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Philosophie analytique, j - Coggle Diagram

- - - - A forerunner of neo-Kantianism, in his best-known book, Kant und die Epigonen, he deals with the philosophy after Kant, discussing Fichte, Schelling, Hegel, Fries, Herbart and Schopenhauer.
    - - Wilhelm Windelband, Heinrich Rickert and Ernst Troeltsch.
        
        Rickert (1863 – 25 July 1936)
      - Unlike its main rival, the Marburg school, the Baden neo-Kantians were more interested in practical philosophy than in the philosophy of science. They emphasized the distinction between fact and value and sought to use the concept of "value" for epistemological and ontological purposes. For example, to say that a sentence is "true" is sometimes equated with saying that it 'commands assent' (i.e., that it ought to be believed).
    - - Paul Natorp and Ernst Cassirer.
    - - On regarde plein de choses blanches et ensuite on déduit l'existence de l'universel Blanc. C'est nous qui l'avons crée.
        
        Opposition avec les RÉALISTES qui considèrent que l'universel est là dans la réalité
      - Constructivisme
  - - - Valeur de vérité dépend de la signification des termes qui le compose
      - S est P, le concept de P est contenu dans le concept S
        
        Or est jaune, jaune est une petite entité dans la boîte qu'est le concept jaune
      - Idées de la raison pure. Pas de connexion avec le sensible
      - Viennent de la raison, entendement / spontanéité
      - Sans image sensible
        
        Un jugement analytique n’étend pas nos connaissances : il ne fait qu’expliciter le contenu (implicite) d’un concept dont on a déjà connaissance.
    - - Valeur de vérité dépend de l'état du monde
      - Viennent des intuitions, proche de sensations (sensibilité) et perceptions
      - A priori
        
        Mathématiques
        
        7 + 5 est égal à 12
        
        dans 7 + 5, il y a pas la propriété de 12
        
        Nécessaire, universel et valide
      - A posteriori
        
        empiriques
  - - - Génère concepts sur lesquels on peut encadrer des intuitions
    - - Permet à des intuitions de s'aligner avec concepts
- - - - Pensées ici sont éternelles et existent
    - - Là ou c’est le sens de proposition-
    - - Indépendantes du langage : pk? Parce qu’elles sont exprimables sur plusieurs énoncés dans plusieurs différents langues
        
        • Ce qui se passe dans ma t^te lorsque je pense 2+2= 4 : propre à moi
        • Mais le contenu de ça : c’est commun contenu partagé pour tout lem onde
- - - - Analytique repose sur la légitimité (preuve) du jugement;
        
        o Rejet du psychologique (anti-psychologisme, non important);
        o Rejet de la sensibilité au sens kantien (perception, intuition, etc.)
    - - « J’appelle pensée ce dont on peut demander s’il est vrai ou faux. Je compte donc parmi les pensées ce quie st faux, tout comme ce qui est vrai.
        
        La pensée en elle-même incessible au sens, revêt l’habît sensible de la proposition et deviens ainsi plus saisisable. Nous disons que la proposition exprime une pensée
        
        Une pensée c'est la signification (ou contenu propositionnel husserlien) d'un énoncé linguistique à laquelle on peut attribuer une valeur de vérité
        
        Pensées: pas des entitées du monde extérieur
        
        pensées sont pas des entités du monde intérieur de l'individu.
        
        pensées sont objectives. Leur contenu n'est pas le contenu de la conscience d'un individu, leur contenu ne depend pas des individus qui les ont pensées. Elles sont donc indépendantes. Pensée existe indépendamment de l'individu qui la pense. Elle est donc accessible à plusieurs individus. Les pensées sont donc communicables.
        
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        On saisit des pensées.
        
