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UE 3) psychopathologie - Coggle Diagram

- - - - la schizophrénie
        
        du jour au lendemain la personne glisse surtout chez les jeunes
  - - - ça ne va pas trop mal / ça va mois bien / ça ne va pas du tout ...
      - pas assez de qualité de surface = sa glisse
      - d'autre des histoires de vie en continuité de galère = une résilience de ouf.
      - une qualité de vie très fatiguante = sa glisse
      - des rencontres parfois nocifs = sa glisse / au contraire des rencontre qui aide à se relever
- - - - névroses
        
        l'hystérie
        
        une maladie féminine et c'est un mot de la vie de tout les jours pour décrire qq qui fait une crise de nerf. Ce n'est pas une comédienne, elle ne joue pas la comédie, elle a une maladie mentale, la névrose hystérie qui commande son cerveau et ça ressemble à de la comédie. C'est une maladie avec 3 symptômes principaux mais qui ne sont pas forcements obligatoire
        
        1) psychique : = grande crises de nerfs, l'évanouissement ( si elle n'est pas au centre de l'attention), crise convulsive = ça peut ressembler a des crises d'épilepsie mais au contraire elle a un orgasme, brasse du vent ( remu dans tout les sens)
        
        2) accidents psychique: état somnambulique ( très sexy) , état de trance, troubles mnésique (trouble de la mémoires de l'enfance, elle confond, elle ne sait plus, c confus) mais il y a un souvenir qui reviens d'un abus sexuel dans leur enfance sauf que ce n'est pas forcement vrai sauf que la souffrance est là et c lié à un fantasme de sa part mais ça peut être aussi la vérité, l'inhibition intellectuel ( certaine non pas inventer le file a couper le beurre, pseudo hallucination (= ça ressemble mais ça n'en ai pas une elle ne ressent rien)
        
        3) les accidents somatique (ou conversion) = le corps va exprimer le symptôme sans qu'il y est une raison (FREUD: le saut mystérieux du psychique au somatique( le fait que le cerveau dise tes jambes ne fonctionne plus même si tout doit fonctionner techniquement) pour l'enlever il faut mettre du sens à son symptôme (dans la vie de la personne ce symptôme à du sens) : paralysie (sans raison), anesthésie ( il ne sans plus une partie de son corp), hypersthésie (elle sans trop, c douloureux), sensorielle ( être aveugle, sourd ,...) => mais on n'a du mal à les croire ..., avoir beaucoup de douleurs ( algies),
        
        chez les femmes c plutôt transitoire mais chez les hommes c durable et plus résistant a la prise en charge psychologique
        
        trait de personnalités : histrionisme = être le centre de l'attention si il devient trop important ça peut devenir trop douloureux lorsqu'il n'est plus adapté et il s'accompagne de comportements exemple: stéréotype féminin ( être jolie,...), suggestibilité = ce conformer au désir de l'autre, facticité des affects = d'avoir des émotions/ sentiments FAUX (ce n'est pas forcement faux, mais c trop, elle est pas en colère mais folle de rage), érotisation des relations = érotise toute les relation ( la boulangère,...) elle séduit tout le monde mais c tout ce qu'elle veut, elle ne veut rien d'autre. Mais ça peut la mettre dans un sale pétrin et elle ce fait prendre sous le bureau, labilité émotionnel = elle change d'humeur souvent, dépendance affective = elle ne supporte pas la solitude, elle a besoin des autres, l'égocentrisme = elle le centre du monde ( bénévolat), mythomanie, tendance psychopathie = tout les comportements asociaux ou illégaux ( voler, taper des personnes,..), chantage affectif peut aller jusqu'au suicide.
        
        évolution:
        
        chez les jeunes femmes adultes, début de l'âge adulte. C'est plutôt en lien avec sa vie = symptômes flambe au contraire si tout va bien = symptômes ne se montre pas trop, parfois des dépressions
        
        traitement:
        
        psychologue = dédier rien qu'a elle, elle ne parle que d'elle.
        
        obsessionnelle
        
        la névrose obsessionnelle est plutôt masculine et elle ce passe en 2 temps :1) avoir une obsession parasite, qui vient envahir, elles apparaissent comme ça. 3 obsessions:
        
        1) obsession phobique: peur = angoisse exemple nosophobie = la peur d'être malade
        
        2) idéative : la phobie du doute = il doute de tout, n'est jamais sur d'avoir fait qqch de bien, toujours un doute,...
        
