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Frustration, 6) Activité de synthèse sur les textes d’Alcoba, Djavann,…
Frustration
Laura Alcoba, le bleu des abeilles, Gallimard, "Folio", p.39
2) « l’effacer, le faire disparaître, l’arracher de moi » : quel type de gradation voyez-vous entre ces trois verbes (à la fin du texte)
3) Quelle idée est suggérée par le verbe « arracher » ?
1) Surligner les vb du champ lexical connaissance, lucidité qui progresse dans l'esprit de la narratrice
21) Vous surlignerez en violet la présence lexicale de la honte.
Chahdortt DJAVANN, Comment peut-on être français?, J'ai lu
4) Vous surlignerez en gris le champ lexical montrant le mal-être physique qu’éprouve soit concrètement, soit métaphoriquement, l’héroïne prenant conscience de ses insuffisances linguistiques
5) Vous surlignerez en turquoise toutes les formes de la négation (négations verbales, prépositions privatives…).
6) Vous soulignerez le champ lexical existentiel de la disparition, du déclin, de la défaillance qui renforce l’idée d’une diminution d’être, due aux difficultés provisoires de l’apprentissage linguistique
GRIS ?
8) « tenaillait » (= coupait avec des tenailles, grosse pince en métal) : ce verbe est-il utilisé de façon… ?
9) « Elle ressentait la perte, lame pointue d’un couteau qui lui perçait le cœur. » :
quelle est la relation entre la « perte » et le « couteau » ? (deux réponses)
10) Que signifie dans son cas, attendre « le balbutiement des mots »
11) En quoi cette métaphore est-elle intéressante ? 3reponses
WEI-WEI, Une fille Zhuang, L'Aube, p.182
12) Vous surlignerez en gris le champ lexical montrant le mal-être physique qu’éprouve soit concrètement, soit métaphoriquement, la narratrice en prenant conscience de ses insuffisances linguistiques.
13) Vous placerez, en face de chaque image identifiée, l’extrait du texte l’illustrant
13) Quelles images sont positives ? quelles images sont négatives ?
13) Comment interpréter la différence entre les deux colonnes ? (trois réponses)
Vassilis ALEXAKIS, Paris-Athènes, [Seuil, 1989], Fayard 1997
François CHENG, Le Dialogue, Desclée de Brouwer, p.1
21) Vous surlignerez en violet la présence lexicale de la honte.
21) Cheng utilise ici "tenaille" pour suggérer la violence physique: ce mot est-il concret? Métaphorique?
22) Quel pronom utilise-t-il comme sujet grammatical ?
22) Par quel moyen lié à l’énonciation (moyen original dans sa façon de parler de lui-même) est-ce que le narrateur dans le texte de Cheng prend un recul salutaire sur les difficultés de son apprentissage : est-ce qu’il utilise « je » comme chez les autres auteur·e·s ?
22) Qui est représenté par « il » ?
Claude ESTEBAN, Le Partage des mots, Gallimard, coll."L'un et l'autre", p.16-17
23) Vous soulignerez le champ lexical du changement brutal, du déclin. Vous identifierez en jaune les mots qui renvoient au bonheur ancien.
23) Chez Esteban, la souffrance du narrateur semble-t-elle pouvoir être soulagée ?
23) Dans le dernier paragraphe vous surlignerez en vert les deux métaphores liées à l’espace illustrent ses difficultés
23) Qu’est-ce qui rend cette souffrance irréversible ?
6) Activité de synthèse sur les textes d’Alcoba, Djavann, Esteban, Mizubayashi, Wei-Wei : vous classerez les motifs d’apprentissage, en partant du plus volontaire, assumé, vers le plus arbitraire, imposé.
ALCOBA
DJAVANN
ESTEBAN
MIZUBAYASHI
WEI-WEI
6) Chez celles et ceux qui se découragent le plus (Alcoba, Djavann, Esteban, Wei-Wei), l’apprentissage a -t-il été, au départ, vraiment choisi ?
