affaire Vincent Lambert = victime d’un accident à la suite duquel il est plongé dans un coma, combat judiciaire de 11 ans, en 2011 les médecins suspendent les traitements qui le garde en vie en accord avec son épouse mais ses parents ne sont pas d’accords. Le trib ad suspend la décision des médecins, le CE se prononce sur la légalité de la décision prise par le médecin, à la vue de l’expertise médicale et des observations de caractères général conduite en application de sa première décision, on se pose la question de l’acharnement thérapeutique, l’arrêt des traitements n’est pas mis en œuvre, en 2015 on avait commencer l’arrêt des traitements, à a été interrompu, le corps médical a subi des pression. Le CE donne une nouvelle décision confirmant la possibilité d’arrêt des soins, la CEDH est saisie, rejette la requête des parents puis la CA de Paris elle suspend la procédure d’arrêt des soins et la CASS estime que le droit à la vie n’entre pas dans le champ de la liberté individuelle selon l’art 66 de la C°, Vincent Lambert décède en 2019.