        3) impulsive : le fait de craindre de commettre des crime immoraux
        
        2) avoir des rituelles = conduite compulsive
        
        1) rituelle de lavage / ou de purification (prendre sa douche à la bétadine) : ce laver les mains beaucoup beaucoup beaucoup
        
        2) rituelle de vérification = compulsif (on ne peut pas s'empêcher de le faire) ça ne sert à rien
        
        3) l'arythomanie : avoir des formule magique mais qui l'aide.
        
        4) rituelle de défécation: 30 minutes -> il y en a qui vise, d'autre qui rationalise et donc il explique le pourquoi il lise dans les toilettes.
        
        trait de personnalité:
        
        1) l'ordre + propreté, ça devient pathologique quand ça prend trop de temps.= perfectionnisme, contrôle, maîtrise. il peut y avoir des espaces obsessionnelles exemple bureau
        
        2) fidèle
        
        3) l'économie : il ne dépense pas ses sous
        
        4) collection
        
        5) entêtement: il ne lâche rien, il ne fond rien parce que ça doit être parfait
        
        6) l'autorité : il aime que tout le monde soit comme eux, il impose son mode de vie
        
        7) il se pèse
        
        8) les émotions ils ne les gèrent pas
        
        l'évolution:
        
        l'adolescent qui range sa chambre et ce lave et ça va en s'aggravant. il y a une constance évolution des rituelles.
        
        il ne va pas chez le psychologue, il ne supporte pas. Par contre prendre des anxiolytique, on diminue l'angoisse, donc on traitre les rituelles et il est plus adapté à la vie.
        
        phobique
        
        avoir peur de certains trucs. une crainte spécifique il sait de quoi il a peur et ses angoisses arrivent que quand il est en présence de cette chose.
        
        1) il identifie ça peur = angoiqssse majeur
        
        2) qu'est ce qu'il met en place pour affronter cette peur = conduite
        
        Plusieurs phobies :
        
        1) AGORA phobie : peur d'être seul dans un endroit public
        
        2) phobie SIMPLE: une grande peur d'un objet PHOBOGENE (= qqch qui fait peur) ce n'est pas forcement dangereux. Les plus fréquent : animaux: araignée, serpent ... Lorsqu'on reste figé rien de voir la chose qui nous fait peur à la télé = PHOBIE. Il y a aussi la claustrophobie.
        
        3) phobie social : la peur de parler en public, de boire, de manger en public. c'est IMPOSSIBLE de parler devant tout le monde.
        
        4) il y en a qui sont psychotiques :
        
        DYSMORPHO PHOBIE : la peur que son corp ce change. le pénis qui rétrécit mais ça n'arrive pas
        
        le patient va mettre en place des conduites CONTRA-PHOBIQUE
        
        1) conduite d'évitement : éviter ce qui fais peur ( j'ai peur de l'ascenseur je prend les escaliers)
        
        2) conduite de réassurance : le fait d'avoir qqch qui nous permet de sortir sans avoir peur. le sujet pense que c magique que ça va lui porter chance.
        
        3) défis: Même pas peur !!!! par contre c épuisant parce que de faire semblant de ne pas avoir peur.
        
        il y a peu de ressemblance, peut-être une hypersensibilisé, les inhibition multiple. un cercle d'amie restreint.
        
        l'évolution de la maladie : début de l'âge adulte mais ça n'a rien a voir avec les peurs de l'enfance. Elles sont fluctuantes en fonction de la vie du patient. il peut y avoir des complications : comorbidité de maladie = 2 maladies. La phobie va avec l'addiction, l'alcoolisme ou avec le fait d'ingérer des substances illicites, fumé,...Mais il ne faut pas gérer l'addiction sans savoir le pourquoi du commencement sinon le sujet recommencera.
        
        le traitement: TCC ( Thérapie Cognitivo- Comportementale) thérapie qui va se faire sur un temps court, permet au sujet de requalifier les objets phobogène, le fait d'enlever une fausse information par une vrai. ( l'ascenseur).
        
        l'anxiolytique
        
        angoisse
        
        plusieurs formes:
        
        1) l'état anxieux chronique : il souffre tout le temps d'anxiété, d'une menace, d'une peur, il a peur de la vie = insécurité, il ressent une sensation qu'il va arriver qqch de mal. ils ont l'impression que le bonheur ne reste pas et qu'on le paye un jour. ils vont s'empêcher d'être heureux. Mais il a aussi peur pour les autres, il va contaminer tout le monde, il vous imagine mort. pour l'entourage la seul façon de s'adapter c soit de devenir anxieux ou de défié les autres. Du mal a faire des choix de vie.
        