        Mais distinctes des représentations mentales
        
        representations sont subjectives et dependent de l'existence de l'individu. Les représentations appartiennent à l'individu et ont besoin d'un porteur
        
        une representation peut pas être portée par deux personnes. Il s'agirait de deux représentations distinctes
        
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        L’élaboration mentale des expressions linguistiques (la compréhension comme processus mental) n’est pas essentielle à la détermination de la signification des expressions elles-mêmes
        
        un nombre c'est objectif, renvoie pas un état intérieur.
        
        signification (sens freggien)
  - - - • Si seulement des lois logiques générales = analytique (a priori);
        
        arithmétique = analytique et fécond (accroit la connaissance);
    - - • Si interventions de lois particulières = synthétique (a posteriori);
        
        o Synthétique (a priori) récupérable : lois particulières de l’espace (géométrie);
  - - - Référence : objet désigné
      - Sens: mode de dotation de l'objet
      - Exemple. Étoile du matin et étoile du soir sont deux expressions qui référent à un objet (Venus). RÉFÉRENCE EST LA MÊME, mais les expressions sont pas égales. Étoile du matin évoque l'idée du Venus premier astre à apparaître dans le siel, et étoile du soir évoque que vénus est dernier a disparaître. DEUX SENS DIFFÉRENTS. Deux modes de dotation distints.
        
        EXEMPLE DE LA LUNE. L'image de la lune dans la rétine ocullaire d'un individu est subjective, elle n'appartient qu'à lui. Représentation de la Lune. Lune est l'objet objectif, référence. Puis l'image dans le téléscope c'est équivalent du sens. Elle dépend du point de vue car située ailleurs que dans la terre, la lune semblerait distincte. Une façon par laquelle la Lune se donne à nous.
    - - Référence n'est pas un objet mais bien la valeur de vérité
        
        Valeur de vérité de "Vénus est Vénus" reste vrai.
      - Sens: c'est la pensée exprimée par l'énoncé
      - Principe de compositionnalité nous indique que lorsqu'un remplace un terme par un autre terme ayant la même valeur sémantique, la phrase ne changerait pas. Donc, "Vénus est étoile du matin" ne peut pas être la référence pcq si on change Vénus est Vénus, ben c'est une différente pensée. La référence doit rester inchangée, donc la pensée peut pas etre la référence. La pensée est plutôt le sens
- - - -  Parce que y’a pas d’actuel roi de France … l’actuel roi de France est chauve= c’est faux selon russel!
- - - - Heidegger (1889 – 1976)
        
        Heidegger completed his doctoral thesis on psychologism in 1914, influenced by Neo-Thomism and Neo-Kantianism, directed by Arthur Schneider
        
        In 1916, he finished his venia legendi with a habilitation thesis on Duns Scotus directed by the Neo-Kantian Heinrich Rickert and influenced by Edmund Husserl's phenomenology.
        
        notons que husserl disait que brrentano pas capable de soritr du mental psychique. Si tout dans la conscience est intentionelle. Alors ya objet ds concsience qui est visé par l’intention
        
        • mais heidegger dit : husserl est quandmeme bloqué dans immanence de la conscience. Oui progrès, mais trop pogné dans descartisme
        
        • heidegger : dit t’es pas sorti de la immmanence pis tout. BAH il fait référence à la deuxième periode de husserl (donc pas sa premiere version de recherches logique)
      - • Mathématicien de formation
        • Philosophie de l’arithmétique vers 1891
      - e noème serait l'objet « intentionnel » des actes de conscience, (et non pas : l'objet « en soi »), donc un objet de conscience comme tel. Le noème est une composante idéelle du vécu [réf. nécessaire]. Au cœur du concept de noème, on trouve le « sens ».
        
        Noème c'est comme sens frégien. Perceptions incluent noème
        
        Noème SOL fait qu’on continue à marcher sans avoir peur de tomber ds vide.
        
        arbre qui brule. Le sens de cela peut pas brûler. Le noème brûle pas.
      - Platonisme extrême
        
        Termes arithmetiques etc---- referant à des entités IDÉALES
      - Phénoménologie
        
        La science psycho – zéro crédbiklité.Si elle veut etre crédible, faut quelle fasse appelle a la logique et mathématique + Comment est ce que je peux intègrer une science normative des maths (logque pure) et entités idéales à qqch qui est psychologie descriptive??? Introspection
      - Comment on fait expérience des entités idéales?
        
