Please enable JavaScript.
Coggle requires JavaScript to display documents.
Histoire et violence Philo' HLP, Histoire et violence Philo' -…
Histoire et violence Philo' HLP
Violence
Utilisation de la force, d'un pouvoir qu'il soit physique ou psychique, pour contraindre, dominer ou tuer s'accompagne de la notion de souffrance
différents types de violences :
économique, social, morale, psychologique, sexuelle, naturelle, physique
son origine peut être la société, donc la politique, donc certains régimes politiques
dénonciation de la violence en philosophie
ALAIN
dit que l'Hô ne peut vivre sans guerre, elle est nécessaire
SIMONE WEIL
personnifie l'âme pour indiquer que la mort fait partie intégrante de cette dernière. La violence est propre à l'Hô il est impossible de s'en défaire.
La violence fait oublier les raisons qui peuvent pousser à la guerre.
Selon elle la violence est un cycle infernal dont Hô ne peut s'extraire
HANNAH ARENDT
pour elle la violence est naturelle, l'Hô ne peut s'en passer
L'Hô vie en société il y a donc des normes et c'est à cause de la société, la politique qu'il y a de la violence
HOBBES
L'Hô est un loup pour l'Hô et que donc l'Etat doit être violent et que cette violence est légitime. l'Etat doit exercer sa violence et fort
Freud, Malaise dans la civilisation
Thème : l'aggrésivité humaine
Thèse: l'homme est naturellement mauvais, agressif, violent
Freud dit que nous exerçons forcement une violence car on ne peut pas aimer et ne pas exercer sa violence sur autre chose. Si l'amour existe, la violence doit être déversée sur autre chose car la violence = nature humaine
nous ne pouvons pas détacher le coté animal qui est dans notre nature
Freud oppose aux pulsions de vie les pulsions de mort qui expliqueraient les tendances autodestructrices cô les désirs agressifs. La civilisation doit luter contre cette agressivité innée mais ne parviendra jamais à la faire disparaître.
La réflexion rationnelle perçoit l'évident intérêt de la solidarité, des échanges.
Limites de ce frein :
-la raison est impuissante face aux passion instinctives. -Les règles morales imposés par la société, intériorisés psychologiquement ( la conscience morale ou le sur-moi ) par exemple l'obligation de maîtriser ses désirs sexuels, d'aimer les autres
Limites de ces règles : a) elles n'atténuent que les formes les plus extérieurs de l'agressivité b) elles détruisent moins la violence qu'elles ne la détourne ou déplace sur les criminels, ou sur ses victimes émissaires contre lesquels se fondent l'unanimité d'1 société
Histoire et violence Philo'
MACHIAVEL
Le prince
thèse = la violence nécessaire de l'Etat ( dans l'exercice du pouvoir)
Thème = la nécessité de la violence
Pour Machiavel on doit condamner la violence mais pas en pratique car nécessaire
En politique la violence est nécessaire pour l'exercice du pouvoir
Sur le plan moral, on ne peut que condamner la violence. Sur le plan politique, la question n'est pas si simple.
Machiavel n'est pas un moraliste. Il s'interroge sur les conduites qui font que certains Hô conquièrent et conservent le pouvoir. Donc instaure dans états stable dans Italie déchirée du XVIème s., états à l'intérieur desquels la question de la morale peut être enfin posée. Un prince enclin à la pitié est sympathique; mais s'il laisse se dvp des violences qui détruisent la société, n'est-il pas finalement peu condamnable que celui qui use de la violence et de la cruauté pour que règne réellement la paix civile ?
1) un idéal apparent en politique : paraître pitoyable, c'est à dire capable d'avoir pitié, d'être sensible à la souffrance des autres donc non cruel
2) Critique de cet idéal par exemple : César Borgia qui fu réellement cruel a réussi à donner la paix à son pays.
La fin politique par excellence, une paix social sure exige donc parfois de moyens tel que la cruauté.
3) Confirmation de cette critique par un exemple inverse : la bonté des florentins entrainant non la paix mais un désastre pour la cité de Pistoïa
4) Conditions générales sur la conduite réellement idéal du Prince : Sa fin doit être toujours l'union civile, la paix pour le + grand nombre
les moyens adaptés à cette fin peuvent être une réputation de cruauté sans laquelle, le + grand nombre serai sacrifié par la faiblesse du prince
Précisions : Cette cruauté est nécessaire, réfléchie, limité, prudente : elle reste un mal mais parfois un mal provisoirement nécessaire