        2) l'attaque d'angoisse / l'attaque de panique: à un moment dans la vie du sujet, il va ressentir une énorme terreur alors qu'il marche dehors tranquillement , s'en prévenir ça lui tombe dessus, c'est un moment qui le submerge, ils ont l'impression de faire comme une crise cardiaque ou d'être fou. Puis ensuite le sujet se met à pleurer et a reprendre ses esprits. en fonction des personnes les crise d'angoisses vont apparaître différemment.
        
        3) les équivalence somatique: c'est le corps qui exprime l'angoisse. les différents symptômes: sueur, tremblement,... SI ça empêche ce n'est plus adapter. Le mal du dos causer par des angoisses, les anxiolytiques peuvent enlever le mal du dos.
        
        l'évolution : n'importe quel âge de la vie. ça peut s'arranger comme ça peut empirer en fonction de la vie du patient. Beaucoup de tentative de suicide, ils pensent que c la seule sensation.
        
        syndrome post traumatique
        
        le moyen de thérapie : le débriefing, c de mettre des mots sur un trauma
        
        lorsqu'on fait du débriefing avec leur trauma = moins de symptômes voir même pas du tout.
        
        le fait d'avoir était confronter à sa propre mort. Aujourd'hui on considère que les personne ayant eu l'habitude, ayant été perturber par un évènement choquant. et donc ça va générer des symptômes qui vont se générer tout de suite ou plus tard comme 1 mois ou même 2 ans après. C'est en lien avec le vécu de chacun.
        
        symptômes: multiple et varier, ils peuvent développer des symptôme phobique, des symptômes hystérique ou bien obsessionnelle.
      - obsessionnelle/ hystérie/ phobique = névrose de transfert
    - - psychose
        
        schizophrénie
        
        maladie assez fréquente, atteint les enfants entre 15 et 25 ans. Provoque des bizarreries chez les personnes qui parle à un malade. la maladie peut évoluer en fonction du contexte de vie de la personne et de son ressentit sur le moment.
        
        3 catégories :
        
        syndrome discordant ou de dissociation : être dissocier : couper l'esprit avec la réalité. on peut la retrouver dans les troubles de la pensée. c'est une pensée perturbé, embrouillé, ralentie, mais peut en lien entre elle = bizarrerie de la pensée : repérage de la maladie. La personne va avoir du mal à comprendre ce que le malade va dire. Le symptôme = le barrage: avoir un petit blanc dans une conversation et reprendre une autre idée .Mais il y a aussi des troubles du langage : ce tromper de mots: il perd petit à petit la compréhension, la signification des mots et donc changer un mot dans une conversation. ou bien des mots qui n'existe pas mais on comprend quand même ce qu'il veut dire. ou bien quand le langage devient poétique.et à la fin la communication ce perd. chaque malade à un langage qui lui appartient. et la pensée et le langage vont devenir plus hermétique. perturbation de l'intelligence. plus elle perturbe plus c irréversible. mais il y a aussi une discordance psychomotrice: une démarche qui change, ou bien d'avoir des manières, des tiques ( grimasse), des stéréotypies = mouvements répété pendant plusieurs minutes comme des balancements, ou bien verbale (répétition),il peut aussi avoir un grand coup dans la figure. il y aussi une angoisse de morcèlement : le corps tombe en 1000 morceaux. pour lui il ne sais pas que c à lui et que c des morceaux. il dit que ce n'est pas lui. = dépersonnalisation.
        
