Génocide des tutsis au Rwanda
1990
Guerre civile au Rwanda
FPR (Tutsis)
Hutus
Paul Kagame
Habyarimana
6 Avril 1994
l'avion du président Habyarimana (hutus) est abattu
marque le début des tueries, les hutus rejettent la faute sur le FPR
1993
accords d'Arusha
échouent à intégrer les tutsi à la nation rwandaise
7 avril 1994
1ere tueries de Tutsis, début du génocide tutsis
8 avril
le FPR lance l'offensive
21 avril
l'ONU réduit ces effectifs
12 mai
un responsable de l'ONU parle du génocide
22 juin
L'ONU autorise une intervention militaire de la France
23 juin
la France lance l'opération turquoise
création d'une zone humanitaire sûre
la France à été critiqué pour son rôle
17 juillet 1994
Fin des tueries
ONU crée un TPIR en Tanzanie
pour juger les condamnations des responsables du génocide
20 ans de travaux
1994-2012
2001
le système judicaire rwandais est dans l'incapacité de juger les centaines de milliers de prévenus dans les prisons.
Causes
2005
des tribunaux participatifs appelés Gacaca sont mis en place
des juges non-professionnels élus dans les collectives locales.
le système reposait sur l'aveux des coupables
cause
de nombreuses fausse communes ont été découvertes grâce aux aveux.
lorsqu'ils étaient complet, ils permettaient de reconstituer le déroulement des tueries.
procès de 2005 à 2007
12 100 gacaca
ont jugés 2 millions de personnes
pour 65% condamnations
bilan humains
800 000 dont 77% tutsis
cause
relation étroite entretenu avec François Mitterrand et Habyarimana
François Mitterrand
souhaité faire du Rwanda un territoire de défense de la francophonie
conséquence
livraison considérables d'armes et de munitions au régimes Habyarimana
implication militaire française dans la formation des forces armées rwandaises
défend le régime Habyarimana face à l'offensive lancée par le FPR
aucune intention du chef d'Etat de sanctionner ces militaires ou de les retenir dans leurs intentions.
bien qu'elle est sauvé bcp de vie, elle n'a pas pu sauver celle de la majorité des Tutsis.
Alain Juppé, un chef diplomate français
Les négociations d'Arusha ont été conduites en Tanzanie. Ces accords prévoient à terme l'intégration politique et militaire des différentes composantes internes (à l'exception des partis ouvertement racistes anti-Tutsi) et externes de la nation rwandaise (le FPR) et le départ des troupes françaises (à partir d'août 19921). Une mission des Nations Unies, la MINUAR, fut créée le 5 octobre 1993 pour veiller à leur application.
La mise en œuvre de ces accords sera partiellement retardée par le président Juvénal Habyarimana, dont les alliés extrémistes de la Coalition pour la défense de la République (CDR) n'accepteront pas les termes. le lendemain de l'attentat qui coûte la vie au président Juvénal Habyarimana et empêche également l'application des accords d'Arusha. C'est Jean Kambanda qui lui succède pour mettre en place la politique génocidaire du gouvernement intérimaire animé par les membres de Hutu Power.