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Julien PILLOT (INSEEC) Le pour et le contre : faut-il continuer à…
Julien PILLOT (INSEEC) Le pour et le contre : faut-il continuer à organiser des méga-événements sportifs ?
Kevin Freeman rappelle le soft power est très important lorsque l'on organise des méga-événements sportifs, surtout quand celui-ci est en mono vision
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Arguments négatifs
Problématique des gouvernance, enceinte PPP (partenariat privé public, ex: MMA Arena au Mans)
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Les retombées économiques globales sont difficilement quantifiables, Vladimir Andrev économiste du sport, à calculer que le taux moyen de dépassement du budget était de 167% depuis les JO de 1968
Effets d'éviction, la population qui ne souhaite pas participer à l'événement majeurs et qui quitte les lieux de résidence de l'organisation
Exemple JO Athènes, 20 ans après les grec payent toujours ces Jeux
Soft Power, si l'organisation de l'événement est bien organisé c'est une normalité en revanche face à des couacs d'organistes vous bénéficiez de retombées négatives instantanément (Les risques excédent les gains potentiels auprès de la cible)
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