        syndrome autistique : perdre petit à petit le contact des autres = retrait autistique. il arrête tout, il se désinvestie. il peut souffrir d'une clinophilie= aimer son lit. mais comme tout les ados. perturbation affective, il ne va plus reconnaitre le sentiment: ne plus savoir comment faire ressentir le sentiment qu'il éprouve. il n'aime pas beaucoup lorsqu'on les touches.
        
        syndrome délirant : ce n'est pas la réalité/ le sujet lui il est convaincu que c'est la réalité. c'est fait de 1 ou plusieurs thème et mécanisme. - 1 thème : la persécution: l'objet d'agression, pour voir si c vraiment vrai il faut que le discourt soit cohérant. Si ça ne l'ai pas c'est qu'il délire. - 2 thème: mégalomanie: une force , une puissance, des pouvoirs surnaturelle. -3 thème: la jalousie. -4 thème: érotomanie: la pensée qu'on nous aime. - 5: culpabilité délirante, - 6: revendication: d'adhéré au complo. -7: dismormophobie -8: posséder , -9 : la référence : il pèse être le centre du monde. La SYSTEMATISATION : le fait que plusieurs thème aille ensemble. Les mécanismes: forme : 1 délire d'interprétation : la réalité d'une façon erroné. 2 l'intuition: il prenne brusquement une conscience. 3 : l'imagination délirante: l'imagination = réalité. 4: les illusions: modifier une perception, ne la perçoit pas de la bonne manière: différentes: extra-sensorielle: entend, voie, perçoit à l'extérieur de lui. il peut éviter de l'entendre quand il met un casque. intrapsychique: elle est dans sa tête. automatisme mental: la pensée, le sujet pense qu'on peut lire, voler, éco dans ses pensées .
        
        2 manière différente:
        
        lente, progréssive
        
        aigue , brutal
        
        diagnostique :
        
        au moins 6 mois lorsque c'est une période lente. Mais quand elle est progressive : il n'y a pas un diagnostique tout de suite parce qu'elle ressemble énormément à la crise d'ado.
        
        le traitement :
        
        on peut juste arrêter la progression mais pas remettre comme avant. le malade peut ne pas évoluer, et reste assez adapter dans la vie réelle. par contre , elle peut aussi évoluer vite, par épisode. il ,peut ce faire du mal ou faire du mal à autrui. pour une hospitalisation = participation émotionnelle: il n'est plus en capacité de s'adapter, de se protéger.
        
        les neuroleptiques : en fonction de la psychose : anti-délirant; sédatif : très agressif; désinhibiteur : lève les symptômes de balancement. les personnes peuvent se trouver à la rue. par contre les malades peuvent choisir d'arrêter le traitement. et même avec le traitement ça peut être compliqué. lorsqu'elle continue quand même d'envahir= déficitaire. perdre toute possibilité de vivre adapter.
        
        paranoïa
        
        assez semblable de la psychiatrie. C’est une psychose. Elle apparaît vers 40 ans (autans de femme que d’homme) mais il peut y avoir des enfants, sur des personnes qui avait déjà des traits de personnalité de paranoïa : méfiance : mais faut pas qu’il soit trop impliquer dans la vie de la personne sinon il ne va plus faire confiance à personnes. Ce n’est plus adapter d’être trop méfiant. → plus adapter à la vie.
        ATTENTION : ils n’ont pas forcement une paranoïa si la personnes est trop méfiante.
        C’est quand le diagnostique : l’altération du rapport à la réalité. Moins en moins en lien avec la réalité. Lorsqu’ils vont se méfier des gens qu’ils ne leur veulent pas faire de mal alors que c’est la contraire, mais il l’ai croit vrai.
        Il peut-être extrêmement précis, il peut avoir des preuves pour que ce soit crédible.
        
        Symptômes :
        
        → délire de persécution : c’est le thème du délire, il est systématisé → ça ne part pas dans tout les sens ; l’entourage va être intégré dans ce délire. Il est tellement précis qu’on peut que le croire.
        
        Il va pourvoir garder une adaptation dans son travail mais au moins au début. Il ne va pas être paranoïa tout le temps ça va dépendre de quand ça va se manifester. Se délire de persécution va s’étendre en « réseau » → le complot va gagner petit à petit la sphère privée. Il pense que sait intentionnel.
        
        → l’interprétation : comment le paranoïa interprète les éléments de son entourage, de manière à lui faire du mal. TOUT est interprété sous l’attention de la persécution.
        
