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Représentations proportionnelles (compréhension des textes), Structures…
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Structures conceptuelles
1/Le concept (mot, ensemble de propriétés, catégories)
2/Le point de vue logique : DISTANCE DÉFINIT PAR LE NOMBRE D'ARC Concept sous 2 formes : Intension = priopriétés pour définir une catégorie Fruit (comestible, avec fibres, sucré) + Extension = tous objets dans une catégorie. Ex : Pomme, poire. + Concept spécifique pomme granny smith (+ d'intension : croquant, vert) et (-extension)
2.1/ Collins et Quillian : Les réseaux sémantiques : Arbre hiérarchique avec des noeuds sous-catégories associé à des propriétés (appartiennent à une seule classe)
Limites : Temps de vérification n'est pas le même dans une même catégorie (ex : primate et singe) + temps de vérification ne dépend pas de la distance dans le réseau
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Schémas et scripts
Schémas : structures de réprésentations fondées sur les relations entre partie et le tout. Il s'agit de blocs de connaissances autonomes. RICHARD (2004) : 4 caractéristiques : récupérés simultanément en mémoire, expriment des connaissances déclaratives, structures complexes, connaissances générales abstraites
Scripts : Ils sont une typologie de schéma et composantes déclaratives de l’action. Les sujets ont tendance à ajouter, réorganiser l'histoire. Event déviants sont mieux mémorisés.
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Représentations imagées
Représentations imagées stockées dans la mémoire à long terme sans stimulation sensorielle externe pour construire une image mentale + fonctionnelle (3D comme si objet réel)
Paivio (1969) : mots concrets plus faciles à mémoriser (VALEUR D'IMAGERIE). Une tâche d’apprentissage de la liste des mots, suivie d’une épreuve de rappel, lui a permis d’observer que le rappel est influencé par la valeur d’imagerie mais pas par la valeur d’association. Tendance à utiliser
des images mentales plutôt qu’une stratégie verbale pour mémoriser les mots à forte valeur d’imagerie. DOUBLE ENCODAGE VISUEL ET VERBAL (image banane et mot)
BADDELEY (1975) : Contrairement à la théorie du double encodage, la tâche interférente ne perturbe pas davantage la mémorisation. Montre juste la mémorisation de la mémoire à long terme
SANTA 1977 - Figures géométriques reconnaissance plus rapide quand même on garde la même disposition. Représentation imagée conserve représentation spatiale & Représentation verbale conserve la temporalité de discours
REED & JOHSEN 1975 : image mentale n'est pas décomposable. Difficile de savoir quel morceau de la figure était dans l'étoile
HINTON & PARSONS : Image mentale est idéalisée par rapport à la réalité : aligner les 4 sommets d'un cube n'est pas possible sur le même plan
LA MÉMOIRE
Pluralité des systèmes mnésiques : vision moniste (années 50) VS vision pluraliste (60/70) avec différents registres selon durée rétention, fonction, capacité et récupération
Différents types de mémoire : BROADBENT 3 types de mémoire (sensorielle, court terme, long terme). Info perceptrice est stockée dans registres sensoriels > info est encodée > filtrée sous mécanimes attentionnels > stockée mémoire court terme (capacité limitée, traitement séquentiel, forte labilité. Puis une partie de l'info est transmise à la mémoire à long terme
Mémoire sensorielle NEISSER :
mémoire iconique (visuelle), mémoire échoique (auditive), mémoire haptique (tactile)
Mémoire à court terme MILLER : 7+ ou -2 unités. Mais c'est +3/4 soit 4 et 8 alternatives. Dépôt spécifique de la mémoire de travail.
Mémoire de travail : BADDELET & HITCH - concept. 3 composantes : centre exécutif : 1/ orienter et éventuellement de maintenir l'attention sur les stimuli 2/ coordonner boucle phonologique et calepin visuo-spatial. 3/ Il intègre les informations issues des deux sous-systèmes et les met en relation avec les connaissances conservées en mémoire à long terme. C’est un système qui doit permettre l’activation des informations pertinentes à un moment donné et l’inhibition des autres > calepin visuo-spatial (plan visuel),
buffer épisodique (articuler info calepin + boucle phonique et MLT), épisodique, boucle phonologique (son)
Mémoire à long terme
Mémoire explicite déclarative : mémoire sémantique (connaissances sur monde ext) + mémoire épisodique TULVING (souvenirs personnels), mémoire autobiographique
Mémoire implicite ou procédurale, amorçage, conditionnement, habituation
Mémoire procédurale : savoir comment faire une action- comportements sensorimoteurs automatiques inconscients (donc implicites)
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Habituation : voies réflexes qui agit en modifiant l'intensité des
réponses physiologiques aux stimuli.
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