On peut remarquer que l’homme est né presque « nu », sans aucun avantage naturel. Pour sa sécurité, il n’a ni la corne du taureau, ni la griffe du lion, ni les crocs du chien, seulement des mains. Tout se passe donc comme si la Nature voulait que l’homme ne doive ses progrès qu’à lui-même, comme si le dessein de la Nature était non pas de rendre l’homme heureux, mais digne du bonheur.