        Sujet percoit objet. Représentations sont un intermédiaire
      - Y’a des contenus sans objets et avec objets
      - Recherches logiques, 1901
        
        Signes linguistiques ont deux dimensions : Physique donc sons (parole) ou traces (écrit) et aussi Intention (qui es signification ... et p-e aussi remplissement)
        
        Signification idéale : indépendate que l'on pense et du sujet
        
        objet réel
        
        Nom propre : refere a qqch dans universv**
        
        est : fonctionne comme un nompropre, qui refere à phénomène général
        
        • 1913 : il fait une 2e édition de recherches logiques : ou il la change un peu
        
        Tournant trascendantale : S -- qqch comme un triangle -- O ... Sujet au sens psycho, sujet tracendentale
        
        Si anéantissement du monde, mon égo trascendal serait encore là
      - D'une part, il dit tous les éléments référent pis ensuite il dit : l'être est non perceptil. IL INVENTE donc une intention d,autre aurdre que perceptible : INTENTION CATÉGORIALE
        
        Est pas être
        
        Selon Kant, perception objets comme un tableau pis entendement coordonne realité
        
        Coordination des concepts : c'es tça la réalité. Dans réalité pas juste dans t^tete.
    - - Fait distinction entre objet et contenu
  - - - Tout phénomène mentale psychiqie visse qqch
        
        o OBJET dans psychique, donc pas de réalité.
- - - - C’est qqch qui est lié au signe : par USAGE
        
        Même conception de signifcation QUE DAVIDSON critique mais lui de façon très distincte.
        
        LEWIS CAROLL PARADOXE , ACHILLE ET LA TORTUE : PROBLÈME DE L’EPISTÉMOLOGIE DE LA LOGIQUE – besoin de connaitre la règle pour l’appliquer? Non pas besoin de connaître MODUS PONENS pour l'appliquer - pis si on pense qu’on a besoin 9on fera face paradoxe de LEWIS CAROLL - Wittgenstein a donné distinction de cause et raison pour démontrer ça – inférence à une règle qui est donné comme RAISON et non comme cause mentale
- - - - Sur les choses
      - Sur les vérités
        
        Conaissance dérivée
        
        Everything we can deduce from self-evident truths by the use of self-evident properties of deduction
        
        connaissance intuitive
        
        qui peut être connu à travers l’intuition
        
        le doute est permis.
      - : la connaissance de description des choses dépend dans la connaissance dérivée des vérités qui dépend dans la connaissance intuitive des vérités qui dépend dans la connaissance par expérience directe des choses
      - Acquaintance : Lorsque le sujet est en contact avec des choses, l’expérience primaire immédiate et irréfléchie qu’il a à l’égard de celles-ci est ce que Russell nomme l'acquaintance. Autrement dit, nous avons l’acquaintance d’une chose « quand elle est là directement devant nous, que nous en avons conscience, sans l’intermédiaire d’aucun processus d’inférence ou de quelque connaissances de vérité que ce soit » . Ainsi, lorsque nous ne faisons aucun effort pour conceptualiser une chose, mais que nous sommes placées devant celle-ci, le fait qu’elle se présente et se donne à nous représente cette acquaintance que nous aurons d’elle. L’acquaintance ne nécessite donc pas une connaissance de vérité préalablement et doit être absente de toute sorte de jugement.
        
        Nous savons que pour la connaissance des vérités, dans l’inférence, il peut avoir des erreurs. Dans l’acquaintance, compte tenu du fait qu’on ne pose aucun jugement ni aucun acte réflectif, il n’y a pas d’erreurs possibles.
        
        D’habitude, la connaissance d’une chose s’exprime de telle sorte : cette chose a une telle propriété. Cette proposition impliquerait cependant une connaissance de vérité, ce dont l’acquaintance n’a pas besoin. L’encyclopédie de Stranford indique que la connaissance par acquaintance est « knowledge of something, and is logically independent of knowledge that something is so-and-so». Autrement dit, il faut la concevoir comme une connaissance des choses, mais pas sur les choses
        
        Baldwin reprend cette même idée lorsqu’il indique qu’il s’agit de connaître, mais pas nécessairement savoir quelque chose à propos de l’objet . Nous pouvons concevoir la connaissance par acquaintance comme le simple constat qu’un objet soit placé devant nous. Cette connaissance ne pourrait donc pas être traduite en termes linguistiques ou serait simplement de l’ordre de l’expression : « Ceci ».
        
