«Qu'il me frappe, qu'il me crie des noms. Ça m'atteint plus. Je me réfugie loin à l'intérieur de moi, loin dans le vide qu'il a créé, et je me laisse faire. Quelquefois, au bout d'un moment, je fais semblant de pleurer pour qu'il arrête. Et je prie. Faites qu'il meure, que je dis. Faites que ça arrête.» -P. 21