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Marché des actions - Coggle Diagram

- - - - modèle d'évaluation monopériodique
        
        un agent envisage d'acheter une action au prix P0 à la date 0, et anticipe de toucher un dividende D1 et de revendre l'action au prix P1 à la date 1
        
        Il est prêt à acheter l'action au prix ke est le taux de rendement exigé par les actionnaires (fonction croissante du degré de risque)
        
        difficulté de ce modèle : à la date 0 on ne connait pas D1 ni P1, on n'observe ni l'estimation futur anticipé à la date 0 (càd estimation futur anticipé à la date d'ajd) de D1 et de P1
      - modèle de Gordon-Shapiro
        
        ajoute au modèle précédent une hypothèse simplificatrice : les dividendes croissent à un taux constant g 0<=g<ke
        
        hypothèse pas extrêmement forte, les entreprises essaient de verser un dividende constant
      - modèle généralisé d'évaluation par les dividendes
        
        un agent envisage d'acheter une action au prix P0 à la date 0, et anticipe de toucher des dividendes successifs D1,....Dn et de revendre l'action au prix Pn à la date n, n -> +infini (l'agent compte donc conserver son action toute sa vie)
        
        Il est prêt à acheter l'action au prix si Pn ne croit pas en n à un taux supérieur ou égal à ke (Pn=P_n-1*(1+i_n))
        
        difficulté de ce modèle : à la date 0 on ne connait pas Dt pour t >= 1, on n'observe pas l'estimation futur anticipé à la date 0 de Dt, pour t>=1
    - - positivement de la valeur anticipée moyenne de ses futurs dividendes, négativement du degré d'incertitude autour de ces anticipations
        
        plus le degré d'incertitude est élevée, plus ke sera élevé, donc plus le prix baisse
      - une crise économique diminue le prix des actions car diminue la valeur moyenne anticipée de ses dividendes futurs, augmente le degré d'incertitude entourant ces anticipations
        
        le prix d'une action réagit au jour le jour à toute nouvelle information à propos de ces deux facteurs
        
        ce prix peut réagir fortement à une faible variation de ke ou de la valeur anticipée de g -> forte volatilité du prix des actions
      - politique monétaire affecte le prix des actions -> hausse de la quantité de monnaie
        
        baisse le taux d'intérêt des obligations et donc ke
        
        stimule l'économie et accroit les dividendes futurs anticipés
- - - - erreurs de prévision en moyenne nulle
    - - agents sont cependant incités à utiliser toute l'info
    - - sur un marché efficient le prix reflète toute l'info dispo, pas d'opportunité inexploitée de profit
        
        le prix de l'action ne change pas à l'annonce d'une info anticipée, peut baisser si l'anticipation était trop optimiste (hausse anticipée des bénéfices plus haute que la hausse réelle)
      - éléments en faveur de l'efficience du marché boursier
        
        analystes, gérants de fonds ne semblent pas avoir d'influence sur des portefeuilles
        
        les cours suivent une marche aléatoire ?
      - élements en défaveur de l'efficience du marché boursier
        
        effet de taille : taux de rentabilité + élevés des actions des petites entreprises ?
        
        surréaction du marché : le marché surréagit à certaines infos, car évolue par la suite dans le sens opposé à sa réaction initiale
        
        réaction différée : réaction du prix d'une action à l'annonce surprise d'info n'est pas instantanée, s'étale dans le temps
        
        effet janvier : ventes d'actions des particuliers à la fin de l'année -> ils payent moins d'impôts
      - forme forte de l'hypothèse d'efficience des marchés
        
        anticipations rationnelles, prix de l'actif = sa valeur fondamentale (somme actualisée de ses dividendes futurs anticipés)
        
        élément en défaveur de cette forme : volatilité excessive des cours boursiers (+ élevée que volatilité des dividendes)
        
        correspond au modèle généralisé d’évaluation par les dividendes avec anticipations rationnelles
        
        bulles rationnelles : hypothèse faible confirmée mais pas forte
      - finance comportementale sciences sociales (comme psychologie) pr comprendre comportement des prix d'actifs que l'hyp d'eff (faible ou forte) ne permet pas d'expliquer
        
        aversion à la perte, dépossession, excès de confiance, contagion des opinions