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Bronchiolite, image - Coggle Diagram
Bronchiolite
TRAITEMENT
La décision d'hospitaliser :
- doit tenir compte du jugement clinique, de l'état respiratoire du nourrisson, de sa capacité de demeurer bien hydraté, du risque de l'évolution de la maladie et de la capacité de la famille a affronter la situation. La maladie a tendance a s'aggraver dans les 72h premières heures
- la fréquence respiratoire, les rétractions sous-costal et les besoins en oxygène sont peut-être les paramètres les plus utiles dans les divers scores de gravité de la bonchiolite.
Groupes plus vulnérables a une bronchiolite grave :
- nourrissons prématurés soit moins de 35 semaines d'age gestationnel
- mois de 3 mois à la présentation
- maladie cardiorespiratoire important
- immunodéficience
Indications susceptibles de justifier une hospitalisation :
- grave détresse respiraoitr évaluer par tirage sous-costal, geignement expiratoire, RR en haut de 70/min.
- oxygène d'appoint nécessaire pour maintenir les saturations au de la de 90%
- déshydratation ou antécédents de consommation insuffisante de liquides
- cyanose ou antécédents d'apnéee
- nourrisson très vulnérable è une grave maladie
- famille incapable d'affronter la situation
Traitement de la bronchiolite :
- recommandé :
- données probantes équivoques :
- nébulisation d'adrénaline
- aspiration nasale
- combinaison d'adrénaline et de dexaméthasone
- non recommandé :
- salbutamol
- corticoide
- antibiotique
- antiviraux
- nébulisation de sérum hypertonique
- physiothérapie pulmoniare
- aérosolthérapie par vapeur froide ou par sérum physiologique
Thérapie recommandé :
- oxygène
- oxygene d'appoint est un pilier du traitement hospitalier.
- il faut administrer lorsque oxygène est sous 90% et y recourir pour maintenir la saturation a 90% ou plus.
- type de soutien respiratoire sécuritaire et susceptible de réduire le recours à la pression positive continue et à la ventilation mécanique dans les cas de bronchiolite modérée ou grave.
- ne pas utiliser de manière systémique
- hydratation
- administrer des supplément de liquide a 30% des patients hospitalisés à cause d'une bronchiolite
- il faut encourager des boires fréquentes et soutenir l'allaitement
- les nourrisson dont a fréquence respiratoire est plus grande que 60/min ont peut-être de plus grand risque d'inhalation surtout s'ils ont une congestion nasale ce qui rend l'alimentation PO risquée.
- supplément de liquide par NG ou IV autant efficace.
Thérapies équivoques :
- adrénaline
- nébulisation d'adrénaline pourrait etre efficace pour raccourcir les hospitalisations. combinaison avec stéroides fonctionnent aussi.
- ne pas utiliser de manière systémique
- raisonnable d'administrer une dose d'adrénaline et d'en surveiller attentivement la réponse clinique.
- ne pas utiliser en continu a moins d'une amélioration évidente des manifestations.
- Aspiration nasale
- une aspiration profonde et de longs intervalles entre les aspirations s'associent à une hospitalisation plus prolongée. Si utiliser, inhalation devrait etre superficielle et effectué à une fréquence raisonnable.
- combinaison d'adrénaline et de dexaméthasone
- pasrecommandé chez les enfants atteints de bronchiolite en santé.
- pourrait avoir une synergie entre les deux et raccourcir la durée d'hospitalisation
Thérapies non recommandées :
- Salbutamol
- ne marche pas car les voies respiratoires sont obstruées plutôt que contractées
- les receveurs des BACA pulmonaires des nourrissons semblent inadéquats et les muscles lisses de leurs parois bronchiolaires semblent immatures
- non recommandé puisque pas de preuves que améliorent la saturation en oxygène ou que diminue les hospitalisations.
- corticoides
- la dexamethasone, la prednisone ou les glucocorticoide inhalé n'améliorent pas les scores cliniques, le taux ou la durée des hospitalisations.
- ce nest pas systématiquement recommandé pour traiter la bronchiolite
- les antibiotiques
- bronchiolite infectieuse chez enfant en santé est très rare.
- les antibiotiques ne devraient pas être utilisés sauf lorsqu'une infection bactérienne secondaire est évidente ou fortement présumée.
- les antiviraux
les thérapies virales comme la ribavirine sont couteuses et pénibles à admiistrer, ont des effets limités et peuvent etre toxiques pour ceux qui administre le médicament.
- non recommandé pour le traitement systématique de la bronchiolite chez les patients en santé
- peut etre envisager chez patient atteints d'une maladie grave ou qui sont vulnérables après consultation avec spécialiste.
- nébulisation de sérum hypertonique 3%
- accroit clairance mcociliaire et réhydrate la surface des voies respiratoires
- non recommandé car pas prouver que aide dans le traitement de la bronchiolite
- physiothérapie pulmonaire
- Ni la vibration et la percussion, ni les techniques expiratoires passives n'ont améliore. les scores cliniques ou raccourci le séjours hospitalier ou la durée des symptomes.
- non recommandé pour traiter la bronchiolite
- Aérosolthérapie par vapeur froide ou par sérum isotonique
- non recommandé car pas de preuve pour ou contre le traitement
DIAGNOSTIC
Diagnostic de la bronchiolite :
- le diagnostic se fonde sur une anamnèse dirigée et un examen physique.
