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attitude face à un message - Coggle Diagram
attitude face à un message
les appels à la peur
messages d'appel à la peur : exemple vidéo contre la cigarette (montre les dommages que la cigarette va causer). Exemple pub pour la sécurité routière téléphone au volant
objectif = faire prendre conscience au gens de leur comportement en essayant de modifier leurs attitudes.
est-ce qu'on a besoin de choquer pour faire modifier les comportements ?
oui car beaucoup de nos décisions sont prises en fonction de faits rationnels mais surtout sous le coup de l'émotion. type de message d'appel à la peur = émotion de peur.
Emotion = motive de faire quelque chose.
la peur est une réaction émotionnelle, interne, composée de dimensions psychologiques et physiologiques qui sont activées quand une menace sérieuse et personnellement pertinente est perçue (Witte, 1998)
ressentir une émotion = niveau d'éveil particulier. Pour la peur = niveau d'éveil très forts avec des effets physiologiques tels que mains moites, … des indices verbaux et des indices non-verbaux (expressions faciales)
2 types d'éléments
la menace
la recommandation
éléments responsables
la perception de la menace
efficacité des recommandations et de ses propres capacités à les mettre en œuvre.
les réponses parallèles
Levanthal (1970)
propose ce modèle car la théorie de Janis …. est basée sur les émotions. Processus cognitifs qui interviennent face à ce type de communication.
2 processus distinct
contrôle de la peur : focalisée sur l'émotionnel, pas centré sur le problème (ce qui génère la menace). => chercher à faire quelque chose qui va nous permettre de ressentir une autre émotion (=rejet du message et comportement inadaptée) Alors on cherche des moyens de se sentir bien et pas baisser la menace.
contrôle de la danger : focalisé sur le problème. Message efficace comparé au contrôle de la peur.
théorie du drive
Janis (1967) : appels à la peurs choquantes (années 50).
Théories de l'apprentissage (très influentes en psycho)
ex : pour que les gens arrêtent de fumer il faut qu'ils apprennent à avoir peur des conséquences. La peur suscitée va les encourager à changer de comportement.
Hanis & Feshback (1953)
conditions
moyennement effrayante
peu effrayante
très effrayante
condition contrôle
mesure des attitudes à l'égard de leurs pratiques
recommandations à la fin des présentations
mesures réalisées 1 semaine plus tard par questionnaire portant sur leurs pratiques.
c'est dans la condition peu effrayante qui change le plus les comportements (Optimum = seuil de la peur)
probabilité d'élaboration : elaboration likelihood model (ELM)
probabilité d'élaboration
terme élaboration = à quel point un individu va penser ou modifier mentalement un argument, le contenu d'un message, la communication à laquelle il a été exposé.
ELM indique quand un individu devrait avoir plus de chance d'élaborer (traiter, examiner le message) ou de ne pas élaborer le message
Petty & Cacioppo (1986) ; Petty & Brinol (2007, 2010)
voie centrale = traitement approfondie de l'info (arguments : qualité)
voie périphérique : traitement superficiel de l'info (indices : crédibilité)
face à un message l'individu peut s'engager dans 2 voies
engagement dans ces voies dépend du degré de motivation, de l'implication à traiter l'info.
Petty & Cacioppo
si les changements sont faibles on va avoir une supériorité des pensées négatives et donc pas de changements d'attitudes
si les indices sont positifs (ex : crédibilité de la source) alors inférence positive dans le message et changement de position
Si les arguments sont forts ils doivent susciter, en terme de réponses chez l'individu, plus de pensées positives. En terme d'attitude on obtient des changements d'attitudes
si les indices sont négatifs (ex : source peu crédible) donc inférences négatives et on ne va pas croire cette source donc pas de changements d'attitudes.
voie centrale = plus accessibles en mémoire, leur effet va durer plus longtemps et elles seront plus résistantes au changement.
motivation à la protection
Rogers (1975 ; 1983)
efficacité des réponse (=> éviter les risques)
auto-efficacité (=> est-ce que je me sens capable ?)
gravité
évaluation de efficacité et auto-efficacité = coping
vulnérabilité
évaluation de la menace + coping => changement comportementaux