        Soit on est avec lui / soit on est contre lui.
        
        Si on essaie de le repositionner dans la réalité = agresseur/ on est contre lui. Il n’est plus capable d’entendre la réalité. => il va se brusquer.
        
        Il y a peu de chance pour que le malade mette un peu de souplesse dans ses méfiances.
        
        Il y a risque de passage à l’acte meurtrier : il a identifier ses agresseurs → ils cherchent à m’éliminer donc je dois le faire, pensant se défendre contre une agression qui n’existe pas.
        
        → il peut aussi avoir des thèmes de mégalomanie : un certain pouvoir, puissance. La sujet ne va pas supporter la frustration, le raisonnement.
        → délire de jalousie :
        
        Traitements:
        
        souvent c’est les conjoints qui viennent consulter. Le conjoint ne peut pas porter plaintes contre le paranoïa, parce qu'il faut des preuves.
        
        L’entourage demande un traitement pour le paranoïa = interdit par la lois. SAUF que si une famille vivent dans la terreur, que tout le monde est malade → certain psychiatre vont prescrire des neuroleptique anti délirant = moins délirant.
        
        Il existe aussi un délire de paranoïa étendu sur le désir Kretschmer(c lui qui a fait une étude de la paranoïa au travail) , ils sont extrêmement timide, ils ne prennent pas d’initiative, ils restent dans leur coins= paranoïa.
        
        C’est vraiment très compliqué, lorsqu’ils vont commettre un délit, ils seront hospitalisé = on leur donne des neuroleptiques et des sédatifs pour qu’ils se calme. Et quand le traitement est en place le délire cesse = il retrouve la raison, et redeviens l’homme ou la femme qu’il était avant.
        
        psychose maniaco-dépressive :
        
        ça commence vert 40 -45 ans chez les hommes et pour les femmes 45 -50 ans. Avec les traits de personnalités. - PMD unipolaire : forme mélancolie : ils vont pouvoir retrouver une humeur stable/ ou être dépressif mais stable / ou rester mélancolie toute leur vie.-PMD bipolaire : les deux pole de l’humeur son adapté ( maniaque et mélancolique) Si le sujet à fait les deux épisodes ( 1 maniaque puis mélancolique / ou l’inverse). L’humeur peut changé, elle n’est pas fixe. Il perd le principe de réalité.
        
        Symptômes:dépression extrême, majeurs, d’une grande intensité, l’envie de mourir est tellement présente. Si on les hospitalise pas ils vont se laisser mourir. C’est une douleur atroce. On peut leur proposer la sismothérapie = électrochoc. Elle fonctionne vraiment bien + un traitement antidépresseur. Ils sont endormis. Lorsque l’humeur est de nouveau stable, on les mettre sous lithium, ça évite les grands pique de l’humeur, il n’y a pas d’effet secondaire. La manie c’est l’effet d’avoir une humeur expansive.Le maniaque va avoir envie d’acheter TOUT ce qu’il veut. Le maniaque va se dire « on s’en fou, je me suis privée de toute ma vie, aller hop j’achète la plus chère » Il s’en fou de tout, de son boulot, de sa femme, …
        Ça peut emmener des passages l’actes par rapport aux frustrations.
        
        Les états-limites : ils étaient des personnes avec énormément de symptômes, donc il ne rentraient pas dans les cases. Ils sont entre névroses et psychose.
        
        pervers narcissique : c’est une fragilité du narcissisme ( l’amour de soit). Ils ont un négo soit surdimensionné soit sous-dimensionné= fragile, ils n’arrivent pas à s’aimer. Il n’a pas qualité et défaut chez la même personne : soit la personne va n’avoir que des qualités : IDÉALISATION (pensant que je suis meilleur que les autres) c’est interne, ou alors que des défaut : désintéressé (sous merde).
        
        Quand il idéalise il va porter le narcissisme auprès de l’autre.= dénis de réalité.
        
        Il voit soit l’un soit l’autre. Mais il a une angoisse, c la perte d’objet, la perte de l’objet de l’amour.
        
        Par contre il peut péter un câble en disant tu m’as menti en me disant que tu était parfaites alors que pas du tout.
    - - états-limite
        
        personnalité limite
        
        psychopates