"Nawal, écoute-moi. Cette nuit est un cadeau. Je n’ai peut-être pas de tête pour dire ça, mais j’ai un cœur, et il est solide. Il est patient. Ils crieront, nous les laisserons crier. Ils injurieront, nous les laisserons injurier. Peu importe. À la fin, après leurs cris et leurs injures, il restera toi, moi et un enfant de toi et de moi. Ton visage, mon visage dans le même visage. J’ai envie de rire. Ils me frapperont mais moi, toujours, j’aurai un enfant au fond de ma tête."