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Réalisation - Coggle Diagram

- - - - La recette sert également à corriger d'éventuelles erreurs ou des dysfonctionnements. On va tester le produit final et on va pouvoir peut-être constater que certaines choses ne se sont pas comme c’était prévu et donc on va devoir les corriger.
    - - La recette sert également à finaliser le projet de réalisation avant la diffusion de la ressource et du parcours auprès des utilisateurs finaux et donc des apprenants.
      - Elle sert donc à valider complètement le parcours avant la diffusion.
    - - La recette sert tout d’abord à vérifier la conformité du parcours (ou du prototype) que vous avez créé, par rapport au cahier des charges ou à la conception initiale.
      - On a défini dans le projet, à des moments donnés, ce qu’on voulait faire. On a fait des synopsis, on a fait plein de documentations. On les a validés et à partir du moment où ils sont validés, la recette finale consiste à vérifier simplement que le produit livré est conforme aux travaux.
      - Si vous faites construire votre maison, la réception des travaux consiste à vérifier que votre maison terminée, correspond bien à ce qui était inscrit sur les plans qui ont permis de la construire. Il ne s’agit pas à ce moment-là de dire « J’aurais bien voulu un étage en plus ». Même si c’est le cas, ce n’est pas l’objet de la recette.
      - Si par exemple, lors d’une recette, on se dit « ça on l’a traité comme ça mais ça aurait été mieux de le traiter autrement », c’est trop tard ! Ce n’est pas au moment de la recette qu’on va changer les choses. Si on vérifie que ça convient, on n’aura jamais terminé puisque ça peut toujours être mieux !
      - En revanche, ce n’est pas idiot à ce moment-là, de noter les idées parce que quand on est dans la phase de recette on regarde beaucoup les modules et beaucoup d’idées viennent. Quand vous ferez la mise à jour de votre parcours l’année d’après par exemple, vous pourrez reprendre les idées que vous avez eues à ce moment-là (souvent ce sont de bonnes idées, en fait). Mais on sera bien dans une opération de maintenance du module, et plus dans des phases de correction.
      - A la fin de la recette, vous avez la version 1 de votre parcours qui est validée et qui ne bougera plus jusqu’à ce qu’on rentre dans un nouveau projet qui sera un projet de mise à jour ou de maintenance de la ressource.
    - - A l’issue de cette recette, on va autoriser la diffusion auprès du public cible du parcours dans sa V1.
  - - - Le client:
        Le client détermine qui, dans son équipe, réalise la recette des modules, de l'intégration et la validation des corrections
      - Des personnes extérieures au projet
        
        Avec le client, identifiez des personnes au regard neuf pour améliorer votre recette et donc le produit
      - Le réalisateur:
        Il/elle réalise un auto-contrôle avant de livrer, y compris après les corrections
  - - - Recette des modules:
        Réalisation
        Recette 1
        Conception
        Recette 2
      - Recette de l'intégration dans l'environnement de diffusion:
        Intégration des modules
        Pré-recette
        Corrections
        Recette
      - C’est à l’issue de cette recette des modules dans l’environnement de diffusion que l’on peut procéder à la recette finale du parcours.
  - - - Quand tout a été validé, on peut considérer que le module peut être recetté.
        La recette est un travail dont il ne faut pas négliger la durée, surtout que cela arrive à la fin du projet.
        La clé pour une recette réussie, c'est de bien comprendre (et faire comprendre) que c’est un travail de précision à faire de manière exhaustive, précise et documentée.
- - - - La dernière étape consiste à intégrer les images traitées dans vos modules.
        Deux grands cas : restitution directe de l'image, et transformation de l'image par un logiciel.
        Exple cas 1 : image directement jouée par le navigateur (faire attention à la compatibilité et à la taille de l'image)
        Exple cas 2 : transformation ppt en html5, il suffit que les images ou les médias soient compatibles avec ppt et ensuite c'est ppt qui va se charger de la compatibilité avec le navigateur ce qui simplifie grandement la tâche
    - - Lorsque vous avez produit vos images, sous forme de photo, de dessin, ou en les important d’une banque d’images, vous allez devoir les traiter.
        Le traitement des images fixes avec power point par exxple (couleur, contraste, rognage, luminosité), ou gimp qui est l'équivalent de photoshop, qui a plusieurs niveaux d'utilisation, pour un usage pédagogique, ou paint qui permet de recadrer une image, modifier des caracs, pour des traitements simples, picasa de Google, opérations faites en terme de traitement d'images, recadrer l'image, détourer des images (reprendre qu'un élément), opérations d'amélioration (colorimétrie, netteté, contraste, floutage..etc), faire des montages (collages), utiliser des outils simples que je connais,prendre garde aux formats d'export des outils, faire attention à la production en fonction du logiciel d'intégration
  - - - Le traitement des vidéos consiste à faire un certain nombre d’opérations sur les vidéos avec différents outils.
        Les logiciels :
        Standard : Movie Maker et iMovie
        Spécialisé : Adobe Premiere et Final Cut
        Les opérations :
        Découpage
        Effets
        Mixage du son
        Habillage, générique et transitions
        Montage pour produire le film final
        Les conseils :
        Soyez attentif aux poids des fichiers de production
        Prenez garde aux formats d’export
        Produisez en fonction du logiciel d’intégration
    - - Ici aussi, la dernière étape consiste à intégrer les vidéos terminées dans vos modules.
        Restitution directe des vidéos:
        Intégration directe dans un LMS
        Utilisation des formats embed (iframe)
        Attention à la compatibilité avec le poste apprenant : format de fichier, accès au serveur de vidéos
        Attention à la synchronisation
        Transformation par un logiciel:
        Format vidéo
        Attention à la compatibilité avec le logiciel d’intégration
        Attention à la synchronisation
  - - - Le traitement des sons va être fait à l’aide de logiciels comme pour les autres médias.
        Audacity, opérations pour couper des parties (découpage), traitement du son (générique avec musique), l'objectif c'est de produire une version finale dans un format adapté, fichier mp4 ou .moove, attention le son est un média très lourd, faire des formats de petite taill et produire en fonction du logiciel d'intégration, découper en petits morceaux, avoir une idée de ce que fait le logiciel d'intégration pour savoir comment découper le son
    - - Ici aussi, la dernière étape consiste à intégrer les sons traités dans vos modules.
        Deux cas : soit la restitution direct pas de retraitement du logiciel, soit on a une transformation par le logiciel.
        Le 1er cas, c'est l'intégration du son direct dans une page web, dans le LMS, attention à ce que le son soit utilisable par l'apprenant (compatibilité avec son poste), attention à la synchronisation avec l'apparition d'images
  - - - En s'intéressant à 3 situations différentes de production d'animation, nous allons voir les différentes compétences nécessaires.
        
