André Accary prend alors son bâton d e pèler in. « J’ai mené deux années d’enquête sur le terrain. J’ai été voir les facs, les doyens, les libéraux, les retraités, les étudiants... » Une solution ressort : le salariat.« Pour ceux qui restent »« Audelà du salariat, j’ai voulu construire un v r a i pr ojet de santé », insistetil. « Au départ, il n’avait pas la bénédiction de l’État français, car je n’avais pas la compétence pour recruter des médecins pour consulter. J’ai été contre vents et marées sur ce dispositif. Ce qui lui en donne encore plus de charme », souritil. Et l’une des lignes directrices du