“Au début on a des personnes qui manquent de confiance, qu’on accompagne car ils ont besoin d’être rassuré, puis ceux qui ont un intérêt, recherche d’emploi par exemple, qui sont donc amenés à revenir, alors on fait une, deux fois avec eux puis après on les laisse en autonomie, ça se passe généralement bien, on est sur une catégorie de 25 à 45 ans, parfois plus jeunes ".
“Par contre avec les plus âgés, c’est compliqué ! Manque de patience, pressé et ne veulent pas s'intéresser un minimum au numérique, ils croient que nous sommes éternels lol.”