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HLP => Humanité en question partie 2 : Histoire et Violence - Coggle…
HLP
=>
Humanité en question partie 2
:
Histoire et Violence
II) Présentation de l'écriture ou la vie
Analyse du titre
=> "
L'écriture
ou
la
vie
"
"
écriture
" =>
mourir, replonger, mort, vivre dans la mort
Q° littéraire : est-ce que je peux faire ce genre de littérature avec cette expérience ? Comment on fait pour parler de l'horreur
Dilemme de choix impossible => retour à la mort et reste bloqué passé , refus vivre au présent...
Comme si il n'existe pas = impossible
L'écriture permet d'exercer l'expérience pour revenir à la vie =
Catharsis
: "Voilà où j'en suis [...] littéralement de vivre "
Une œuvre inclassable
Croisé de pleins de genre difficile => lien d'histoire
Autobiographie = épisode + développer que d'autre, face maturation
Réflexion de l'écriture rend compte Exp +
Une structure complexe mais cohérente
V) La tragédie de la Guerre
2°) Les impressions et les émotions du narrateur sont évoquées
La
vue
est une torture pour le Perso => "On a toujours 2 yeux de trop..."
L'odeur
apparaît dès le début du texte => début d'odeur nauséabonde qui annonce le carnage
Paranomase : "odeur d'ordure"
L'ouïe
: l'auteur ne se contente pas de ressentir mais aussi de dégager des émotions => Les émotions du narrateur sont brutal comme la crise et les appels à l'aide …
on peut se rendre compte qu'il y a une continuité de phrase courtes/ saccader => ce qui démontres que le narrateur est sous le choc, dans le désespoir, la panique, l'effroi, le dégoût
1°) L'errance de Georges dans le camp permet une description progressive du massacre
Action robotisé = description de la scène comme un rapport de la situation
raison
: état sous le choc à cause de l'horreur qui est insoutenable => Absence de sentiment = ataraxie (abs de souffrance, neutre)
désert => silence, la mort
On découvre les lieux avec le lecteur
Absent à la scène
3°) À travers cette sensibilité, c'est aussi la souffrance des victimes et des rescapés qui est traduite
Victime individualisé
synecdoque
description non globale
image de l'innocence => associer à l'histoire de boucle d'or et la famille ours
la souffrance est répandue => elle est universalisé
IV) L'homme face à la violence de la guerre
2- Textes : Quelle vision de l'Homme dans la guerre les deux auteurs donnent ils ?
Louis Ferdinand Céline, un voyage au bout de la nuit, 1932
1er homme (le personnage, le narrateur) + Les Hommes ( Les soldats + colonel => représenter comme ennemi )
Lidée
De courage, de bravoure
Mais cela entraîne la sauvagerie, la barbarie => dév° d'un monstre (Emile Zola) => violence démesurée => violence animale
Devient un instinct => instinct animal
Romans picaresques
: Romans qui mets en scène un personnage pas de haute société, ne connaît rien au monde et va être mis dans le monde réel et va se forger/ forger sa vie grâces aux autres personnages
3- Synthèse : La violence intrinsèque de la guerre
1- Triptyque d'Otto dix : Peut-on parler d'une œuvre engagée ?
J.S => fait la représentation de la 1GM
=
Il l'a vécu
:
il était mitrailleur à la 1GM
Traumatisé par cette guerre => objectivité = revenir au réel et donne une vision froide de la société ...
Une œuvre qui montres la réalité pour démystifier la guerre
Autoportrait du peintre => s'y renforcent pour avoir un témoignage de cette période..
III) Raconter l'inimaginable
En quoi ce texte illustre-t-il la réflexion de Semprun sur la manière de raconter l'expérience des camps pour en transmettre la vérité ?
- 1) Comment raconter l'inimaginable : une question complexe
- 2) Deux démarches différentes pour une même expérience
Contexte :check: :
Toujours en Allemagne en avril 1945 (libre ) dans la ville de Eisenach dans un hôtel (contraste camp)
Discussion entre l'ancien prisonnier et le futur rapatrié par rapport à la France cultivé, une réflexion universelle des fonctions de la littérature (sert à qqch comme vivre)
il s'interroge sur le pouvoir de la littérature => Peut-il transmettre la vérité/ violence => 2 démarches différentes ...
VI) Les violences symboliques
Que sont les violences symboliques ?
Violence sournoise
peut visible dans touts les domaines sous formes à l'exclusion, de moqueries… exercé par des dominants sur des dominés => culture, social, physique, métier, genre, âge, ethnicité, religion
=> Problème universel
Jacques Prévert, Grand bal de printemps, 1955
un poète très engagé du goût du quotidien
La langue proche de l'oral qui a des jeux de mots
il se rangent comme les dominés, et soutiens des sujets quotidiens et plaide des sujets universels
À qui s'adresse le poème ?
il s'adresse au immigrés des anciennes colonies FR à la 2ième Pers du PL => poème construit sous de litanie d'apostrophes
titre du poème : étranges étrangers => paronomase
regard méfiant, méprisant et aborder très indirectement...
Réf des rescapes Frances (Espagne) dut au guerre civile
(ex: Jorges Semprun) exilé politique rescapés de guerre
Le regard n'est pas du tout précis = remis en peuple FR qui accueillent avec méfiance
Quels sont les métiers ?
Divertissement pour les autres, spectacle de rue = pas de modicité mais pas loin ... situation précaire
Métier de service = travaille de manœuvre => pas inutile mais pénible
condition de travail, situation de précarité (=antithèse)
les immigrés ne peuvent pas profiter des stations balnéaire FR => le contraste sort de la situation
=>l'attitude FR peuvent pas i profiter
Prévot = il dénonce que l'immigration à un côté polémique
et tout cela ce retourne en violence rejeté
Eugène Ionesco, La Leçon, 1951
En quoi le langage est-il un instrument de puissance et d'anéantissement ?
La parole qui s'impose, elle est autoritaire
=> elle entraîne l'affaiblissement de l'élève
mais elle st aussi physique
parole dictatorial
=> le prof expose l'élève en un discours incompréhensible, un langage donc absurde = violence symbolique
le vocabulaire qu'emploie le prof est incompréhensible => Pas de sens => le langage est violent et menaçant => les tirades qui écrase la parole de l'élève (supériorité =s'impose comme la vérité seul)
La parole de l'élève est traduit indifférente à la souffrance d'autrui => le prof ignore les douleurs de l'élève = affaiblissement progressif et douleur de + en + forte = moins de concentration
la douleur physique était eu départ une douleur psychologique => elle implore sa pitié => à la fin l'élève décroche et répète comme un perroquet
l'insolence est présent de + en + chez m'élève avant de répondre violence par la violence