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La perception sociale - Coggle Diagram

- - - - L'effet de primauté du trait influencerait leur intégrations (traits) parce que les premiers traits rencontrés ont une plus grande importances parce que les traits subséquents risquent d'en être influencé (d'ou l'importance la première impression)
      - L'effet de la centralité du trait influence l'intégration des traits parce que certains sont plus centraux (et donc plus de poids) que des traits périphériques (qui sont d'ailleurs influencés selon ces traits centraux jusqu'à un certain point)
- - - - Il concerne les jugements de fréquence. Les événements nous semble plus fréquents dès qu'on peut se remémorer des exemples plus ou moins spécifiques. On peut donc être amener à sur ou sous estimer la fréquence réelle de ces événements (pas nécessairement de lien entre facilité de remémoration et fréquence)
    - - Il concerne les jugements de prototypie. Les choses nous semble plus probables lorsqu'on peut facilement les associer à un prototype (du style un voleur qui ressemble à un voleur)
    - - Il consiste à procéder à l'estimation de la probabilité d'un événement à partir d'une valeur conue (ancrage) pour ensuite y apporter des ajustements (du style les soldes en magasin)
    - - Il consiste à utiliser son propre affect (humeur, émotions) comme source d'information (peut mener à oublier de l'information importante). Ce type d'heuristique servirait beaucoup au raisonnement moral (du style je le "feel" ce gars là)
  - - - Revivre des situations passées en imaginant des actions/résultats différents (la personne en 2e place déçue parce qu'elle aurait pu faire mieux). Il peut aussi être utilisé pour guider nos actions futures et ultimement créer un regret anticipé
    - - Percevoir des liens là ou il n'y en a pas (superstitions, refus de croire au hasard, complotistes)
    - - Sous-utiliser l'informaiton statistique que l'on dispose (du style avoir peur de l'avion, mais prendre sa voiture) (se rapproche des heuristiques de disponibilité et de représentativité)
    - - Les informations qui confirment nos croyances sont plus facilement acceptées (persistance des croyances). Ça influence aussi la recherche, la sélection et l'interprétation de l'information
    - - Il est plus facile d'accepter des informations positives que négatives au sujet d'une personne à cause de notre croyance que l'être humain est bon
    - - Nos croyances sur un "objet" influencent notre comportement avec ce dernier dans le but de confirmer nos croyances (crainte d'une crise financière pousse les actionnaires à vendre..). C'est l'équivalent comportemental du biais de confirmation