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SYNDROME DOULOUREUX RÉGIONAL COMPLEXE, Évolution favorable 90% - Coggle…
SYNDROME DOULOUREUX RÉGIONAL COMPLEXE
Type 1
= algodystrophie
tableau clinique douloureux
douleur régionale continue, spontanée ou provoquée qui est disproportionnée en intensité et durée
pas un territoire nerveux,
pas de lésion nerveuse periph
peut être associé à des signes cliniques moteurs, sensitifs, sudomoteurs, vasomoteur, trophique
dysfonctionnement d’une SNC (intégration anormale de la douleur) et SNP (dérèglement régional du végétatif)
prédominance féminine 3F/H
possible chez enfant et ado
incidence = 5-25/100 000
Dysfonctionnements
peripherique
médullaire
cérébraux
système immunitaire
tres souvent associé à facteur déclenchant
causes non traumatiques
AVC, SEP
envahissement néoplasique locoregional, tumeur thoracique
TVP
zona, panaris
diabète, dysthyroidie
barbituriques
:recycle:
SDRC 1 De hanche au cours de la grossesse
:red_cross: symptomatologie anxiodepressive souvent retrouvée ne peut être un facteur déclenchant mais conséquence du retentissement
pas de personnalité typique predisposante
causes traumatiques
dans plus de 50%
pas de relation entre relation et sévérité
délais variable
chirurgie orthopédique +++
rééducation trop intensive et douloureuse
immobilisation prolongée inappropriée
Phase dite chaude
: début progressif, inflammatoire
évoluant de quelques semaine à 6mois
—> tableau d’arthrite sans arthrite avec douleur articulaire et péri articulaire, raideur, chaleur locale, retentissement fonctionnel majeur
Phase dite froide
: s’étale jusqu’à la guérison après
12-24mois
marquée par apparition trouble trophique (segment froid, peau pâle, lisse, atrophique et acrocyanose) et réaction capusloligamentaire
Alternance ou ordre différent dès phase possible
Diagnostic essentiellement clinqiue
les examens complémentaires permettent d’éliminer les diag différentiels
IRM
= examen de référence :star:
anomalie aussi précoce que celle de la scinti
oedmene magnetisue régional, en particulier osteomedullaire, touchant plusieurs pièces osseuses
hyposignal en T1
corrige pas inj de gadolinium
hypersignal T2 et STIR
IRM normale n’élimine pas
IRM normale dans forme froide d’emblee
Scintigraphie osseuse
hyperfixation locoregionale mais pas spécifique
précède signes radio avec extension aux articulations de voisinage
présente au temps précoce vasculaire à la plage intermédiaire tissulaire et temps tandis osseus
parfois hypofixation
Radio standards
peut détecter signes décalés dans le temps par rapport aux signes cliniques
interligne toujours respectee
déminéralisation modérée avec amincissement lame sous chondrale puis hétérogène et moucheté
signe biologique
aucune anomalie
si augmentation CRP = autre diag
si analyse du liquide articulaire = MECANIQUE
atteinte MI
atteinte deux fois plus fréquente
cheville et pied
atteinte hanche pas rare mais difficile : hanche douloureuse qui fait aussi discuter d’une
ostenecrose aseptique
IRM de hanche pour DD
atteinte MS
main, poignet parfois épaule
le classique syndrome épaule main est volontiers secondaire à une pathologie intra thoracique, à la prise de barbiturique, ou à un traumatisme
(épaule avant main) puis s’installe une capsulâtes rétractile de l’épaule
scinti montre hyperfixztion bifocale (inconstant)
Pas de ttt consensuel et spécifique
= kine + antalgique
aucun ttt médicamenteux n’a d’AMM
—> évolution longue 12-24mois
—>
règle de la non douleur
repos relatif en phase chaude
repos total interdit
mobiliser dès que possible
Ttt reeducatif et physiothérapie
++++
kine progressive
physiothérapie à visée antalgique
balnéothérapie
drainage circulatoire
agent physique peut être utile
au cours de la phase froide, kine vise à lutter contre rétraction capsuloligatmentaire et contre enraidissement
Neurstimulation
neurostimulation électrique trans cutanée TENS
neurostimulation médullaire
Ttt médicamenteux
aucun n’a démontré d’effet probant
antalgique 1 peu efficace comme AINS ou corticoide
mais utile dans douleur liée au mouvement et utilise
en préventif avant toute reeducation
bisohosphonates
perfusion kétamine
ttt modulateur
match de capsaine
Ttt préventif
prise en charge de la douleur post op +++
l’imiterait immobilisation
protocole de rééducation individualisés et progressifs
vitamine C avant chir sans preuve formelle
Type 2
= causalgie
En présence de lésion nerveuse périphérique
Évolution favorable 90%