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PROCESSUS DE VIE - Coggle Diagram

- - - - Elle survient après la mort clinique ou à la suite de lésions graves et irréversibles de certaines zones cérébrale (maintien d'une respiration artificielle pour un éventuel don d'organe)
  - - - La mort apparait irréversible, mais elle ne touche que les vieilles personnes et celles qui sont très malades.
      - Il peut se sentir coupable et responsable sans en être conscient
    - - Il manifeste ses émotions face à la perte par des sautes d'humeur, de l'irritabilité et de l'agressivité
      - La mort apparait universelle, irréversible, permanente et a une cause physique précise
    - - L'enfant n'a pas conscience de la finitude de l'être humain, sauf pour les personnes âgées.
      - En deuil, il peut manifester des comportements de régressions
    - - Capable de pensée abstraite, il pose des hypothèses et fait des déductions.
      - En situation de deuil, il ressent de la colère, de la tristesse, parfois de la culpabilité
    - - La mort est liée au sens (permanence)
      - L'enfant ressent l'absence de la personne qui répond à ses besoins
    - - La mort apparaît comme une perspective redoutable (jeune adulte), inévitable (âge mûr) et de plus en plus réelle (âge avancé)
      - Le deuil suscite de la tristesse, de l'insécurité, de l'anxiété
  - - - Il commence à faire preuve d'une pensée logique organisée
    - - La pensée devient plus abstraite et intègre les principes de la logique formelle. La capacité de produire des propositions abstraites, des hypothèses et leurs résultats possibles apparaît.
    - - Concepts sommaires et irréversibles. Il ne fait pas la différence entre le réel et l'imaginaire. Les perceptions dominent le jugement.
    - - La pensée devient plus abstraite. Marqué par la prise de risque, il semble nier sa propre mortalité. Il a besoin d'une personne qui est à l'écoute de ses émotions
    - - Compréhension limitée des évènements fortuits, de l'avenir et du passé et de la différence entre la vie et la mort
  - - - Immédiatement après la mort, la personne se sent perdue et déconcertée. Petit à petit, la torpeur initiale laisse place à la tristesse et à des pleurs fréquents
    - - Arrive entre 6 et 24 mois après. La personne ressent de la tristesse, de la colère ou de la culpabilité. Elle tente d'accepter la mort mais n'y parvient pas encore. Elle appréhende les dates difficiles (anniversaire, fêtes, etc.)
    - - Lorsque la personne redéfinit ses valeurs, réintègre sa vie sociale et s'intéresse de nouveau aux activités quotidiennes. Le souvenir du défunt suscitent de la tendresse/tristesse plutôt que de la douleur/tristesse. La nostalgie apparaît.
  - - - Processus de négociation par lequel le patient tente de retarder l'inévitable ou de prendre ses distances de la réalité de la situation
    - - Sentiment de perte de contrôle ou de désespoir par rapport à la situation
    - - Acte physique ou émotif par lequel le patient tente de blâmer quelqu'un. Il peut souvent s'agir du médecin
    - - Sentiment de stabilité ou de résignation alors que le patient devient un participant actif dans sa fin de vie
    - - Décision consciente ou inconsciente de refuser d'admettre que quelque chose est vrai : un diagnostic, des séquelles, la sévérité d'un problème ou le besoin d'une intervention
- - - - 1965 - 1980
      - Grandit dans une société encore marquée par les conventions et s'exprime en rejet de celle-ci. Epoque des hippies, de la libération sexuelle et de l'émancipation de la femme. Elle regarde malgré tout avec circonscription l'explosion technologique des années 80 et l'avènement d'internet.
    - - 1980-1995
      - Grandit au rythme des innovations informatiques, de la numérisation et de la connexion (digital natives). Semble avoir du mal à entrer dans l'âge adulte. Marquée par la crise, cherche à comprendre plus qu'à contester
    - - 1946-1965
      - Epoque de recherche de sécurité de l'emploi, pour eux la formation a été promesse de carrière, le travail donnait accès à l'emploi, la sécurité sociale était garante de leur protection contre la maladie et les vieux jours
    - - 1995-2012
      - Génération de l'omni-connexion et de la mondialisation. Elle consomme l'information plutôt que l'analyse ou la critique. Entend surmonter les difficultés économiques en abattant les frontières. Aversion pour l'apprentissage classique et les bases du savoir. Sa capacité à se projeter la rend optimiste.
    - - Nés avant 1945
      - Génération travailleuse, peu revendicatives, attachée à la famille et à l'autorité. Ils ont posé les bases de l'économie actuelle
    - - Dès 2012
      - Entourée depuis la naissance d'appareils toujours plus intelligents et connectés, et évoluant au sein d'environnement physiques et digitaux qui fusionnent. Habituée au numérique, au mouvement, au format vidéo et à l'ultra-connexion, ils sont volatiles, engagés et ne répondent plus aux même codes et signaux que les générations précédentes. Capter leur attention devient un véritable challenge.
  - - - Opposition culturelle, sociale ou économique entre les générations
      - Sur la base des différences de valeurs ou de divergances d'intérêts entre la jeune générations et les plus âgées
    - - Solidarité affective (attachement, appartenance)
      - Solidarité associative (activités communes)
      - Solidarité fonctionnelle (argent, temps, espace)
- - - - La malorientation
        
        La personne garde la notion du temps et du lieu
        
        Elle est déterminée et veut garder la maîtrise de la situation. Elle supporte pas l'échec, elle fabule pour ne pas être prise à défaut lorsqu'elle ne sait plus et nie ses émotions.
      - La confusion temporelle
        
        La personne perd le sens du temps chronologique pour garder que le temps des souvenirs, elle mélange présent et passé.
        