- se manifeste par un premier épisode de respiration sifflante avant l'âge de 12 mois. commence par un prodrome viral de fièvre, de toux, et de rhinorrhée de 2-3 jours qui se détériore en tachypée, en respiration sifflante, en rase crépitants et en une détresse respiratoire de degré variable.
- les sympotmes d'une détresse respiratoire peuvent inclure un geignement expiratoire, un battement des ailes du nez, un tirage sous-costal, des rétractions ou une respiration abdominale.
- les principaux résultats de l'examen physique sont l'accroissement de la fréquence respiratoire, des symptomes de détresses respiratoire ainsi que des râles crépitants et une respiration sifflante à l'auscultation.
- la mesure de la saturation en oxygène révèle souvent une réduction des taux de saturation. Si la détresse respiratoire est suffisante pour nuire à l'alimentation, on peut observer de la déshydratation.
Examens prescrits :
- Les épreuves diagnostic ne sont pas indiquées pour la plupart des enfants atteints d'une bronchiolite car ne sert a rien et peut amener a une hospitalisation inutile.
- La radiographie pulmonaire RXP des nourrisson atteints d'une bronchiolite révèle souvent une hyperinflation non spécifique dispersée et des zones d'atélectasie qui peuvent être interprétées a tort comme une condensation. cela peut provoquer une utilisations accrue et inadéquate des antibiotiques. il ne faut pas envisagé les RXP de manière systématique mais ca devrait etre utilisé quand le diagnostic n'est pas clair, que l'état du patient ne s'améliore pas au rythme prévu ou que la gravité de la maladie soulève d'autres possibilités diagnostiques telles une pneumonie bactérienne.
- Les écouvillons nasopharyngés pour diagnostiquer les virus respiratoires sont en majorité inutiles pour poser le diagnostic et dans la plupart des cas, ne modifient pas le traitement. Ils ne sont pas recommandés systématiquement sauf pour contrôler une infection ou pour les co-infection.
- La formule sanguine n'est pas utile pour prédire de graves infections bactériennes ou GIB.
- le dépistage systématique de GIB n'est pas indiqué chez les nourrissons atteints de bronchiolite mais devrait être effectué en fonction du jugement clinique. Cette recommandation ne prend pas en compte la population néo-natale.
ATCD et symptomes de bronchiolite virale :
- infection virale antérieure des voies respiratoires supérieures, toux ou rhinorrhée.
- exposition à une personne ayant une infection virale des voies respiratoires supérieures.
- symptomes de maladie respiratoire qui inclus les problèmes suivant de tachypnée, rétractions intercostale ou sous-costales, utilisation des muscles accessoires, battement des ailes du nez, geignement expiratoire, changement de coloration ou apnée, respiration sifflante ou râles crépitants, saturations en oxygènes plus basses.
Diagnostic différentiel de la respiration sifflante chez les jeunes enfants :
- bronchiolite virale
- asthme
- autres infections pulmonaires comme pneumonie
- laryngotrachémalacie
- inhalation d'un corps étranger
- RGO
- insuffisance cardiaque congestive
- anneau vasculaire
- réaction allergique
- fibrose kystique
- masse médiastinale
- fistule trachéo-oesophagienne
role des épreuves diagnostic :
- radiographie pulmonaire
- seulement si la gravité de l'évolution laisse supposer un autre diagnostic
- écouvillon nasopharyngée
- seulement s'il est nécessaire pour regrouper des patients hospitalisés en cohorte
- formule sanguine
- inutile pour diagnostiquer ou surveiller les cas habituels
- gaz sanguins
- seulement en cas de crainte d'insuffisance respiratoire
- culture bactérienne
- non recommandées de manière systémique mais peuvent etre indiquées en fonction des observations cliniques et de l'âge de l'enfant.
INTRO
Introduction à la bronchiolite :
- principale cause d'hospitalisation avant l'âge de 1 an
- information qui suit porte sur les enfants en santé de 24 mois ou moins qui sont atteints d'une bronchiolite
- les examens de labo sont inutile pour la bronchioles
- maladie spontanément résolutive qui est traitée par des soins de soutien à domicile.
- ne s'applique pas aux enfants des maladies pulmonaires chroniques, une immunodéficience ou d'autre maladies chroniques graves.
PATHOPHYSIOLOGIE
pathophysiologie de la bronchiolite :
- infection virale des voies respiratoires inférieurs caractérisée par l'obstruction des petites voies respiratoires casée par une inflammation aigue, un oedème et une nécrose des cellules épithéliales qui recouvrent les petites voies respiratoire de même qu'une augmentation de la production de mucus.
virus respiratoire syncitial ou VRS est responsable e la plupart des cas. possible que ca soit causé par d'autres virus comme metapneumovirus humain ou MPVH, influenza, rhinovirus, adénovirus et le parainfluenza.
- une co-infection par plusieurs virus arrivent chez 10-30% des enfants et adolescents hospitalisés.
- saison des VRS commence entre novembre a janvier et dure 5 mois.
- bronchiolite touche plus que 1/3 des enfants avant 2 ans est la principale cause d'hospitalisation avant âge de 1 an.
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