        2-Avec PowerPoint:
        Deuxième cas, on utilise les possibilités de dessin et d'animation de PowerPoint.
        
        3-Avec un logiciel d'animation en ligne:
        Troisième cas, on utilise les possibilités offertes par les logiciels d'animation en ligne.
        
        1-Deux logiciels
        Premier cas, on utilise deux logiciels : un premier pour les dessins puis un second pour les animer.
- - - - Dans un premier temps, concentrons-nous sur l'organisation du pilotage des étapes de conception, réalisation et diffusion du dispositif.
        
        Donc le suivi régulier, c’est plutôt gérer pour le quotidien, pour voir comment les choses avancent entre les jalons.
        
        Comment se passe le suivi régulier de l’exécution ?
        C’est très simple ! Souvent c'est avec un certain nombre de réunions ou de points (en fonction de la taille de l’équipe projet).
        Lors de ces points d’avancement, on va examiner plusieurs choses.
        
        La consommation des ressources (le temps et délais)
        
        Le suivi du planning
        
        L'analyse des risques
        
        Et les jalons eux, sont plutôt des étapes marquées, faisant l’objet d’un livrable bien identifié par les différentes parties prenantes du projet.
        
        Pour les jalons de validation, c’est un petit peu différent.
        Un projet de formation hybride est constitué globalement d’une phase de conception, d’une phase de réalisation et puis une phase de mise en ligne.
        On va retrouver des moments-clés tout au long de ce processus d’ingénierie.
        
        Validation de conception
        
        Validation de réalisation
        
        Validation de mise en ligne
    - - Concrètement, pour suivre l’exécution, on utilise 3 outils principaux : un suivi de l’avancement, des outils de replanification pour suivre le planning et un suivi des risques.
        
        Justement, en termes de délais, on va réaliser un exercice similaire sur le planning du projet.
        De cette façon, en faisant régulièrement le point, on peut affiner la date de livraison du projet ou redimensionner l'équipe projet.
        
        Le suivi d’avancement, c’est repartir de la liste des tâches que l’on avait faite au démarrage.
        Cliquez sur les marqueurs, dans l'ordre proposé, pour comprendre l'utilisation de ce tableau de suivi de l'avancement.
        Pour pouvoir tirer des conclusions sur la suite du projet, nous comparons la durée que nous avions planifiée avec la durée prévue.
        L’idée c’est de mesurer l’impact que ça aura sur le budget du projet et aussi sur son délai de réalisation.
        
        Lors de l’analyse, on a identifié des risques et on a défini des actions afin de les gérer.
        Les réunions de suivi sont le bon moment pour suivre les évolutions au niveau des risques également.
        En reprenant le tableau initial d'analyse des risques, on regarde, pour chaque ligne, où on en est par rapport à l’état des risques, au moment où on fait cette analyse.
        Nous avons fait le tour des trois outils de suivi. Vous voyez que ce n’est pas très compliqué !
        Par contre, il est important de se mettre dans une dynamique d’analyse et de re-prévision, à intervalles réguliers.
        Et ça c’est le job du chef de projet !