        Elle perd la maîtrise des codes pour les soins personnels et la vie sociale, elle exprime ses émotions sans retenue.
        
        Le langage se simplifie, la personne peut construire de nouveaux mots (néologisme) ou s'exprimer par aphorismes
        
        Elle utilise des symboles pour représenter les gens et évènement du passé (fauteuil roulant = poussette, table = ancien établi)
      - Les mouvements répétitifs
        
        La personne utilise des mouvements et des sonorités archaïques pour se sentit vivre encore et se réconforter, le langage des mots disparait, mais la personne peut chanter, crier ou marmonner.
        
        Les capacités d'attention à l'environnement sont réduites, elle perd la conscience de son corps et s'agrippe avec force.
      - L'état végétatif
        
        La personne se replie littéralement sur elle-même, n'a plus d'interaction spontanée avec l'environnement.
        
        Les mouvements sont réduits au minimum, il n'y a plus de mots ni même de sons spontanés.
  - - - Trouver la distance appropriée
      - Se mettre en empathie
      - Observer
      - 5Utiliser des techniques verbales ou non-verbales adéquates
      - Se centrer
      - Terminer la rencontre sur une note positive
    - - Pour les porches
        
        Mieux comprendre la personne atteinte et certains comportements
        
        Permet de lâcher prise sur certaines exigences et mieux réagit face aux demandes incongrues
        
        Restaurer une communication avec la personne avec des techniques non-verbales
      - Pour les soignats
        
        Meilleure compréhension des comportements et meilleure gestion des troubles psycho-comportementaux
        
        Vision de l'organisation des soins plus respectueuses des besoins du résident et met l'accent sur le maintien de l'estime de soi et des personnes
- - - - Le narrateur se présente comme le témoin de son époque plutôt qu'un personnage principal au centre d'un récit. Se concentre sur les évènements exétrieurs et éa réflexion philosophique
      - Témoignage objectif et fiable du mémorialiste de son époque
    - - Ecrit et lus que par l'auteur. Confidentiel et souvent secret, rédigés sans contraintes et élaborés en théories au jour le jour
    - - Ecrits qui raconte l'histoire (privée ou publique) d'une vie particulière, d'une personne célèbre ou non
      - Biographèmes : points de passages obligés (date et lieu de naissance, de résidence et de décès, formation reçue, situation sociale et familiale)
    - - Religion : aveux qu'un fidèle fait de ses péchés devant un prêtre
      - Hors religion : se confier à autrui sur une action peu louable, voir condamnable, ou sur ses sentiments,
      - Elles donnent l'occasion d'expliquer et de justifier ses actes en montrant comment il est passe de l'erreur à la vérité
    - - Récit de vie d'une personne, par elle-même, où l'auteur est le narrateur et le personnage principal et raconte sa vie de manière rétrospective en mettant en valeur l'histoire de sa formation.
      - Elle est subjective, c'est une histoire d'affects, du sentiment de soi, de ce qui apparaît et de ce qui se cache
    - - Marquée par l'oeuvre de la personne
        
        Discours ordonné de la vie ou de l'histoire d'une personne. Elle sélectionne, trie, classe, hiérarchise les évènements présentés en fonction de la place que le narrateur leur reconnaît dans sa vie et son histoire.
        
        Narration écrite ou orale de faits temporels constitutifs de la vie du sujet, que ce sujet en ait été l'acteur, le témoin direct ou que ces faits lui aient été rapportés et transmis par u tiers
      - 3 étapes
        
        Enonciation
        
        par le récit lors d'entretien individuel ou séances de groupe
        
        Réflexions
        
        sur ce qui a été énoncé, c'est la qu'émerge l'histoire de sa vie propre
        
        Contractualisation
  - - - Le secret est quelque chose qui n'est pas dit, même sans raison consciente ou inconsciente particulière
      - Le fait qu'il soit rattaché à une souffrance non cicatrisée, un conflit non résolu, suffit pour qu'il soit porteur d'une mémoire à transmettre aux générations suivantes avec l'espoir que les descendances résolvent la problématique.
    - - Secrets toxiques : contaminent la relation, l'histoire de famille que l'on cherche à cacher. Développe une absence de communication dans la famille
      - Secrets dangereux : impose une action immédiate et rapide car des vies peuvent être en danger
      - Secrets essentiels : intimes et nécessaires à l'individu pour se construire
  - - - Instrument d'analyse de la structure familiale
      - Représentation graphique d'une famille ressemblant sur un même schéma, sorte d'arbre généalogique fait de mémoire (sans recherche d'info) complétée des évènements de vie importants
      - Schématisation utile en thérapie familiale
      - A mis en évidence le syndrome d'anniversaire
    - - Répétition d'un évènement familial passé, généralement traumatique, connu et parfois oublié ou inconnu (inconscient), et qui fragilise les descendants à certaines périodes ou à certains âges spécifiques