        SENSE DATA
        
        L’expérience que nous faisons avec les objets physiques, comme une table, un crayon ou une maison, n’est pas une acquaintance avec ceux-ci directement. Nous avons plutôt l’acquaintance avec des sense-datas liés aux objets physiques .
        
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        Sense-data ou sense-datum est un concept développé par Russell, mais ayant été introduit en premier par le philosophe G.E. Moore . Russell énonce qu’il s’agit d’une partie de la « totalité de ce qui est donné par les sens à un moment donné » .
        
        En plus de ceux-ci, Russell considère que les universaux se donnent à nous dans l’acquaintance. Les universaux sont les idées abstraites, telles que la blancheur, la fraternité, la rondeur, le sucré, etc. Il s’agit des idées n’étant pas rattachées uniquement à un objet. Russell énonce que nous concevons les universaux lorsque nous avons conscience d’eux. Lorsque nous les saisissons, ce sont des concepts. Ainsi, lorsque nous sommes en acquaintance avec les universaux, nous ne possédons pas encore le concept, mais nous sommes simplement en présence de celui-ci .
        
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        SENSIBILIA ; UNSENSED SENSE-DATA
        
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      - Par description
        
        Nous avons vu que la connaissance par acquaintance ne nous permet pas de connaître l’objet en question, mais seulement ses sense-datas. Ainsi, l’énoncé « la table est l’objet physique qui cause tels et tels sense-data » relève de la connaissance par description . La connaissance par description est basée sur la connaissance des vérités associée à la connaissance par acquaintance. En effet, d’une part, les descriptions doivent toujours faire référence à ce dont on connaît par expérience directe. Puis, d’autre part, il faut une connaissance des vérités, ce qui, dans cet exemple, nous permet de savoir que la table et les sense-datas sont réellement liés.
        
        La connaissance par description étend donc notre connaissance, car elle permet de faire des énoncés sur des choses dont on ne fait pas l’expérience (les objets en tant que tels).
        
        Selon l’encyclopédie Stranford, la connaissance par description représente le « nonfoundational knowledge of truths » ,car elle est fondée sur l’acquaintance, connaissance primaire, et contient toujours des vérités à propos des choses.
      - Bertrand Russel est un philosophe anglais
        
        La raison pour laquelle il ne s’agit pas d’un réel nom propre pour nous c’est que nous n’avons pas eu l’expérience directe de Bertrand Russell. Nous ne pouvons pas comprendre ce que ce nom propre désigne réellement, alors cela représente plutôt la totalité des données sensorielles qu’on peut avoir de cet objet (sujet).
        
        La description en tant que telle peut varier dépendamment des locuteurs de l’énoncé qui prononcent l’énoncé. Cela pourrait signifier « homme ayant développé la notion d’acquaintance »; « auteur de Problèmes de Philosophie », etc.
        
        Ainsi, les noms propres, s’ils ne sont pas connus par l’acquaintance (ce qui n’est jamais le cas, sauf pour soi-même), ils désignent une description définie, ce qui, comme vu précédemment, réfère à ce dont on a déjà fait l’acquaintance
        
        À travers cette analyse, Russell conclut que toute proposition que nous pouvons comprendre va être constituée des constituants dont nous avons eu l’acquaintance. C’est le principe fondamental de l’analyse des propositions de Russell.
        
        D’une part, cela peut être des universaux ou des sense-datas, ce avec quoi nous avons directement l’acquaintance. D’autre part, cela peut être des descriptions définies, qui peuvent être réduites à ce dont nous avons directement l'acquaintance. Les noms propres, eux, peuvent être soit des descriptions définies ou soit des sense-datas (lorsque l’on parle de soi).
- - - - extension et sens pas le même chose. intention pas meme chose que sens