble conforme et efficace, rester dans un rôle de facilitateur et non de validateur :
        
        "D’après ce que je vois, cette solution semble répondre aux exigences de protection collective. Mais c’est à vous de vous assurer de sa conformité avec les normes en vigueur."
        
        "Il faudra veiller à ce qu’il soit bien maintenu et à sensibiliser les équipes à son utilisation."
        
        Pourquoi ne pas valider officiellement ?
        
        Risque de transfert de responsabilité : si le CSPS "valide" et qu’un accident survient, il peut être mis en cause.
        
        Le CSPS n’a pas les compétences techniques d’un bureau de contrôle : ce n’est pas son rôle.
        
        Les entreprises doivent rester responsables de la sécurité de leurs propres installations.
        
        Conclusion
        
        Le bon réflexe ? Ne pas valider, mais orienter et accompagner.
        
        Encourager la démarche de prévention tout en rappelant que la conformité reste sous la responsabilité de l’entreprise.
        
        quels sont les éléments à vérifier pour s'assurer que la protection mise en place répond bien aux principes généraux de prévention
        
        rôlr fo,ction moission
  - - - c’est aux concepteurs et aux entreprises de s’assurer que leurs solutions respectent les normes en vigueur."
        
        je vous recommande de solliciter un bureau de contrôle ou un organisme compétent en la matière
- - - - Ce contrôle vise à s’assurer que l’exécution respecte les prescriptions techniques et contractuelles
      - en matière de sécurité
        
        veiller à la prise en compte des obligations de sécurité et à leur application par les entreprises dans l’exécution des travaux.
        
        bien qu'il ne réalise pas une veille au sens strict de la coordination,
        
        notamment Signaler tout manquement grave en matière de sécurité.
        
        et réagit dans le cadre de ses pouvoirs de décision
        
        prendre en compte ses recommandations
        
        collaborer avec le CSPS
        
        intégrer la sécurité à ses ouvrages
        
        S'assurer que les dispositions de sécurité sont bien intégrées dans les documents d’exécution et dans les marchés de travaux.
        
        responsable avec le moa des choix constructifs
        
        , avec l’appui des bureaux d’études et bureaux de contrôle.
    - - Installation en sécurité des protections collectives
      - Contrôle périodique et surveillance des équipements
      - Application des règles de sécurité définies dans leur PPSPS (Plan Particulier de Sécurité et de Protection de la Santé).
      - Désignation d’un responsable sécurité interne pour assurer le suivi de ces dispositifs.
      - vérification initiale des protections collectives avant utilisation.
        
        Certaines vérifications techniques sont encadrées par la réglementation et doivent être effectuées par des personnes qualifiées :
        
        Installations électriques : vérifications par un organisme agréé selon la norme NFC 15-100.
        
        Échafaudages : contrôle avant mise en service et vérifications périodiques par une personne compétente.
        I
      - interdiction des zones dangereuses jusqu'à mise en sécurité
    - - S’assure qu'ils respectent les principes généraux de prévention sont respectés.
        
        Émettre des recommandations sur les équipements de protection collective
        
        demander des actions correctives aux entreprises,
        
        signaler les manquements.
        
        coordonner leurs installations
        
        alerter en cas de défaillances
      - Le CSPS doit rester dans son rôle .Il n'est ni concepteur , ni constructeur, ni contrôleur technique.
- - - - Supervise la conformité des travaux et veille au respect des règles de l’art.
        
        Ne dirige pas les travaux mais s’assure qu’ils sont bien exécutés selon le contrat.
      - il ne gère pas directement l’organisation opérationnelle du chantier.
    - - Organise le planning, assure la coordination entre entreprises.
        
        Optimise le déroulement du chantier, mais ne dirige pas les travaux.
      - Il a un rôle de coordination entre les différentes entreprises et veille au respect des délais et à la bonne organisation des interventions, mais il ne dirige pas les travaux en eux-mêmes.
      - L’OPC, lui, a pour mission de :
        
        Organiser l’enchaînement des tâches pour éviter les retards.
        
        Gérer les interfaces entre entreprises pour optimiser le déroulement des travaux.
        
        S’assurer du respect des délais et proposer des ajustements en cas de dérive.
    - - Gestion quotidienne du chantier pour l’entreprise.
      - Dirige les équipes, planifie et exécute les travaux.
      - Le Directeur de chantier est généralement le conducteur de travaux ou le chef de chantier de l’entreprise principa
        
        assume la gestion quotidienne du chantier et le pilotage des équipes.
    - - La maîtrise d’œuvre regroupe les acteurs chargés de la conception et du suivi de l’exécution des travaux pour le compte du maître d’ouvrage. Elle peut inclure plusieurs intervenants, selon la complexité du projet :
        
        Le maître d’œuvre (MOE) principal (architecte, bureau d’études, ingénieur) :
        
        Responsable de la conception et du suivi de l’exécution.
        
        Vérifie la conformité des travaux avec le cahier des charges.
        
        Peut être une personne physique ou morale.
        
        Le MOE dirige la maîtrise d’œuvre au sens strict,
        
        L’OPC (Ordonnancement, Pilotage, Coordination) :
        
        Rôle spécifique au sein de la maîtrise d’œuvre.
        
        Organise le planning, optimise le déroulement du chantier.
        
        Coordonne l’intervention des entreprises mais n’a pas d’autorité technique sur elles.
        
        l’OPC intervient en appui pour assurer le bon enchaînement des travaux.
        
        L’OPC peut être une mission intégrée au contrat de maîtrise d’œuvre, mais il peut aussi être un intervenant distinct.
        L’OPC n’a pas de pouvoir sur les choix techniques, contrairement au maître d’œuvre.
      - le MOE a un rôle technique et contractuel, tandis que l’OPC a un rôle organisationnel.
        
        maitre d'oeuvre
        
        Rôle technique :
        
        Conçoit le projet (plans, études techniques).
        
        S’assure de la conformité des travaux aux règles de l’art et au cahier des charges.
        
        Vérifie l’exécution technique des travaux.
        
        Rôle contractuel :
        
        Garant du respect du contrat de travaux signé entre le maître d’ouvrage et les entreprises.
        
        Valide les paiements en fonction de l’avancement des travaux.
        
        Peut être amené à gérer les litiges techniques avec les entreprises.
        
        Le MOE est garant de la qualité et du respect des engagements techniques et contractuels
        
        opc
        
        Rôle organisationnel, en matière de gestion et de coordination :
        
        Planifie les interventions des différentes entreprises pour éviter les retards.
        
        Coordonne l’enchaînement des tâches pour assurer un déroulement optimal du chantier.
        
        Anticipe les conflits d’intervention et propose des ajustements.
        
        Suit l’avancement et alerte en cas de dérives de planning.
        
        L’OPC optimise l’organisation et la coordination des travaux mais n’a pas d’autorité technique.
- - - - Ce que fait le CSPS :
        
        Ce que le CSPS ne fait pas :
        
        Ne planifie pas les travaux et ne gère pas l’ordonnancement des interventions des entreprises (rôle de l’OPC).
        
        N’optimise pas les délais ou la productivité du chantier.
        
        N’a pas d’autorité hiérarchique sur les entreprises et ne dirige pas les ouvriers.
        
        Coordonne les mesures de sécurité et de prévention entre les entreprises.
        
        Veille à la prise en compte des risques liés aux interventions simultanées ou successives.
        
        Peut intervenir en cas de situation dangereuse pour recommander des actions correctives.