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processus de l'influence sociale - Coggle Diagram

- - - - norme de fait = état de fait habituel = ce qui est ordinaire
      - norme désirable = idéal, but, modèle socialement valorisé = caractéristique ou comportement jugé désirable considérés comme normatifs.
    - - 2 présentations d'une liste de traits pouvant les caractériser. - P1 = déterminer quels sont les trait de la site qui présente un caractère normatif à l'ensemble social considéré. - P2 = doivent comparer ses propres caractéristiques à celles des autres personne de l'ensemble social considéré.
      - les sujets recherchent autant la disparité que la similarité. CCL : comparaison sociale peut mener à un certain conformisme + comportements de différenciation => la conformité supérieure de soi.
      - les sujets doivent se définir à autrui ;.donc ils doivent se positionner par rapports à des traits ou caractéristiques et définir eux-mêmes le degré de normativité et doivent se situer dans l'ensemble de ceux-ci.
  - - - Compétition entre les groupes d'individus
        
        population : des enfants (garçons) âgés de 11 à 13 ans
        
        tâche : construire une cabane
        
        but de la compétition : avoir la plus belle cabane => 1 seul groupe peut gagner
        
        groupes tirés au hasard :
        
        groupe F (favorisé) reçoit de la ficelle
        
        groupe Df (Défavorisé) ne reçoit pas de ficelle
        
        constat : dans les groupes défavorisés :
        => atmosphère et organisation sont moins bonnes
        => refusent de laisser inspecter leur travail (ferme les frontières)
        => se différencient en faisant un jardin autour de la cabane
        => tentent de faire accepter le jardin pour l'évaluation
        
        conclusion : groupe qui a moins de ressources dépasse son infériorité en introduisant une nouvelle dimension sur laquelle il est certain d'être supérieur. Df < F sur la construction et Df > F sur le jardin
      - compétitions entre les individus.
        
        tâche : mettre des couleurs sur des feuilles de papier
        
        but : savoir comment une personne conçoit son environnement chromatique dans le futur
        
        affabulation : l'étude est présentée comme se passant dans le cadre d'un groupe d'étude prospectives sur l'environnement.
        
        déroulement : les sujets participent à l'expérience en couple. le sujet est mis en présence d'un autrui supérieur à lui en termes de compétences concernant la réalisation de la tâche (=> sujet/ compère) soit qui se présente au sujet comme supérieur (j'ai fait les beaux-arts, je suis fort pour associer les couleurs) soit qui ne se présente pas au sujet comme supérieur.
        
        hypothèse : la simple présence d'autrui ne suffit pas à créer des comportements de différenciation de la part du sujet. Par contre, l'induction d'une infériorité, même faible et dans une situation peu compétitive ne comportant pas de bonne ou mauvaise réponse, devrait provoquer des comportements de différenciation.
        
        résultats : les sujets infériorisés respectent beaucoup moins la consigne que les autres. => ils utilisent plus de dimensions graphiques (dessin, forme,... non intentionnés dans la consigne) et de couleurs simples.
        
        Conclusion : même lorsque la comparaison n'est pas ouvertement compétitive, la personne infériorisée tend à se différencier.
- - - - déroulement de l'expérience : la lumière stimulus est un minuscule point lumineux provenant d'un point trou dans une boîte en métal. la distance entre le sujet et la lumière est de 5 m. l'expérimentateur est assis à une table dans la même pièce que le sujet (c'est lui qui ouvre le petit volet de la boîte métallique). après disparition de la lumière, le sujet communique oralement la distance dont selon lui elle s'est déplacée. l'expérimentateur note au fur et à mesure les évaluations des sujets. le sujet réalise 100 évaluations. au total on recueil 1900 évaluations.
      - résultats : les individus établissent subjectivement un écart de variation et un point de référence à l'intérieur de cet écart de variation (= ils sont propres à chaque individu). ceci est dû au fait que les sujet ont crées des normes personnelles lorsqu'il n'en existait pas d'objective.
      - évaluation successive = fait dans les limites de cet écart de variation et en relation avec le point de référence. Une fois l'écart de variations et le point de référence à l'intérieur de cet écart sont établis, individu a tendance à les conserver dans les expérience les jours suivants.
      - conclusion : obscurité ne permet aucun repère pour évaluer la distance, il est difficile d'évaluer de quelle distance la lumière se déplace à cause de l'absence d'objet visibles avoisinants et il n'y a aucun point fixe d'après lequel juger la distance.
    - - Shérif étudie les différences de réactions des individus selon qu'ils commençaient.
        
        par la situation de stimulation en groupe (10 sujets) puis se retrouve dans la situation individuelle
        
        par la situation de stimulation individuelle et qu'ensuite ces mêmes sujets sont confrontés à la situation en groupe (20 sujets)
        40 sujets au total
      - dispositif expérimental = même que celui utilisé dans les expériences individuelles sauf que les sujets, lorsqu'ils répondent, doivent en même temps appuyer sur un voyant lumineux (chaque couleur du voyant correspond à un sujet).
      - objectif : examiner comment cette découverte fonctionne quand l'individu est dans une situation de groupe.
      - résultats :
        
        situation individuelle en première : écarts de variation et points de référence tendent à converger entre les membres du groupe
        
        situation de groupe en première : écart de variation et point de référence sont établis et sont spécifiques au groupe. Il conserve l'écart de variation et le point de référence établi en groupe dans une situation individuelle.
      - 2 types de groupes expérimentaux :
        
        8 groupes de 2 sujets (4 qui débutent par la situation individuelle et 4 qui débutent par la situation de groupe)
        
        8 groupes de 3 sujets (4 qui débutent par la situation individuelle et 4 qui débutent par la situation de groupe)
      - demander leur impression subjective à la fin de chaque expérience à partir de 2 questions :
        
        entre quel maximum et quel minimum les distances varie-t-elle ?
        
        quelle est selon eux la distance la plus fréquente de déplacement de la lumière ?