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HLP => Humanité en question partie 2 : Histoire et Violence - Coggle…
HLP
=>
Humanité en question partie 2
:
Histoire et Violence
3) On parle du regard des officiers britanniques => va revolé, ce qui est inconscient !
Le 1er sentiment que voit les officiers sont
l'effroi, l'horreur
...
La cause de ce regard => J.S reflète la mort, il est vide : "C'est l'horreur […] le leurs horrifiés" => L'horreur en miroir, l'horreur inconscient de son regard traduit la violence de l'Histoire ...
"Ce regard fou, dévasté" => atrocité inhumaine, l'expérience de la mort, ils voient un mort vivant car il en est le témoin de la mort…
L'expression qui émane de son corps => signal de détresse de l'inconscient
Langage sans mot littéraire
=> peut-elle traduire la violence de l'Histoire ? Est-il précis pour décrire ? = son c'est très suggestif (Qui a le pouvoir de suggérer des idées, des sentiments)
2) 1- je suis vivant ; 2- je ne sais plus qui je suis"
Regard très physique = V traduit l'idée : "Je voyais mon corps"
système de répétition/ reformulation par rapport au cops où il travaille, qui est mal nourrit = un corps dégradé/ affaibli mais résistant =>
il sait qu'il va tenir
: "Amaigri mais vivant"
Le lecteur voit bien la maigreur via :"le pommettes saillantes, le creux d'une joue."
"Depuis 2 ans" se traduit par la résistance : car il a enduré une longue expérience mais son corps tient face à ces conditions de vie difficile notamment à cause de la malnutrition, le manque :"sa maigreur croissante"
Son manque d'hygiène
: "une fois par semaine aux douches
La déshumanisation montre les conditions horribles que c'st une corps sans identité : "je vivais sans visage" => suppression caractéristique qui fait qui sommes ...
Il perd conscience de ce à quoi il ressemble => il est privée de son identité = idée essentiel
Il y a un autre sens :
Le toucher
= "Je frôlais" => fragilité du corps traduit par V : "Ce corps amenuisé"; "ce corps dérisoire" => Qqch qui est sans importance du corp effacer, et tient à ne rien lâcher
On n'existe pas sans regard sur soi => c'est grâce à sa volonté qu'il s'en est sortit = lutte physique
Perdu ce qui fait son unité
Tenue "défroque disparate" "botte russes" "mitraillette allemande" => constate son côté peu distingué de son identité
Texte 1
:
Jorge Semprun, l'écriture ou la vie, chap 1, 1994
INCIPIT : Début du récit
Le Regard
un point de vue
(littéraire
À quoi sert-il ?
Moyen d'être avec les autres
=>
regard d'autrui/ autrui nous regardent = Lien du monde
Idée de partage et d'échange (échange de regard et rapport avec l'autre
Jugement/ subjectivité
il est le
miroir des émotions
, le
reflet de l'intériorité
Il se questionne:
Elément important de dramatisation
Sur ce qui se passe par rapport à eux
Prisonnier retrouve contacte avec le monde, regard de celui-ci...
Motif du Miroir
elle implique la
subjectivité
, un
jugement
, un peu (littéraire)
transporte émotion
= miroir de l'
intériorité de l'individu
"
miroir de l'âme
"
face à autrui où l'œil => autre miroir chaque officier britannique on un regard => se sert d'eux, regard pour comprendre sa personnalité, ce qu'il représente.
Dimension Symbolique
À quoi peut servir le regard ?
c'est un moyen de communication, le langage du regard, c'est le moyen de percevoir les choses, susciter l'émotion chez autrui...
Passé
Absence de miroir
= il s'est perdu lui même => (visage traduit l'identité) perte d'identité, cesse d'exister en tant qu'individu mais son corps continue d'exciter
Survie du corps, priorité => il n'y a pas d'individualité mais survie
À travers les premières pages = parle/ écrit à la première personne "je" (roman autobiographique)
Pacte d'autobiographie pas classique => car il remet en question son identité : "qui suis-je ?"
A=N=P
2 dimensions sont présents :check:
La Dimension Physique
=> se permet de confirmer qu'il est en vie grâce au regard = c'est son Rôle
Quelles sont les différents rôles du regard dans cet incipit ?
1) 1er instrument de Dramatisation
Regard imprécis qui est mise en place d'un face à face qui implique une relation de tension, conflit...
Pourquoi dit-il : "ils sont en face de moi" ?
Il n'y a pas de description, pas de savoir qui est-ce...
Q° d'anonymat permet Drama par rapport à leur identité
Le regard du lecteur est susciter, beaucoup de Q° central =
identité et image
Par rapport à la situation, il est seul =
isolement physique
Solitude
du personnage qui se pose qu'à travers le regard
Pourquoi ces officiers le regarde de cette manière ? Pourquoi un reagrd éprouvant ?
À avoir :check: celui qui écrit n'est pas le jeune Semprun mais le vieux (50 ans) qui est le narrateur qui a
un regard rétrospectif
En réalité : Il y a 2 Semprun :o::
Quand le cheminement réflexif commence = "mes cheveux ras [...] dévasté" => il énumère une cause possible du regard d'éprouvante : "pas être en cause, en être la cause " =
Il cherche à comprendre
Il envisage autre chose via une question rhétorique => sa tenue : "ma tenue alors ?"
Analyse de sa tenue car il ne peut pas faire
peur
Sa maigreur toujours via la Question rhétorique "Ma maigreur => qu'il rejette car le regard pose question (sur le plan littéraire) = plan subjectif interne
il tâtonne via la reformulation
Dans un 1er temps => il rejette cette réflexion car il trouve cela de banale = Négation par rapport au cheveux
Jorge . Semprun => regard aboutit au regard physique qui traduit l'horreur => le regard de mort, le sien traduit la mort
Regard rétrospectif de J.S
sur le personnage avec
50 ans de recul => "La preuve, d'ailleurs : je suis là" peut être aussi bien le vieux et le jeune Semprun
Fusion des 2 Semprun à priori...
Dimension
rétrospective
, tout le texte
via une mise en abyme => regard de qui sur qui
: "Depuis 2 ans, je vivais sans visage"
Dimension
rétrospective
via dans le camp à l'imparfait => c'est un événement bouleversant et marquant
=> montre la proximité des J.S tout ces "je" fusionne en "ils sont"