ESTEBAN
ALCOBA
WEI-WEI
DJAVANN
18) « Comme dans un cauchemar, je me suis vu en train de traverser un gouffre sur un pont qui, en réalité, n’existait pas. » Quel point commun entre le récit d’Alexakis et ceux d’Alcoba, Djavann ?
DJAVANN
ALEXAKIS
ALCOBA
21) Dans quels autres textes précédents (Alcoba, Djavann, Wei-Wei) est-ce que l’on trouve ce même champ lexical de l’humiliation morale ?
DJAVANN
WEI-WEI
ALCOBA
21) Qu’est-ce que la récurrence des métaphores physiques apporte dans tous les textes ?
A travers les mots « arracher » (Alcoba) / « tenaillait », (Djavann) / « Déchiré », « tenaille » (Cheng), quel est l’effet recherché ?
DJAVANN
ALCOBA
CHENG
Jubilation
Laura ALCOBA, Le Bleu des abeilles, Gallimard,"Folio",p.133-134
1) Vous identifierez en violet les adjectifs montrant la réaction forte et soudaine des deux personnages face à la réussite linguistique inattendue.
Vous identifierez en jaune les adjectifs du champ lexical de la jubilation.
2) - A votre avis, pourquoi la narratrice dort-elle sur un livre ? (vous choisirez la réponse qui vous semble la plus intéressante)
2) A votre avis, pourquoi la narratrice établit-elle dans son texte une concomitance entre le fait de dormir la tête posée sur un livre difficile en français et le fait de savoir parler cette langue le lendemain ?
3) « je me suis entendue demander » : quel sens est-ce que cette construction verbale implique ?
4) - Quelles réactions prédominent chez la mère et la fille ? (deux réponses attendues)
4) Que montre l’exclamation de la mère : « - ¡ Hablaste en francés ! »
Akira MIZUBAYASHI, Une langue venue d'ailleurs, Gallimard,"Folio",2011,p.35
5) Vous identifierez en jaune le champ lexical de la jubilation.
7) Alcoba : « le bus roule déjà à vive allure, rien ne semble pouvoir l’arrêter »
Djavann : « Elle se trouvait dans une impasse étroite et les objets se précipitaient sur elle » Quel point commun dans l’expression de l’angoisse des apprenantes chez les deux auteures ?
DJAVANN
ALCOBA
14) En relisant le premier et le troisième texte (Alcoba et Wei-Wei), vous surlignerez en violet le champ lexical moral du déshonneur.)
15) De quelle façon le corps est-il mis en cause à travers le rêve, dans les textes d’Alcoba et de Wei-Wei ? Vous classerez les items suivants dans deux colonnes, selon leurs aspects positifs ou négatifs. Pour chaque exemple, vous identifierez lequel des deux textes est concerné.
16) Chez les deux narratrices cette expérience de souffrance est une réalité vécue. Mais quel rôle a pour chacune le rêve qui accompagne cette souffrance dans le texte ? (deux réponses)
17) Quels sont les éléments communs aux deux évocations suivantes ?
➝ Finalement, la mise en danger du sujet apprenant est-elle...
ALCOBA
WEI-WEI
19) « les mots se dérobaient comme s’ils craignaient d’être blessés par la pointe du stylo ». Quel élément commun avec le texte de Djavann : « Elle ressentait la perte, lame pointue d’un couteau qui lui perçait le cœur. » ?
20) Après le « balbutiement » des mots (Djavann), on assiste à la fuite des mots :
« les mots se dérobaient comme s’ils craignaient » (Alexakis) / « les mots les plus simples se dérobaient à elle » et « Les mots avaient déserté » (Djavann). Quels sont les moyens stylistiques utilisés ?
DJAVANN
ALEXAKIS
23) Comme chez Wei-Wei, le texte est construit sur un contraste entre négatif et positif.
Qu’est-ce qui apportait un soulagement chez Wei-Wei ?
WEI-WEI
ESTEBAN
Chez Wei-Wei, la narratrice dit qu’elle se « tor[d] le cerveau » (p. 183) et voudrait « fourrer sa tête » dans le sol (p. 182) ; chez Alcoba, la narratrice repose sa tête sur un livre. Que montre cette récurrence ?
WEI-WEI
ALCOBA
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