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Analyse - Coggle Diagram
Analyse
Cadre spacio-temporel
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p.33 : "Il ne se souvenait de rien de semblable, à l'exception d'un après-midi, (...) il y avait rencontré dans le parc un vieil homme avec qui il avait parlé..."
La société dans laquelle il vit est tellement détaché et égoïste que c'est devenu étrange de parler avec quelqu'un.
Destruction total des liens avec autrui.
p.35 : "Il n'était pas heureux. (...) Il portait son bonheur comme un masque, la jeune fille avait filé sur la pelouse en l'emportant et il n'était pas question d'aller frapper à sa porte pour le lui réclamer."
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p.40 : "Des cas comme ça on en a neuf ou dix par nuit. (...) Encore quelqu'un qui vient de faire sauter le bouchon d'un tube de comprimés."
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p.58 : "Je ne pense pas que ce soit favorisé la sociabilité que de réunir tout un tas de gens et de les empêcher ensuite de parler."
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p.58 : "on ne pose jamais de question, en tout cas la plupart d'entre nous; les réponses arrivent toutes seules, bing, bing, bing"
Début du take over par la technologie - manque de patience + toujours plus vite + réponses immédiates
p.59 : "Mon oncle dit que son grand-père se souvenait d'une époque où les enfants ne s'entre-tuaient pas. Mais c'était il y a longtemps, quand tout était différent. Ils croyaient à la responsabilité"
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p.60 : "Les gens parlent de rien. (...) Ils citent toute une ribambelle de voitures, de vêtements ou de piscine et disent: 'Super!' Mais ils disent tous la même chose et personne n'est jamais d'un avis différent."
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p.67 : "Avons motif de soupçonner grenier no 11, Elm, en ville. E.B. 'Ça doit être Mme Blake, ma voisine' "
Dénonciation de 'crime' par quelqu'un à qui tu peux habituellement faire confiance - trust no one / you will get stabbed in the back
p.72 : "C'est toujours la nuit que l'alerte est donnée. Jamais en plein jour! Est-ce parce que le feu offre un spectacle plus beau la nuit? Parce que ça rend mieux, que ça en impose davantage?"
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p.78 : "il s'était mis à pleureur, non pas devant la mort, mais à l'idée de ne pas pleurer devant la mort"
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p.100 : "Si vous ne voulez pas qu'un homme se rende malheureux avec la politique, n'allez pas lui casser la tête en lui proposant deux points de vue sur une question; proposez-lui-en un seul. Mieux encore, ne lui en proposez aucun. Qu'il oublie jusqu'à à l'existence de la guerre.
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p.114 : "On a déclenché et gagné deux guerres nucléaires depuis 1960. Est-ce parce qu'on s'amuse tellement chez nous qu'on a oublié le reste du monde?"
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p.127 : "Est-ce que vous voyez maintenant d'où viennent la haine et la peur des livres? Ils montrent les pores sur le visage de la vie."
People would rather be blind than face the truth, and to know that not everything is and has to be perfect
p.128 : "Il vous précipite si vite vers ses propres conclusions que votre esprit n'a pas le temps de se récrier: 'Quelle idiotie!' "
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p.130 : "Quand on a rien à perdre, on est prêt à courir tous les risques."
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Figure de style
Métaphores
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p.34 : (parlant d'humains) "des torches, des torches qui flambaient et finissait par s'éteindre."
p.63 : "Montag regarda ces hommes au visage brûlé par mille brasiers réels et les dix mille autres qui hantaient leur imagination."
Comparaisons
p.35: "Il sentit son sourire s'estomper, fondre, se racornir comme du vieux cuir, comme de la cire d'une bougie monumentale qui a brûlé trop longtemps et en vient à s'effondrer, étouffant sa flamme."
Thèmes
Destruction
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p.65 : "Fondé en 1790, pour brûler les livres d'obédience anglaise dans les Colonies."
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p.70 : "Vous connaissez la loi, énonça Beatty, Qu'avez-vous fait de votre bon sens?"
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p.76 : "Ça c'est drôle, de ne plus se rappeler ni où ni quand on a rencontré son mari ou sa femme."
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